Commentaire Arret Dol

Commentaire d’arrêt 1ère chambre civile de la Cour de cassation du 27 février 2007. L'erreur est spécialement visée dans l'art 1110 du code civil. Elle concerne un élément du contrat, il peut s'agir d'un élément de fait ou de droit L'erreur peut n'être commise que par un seul des contractants, mais elle peut également être commune à toutes les parties. La sanction de l'erreur est la nullité relative du contrat → celui qui a commis l'erreur peut seul invoquer la nullité. Dans le domaine de l'art

avec un délai : offre doit être maintenue jusqu’à l’écoulement dudit délai en raison de l’engagement unilatéral pris. Quand n a un délai déterminé et une personne visée jean louis Aubert a considéré que c’est un engagement unilatéral de volonté. Arrêt du cour de cassation 3ème chambre civile 7 mai 2008 = l’acceptation de l’offre dans le délai stipulé vaut formation du contrat. Document 5 = incohérence l’offrant doit maintenir son offre et si il se rétracte impossible car si acceptée contrat

doit envisager toutes les situations pour en retenir une seule. L’énoncé se présente donc sous la forme de faits qu’il s’agira de trier afin de tirer les conclusions juridiques qui s’imposent. Procédant de la même manière que pour l’analyse du commentaire d’arrêt, nous envisagerons tout d’abord la méthode, puis illustrerons nos propos avec des exercices corrigés. Section 1 MÉTHODE Pas de technique de plan. La méthode du cas pratique diffère sensiblement des deux autres exercices traditionnels proposés

(contrat et engagement moral) • Document n° 4 : Code civil (version à partir du 1er octobre 2016), Articles 1100 à 1111-1, accompagné d'un extrait du Rapport au Président de la République (JO 11 févr. 2016) • Document n° 5 : Méthodologie du commentaire d’arrêt EXERCICES 1) Définissez les termes ou expressions suivants (en donnant chaque fois un exemple et en vous aidant des textes du code) : acte juridique / fait juridique / quasi-contrat / obligation / obligation naturelle / contrat / contrat

Commentaire de l'arrêt Com. 27 mars 2007 Amorce........................................... L'exploitant d'un commerce au sein d'un village de 180 habitants s'était adressé à un spécialiste, la société MDM multimédia, afin de conclure avec elle un « contrat de création d'un point de location de cassettes vidéo » aux termes duquel il disposerait, sur une période de dix mois renouvelable, d'un lot de 120 cassettes pour un prix de 1326,27 euros. Mais le commerçant s'est refusé à régler les sommes

n’est pas une obligation juridique, c’est un concept différent. A l’heure actuelle, la théorie de l’obligation naturelle, est la théorie selon laquelle l’obligation naturelle résulte d’un engagement unilatéral de volonté, elle le considère dans un arrêt 1ere chambre civile, du 10 octobre 1995. B.Les variétés d’obligations  1.Les obligations de faire, de ne pas faire et de donner  On peut envisager beaucoup de variétés particulières d’obligations, des classifications essentielles les plus habituelles

droit constitutionnel........... .................31 Chapitre 2.La méthode du commentaire de décision .......................32 d'arrêt.................. Section1. Exposéde la méthodedu commentaire ......32 A. l" étape: l'analyse du sujetet la préparation............... a) lù" étaoe b) 2*" étàpe: énoncédu problèmcjuridiquc poséà la juridiction qui a rendu la décision c) 3"" étaoe B. 2è'" étape : la rédaction du commentaire ................ .......................33 ............41 Section2. Exemplesde

E. Limites de la théorie de l'erreur E.1. L'erreur doit porter sur un élément qui est compris dans le champ contractuel E.2. L'erreur doit être excusable: E.3. La violence E.3.a. La menace E.3.b. L'origine de la violence E.4. Le dol E.4.a. Les manœuvres dolosives E.4.b. Les effets de ses manœuvres dolosives : CD4 L'objet et la cause dans le contrat A. L'objet A.1. L'objet de l'obligation A.2. L'obligation de donner B. La détermination de la chose B.1.a.

en déduire qu'en l'espèce le for est français. Cette hypothèse résulte du DIP français, notamment de la jurisprudence Caraslamis,arrêt de la cour de cassation du 22 juin1955, on retire de cet arrêt que la situation doit être qualifiée lège fori, c'est à dire selon les conceptions juridiques du for. La chambre mixte de la cour de cassation retient dans un arrêt du 6 septembre 2002, que sont qualifiés de quasi-contrats les promesse de gain, suivies de non paiement, faites à des particuliers dans

hypothèse lʼagent nʼa pas consommé lʼinfraction, il faut savoir pourquoi ? ! §1. Le désistement volontaire Ici il nʼy aura pas de tentative punissable, il y aura une impunité de lʼagent. Il nʼy a plus rien pour fonder la répression pénale. Il a arrêté son acte donc il nʼy a plus dʼactivité illicite et il nʼest plus animé par une intention illicite. On considère que cʼest acquis il y a bien un commencement matériel mais il renonce de lui-même à la consommation de lʼinfraction. ! A. Un désistement