Commentaire Arret Du 30 Mars 2004

Req. n° 43509/08 10 Cour EDH, 27 février 1992, Chambre, Société Stenuit c. France, Req. 11598/85, § 62 11 arrêt du 28 juillet 2011, Samba Diouf, C-69/10, Rec. p. I-7151, point 49 12 Voir CJUE, 11 juillet 1985, Remia BV et autres contre Commission, 42/84, Rec.1985, p.2545 à §34 ; TPICE, 15 juillet 1994, Matra Hachette SA contre Commission, T-17/93, Rec.1994, p.II-595 à §104 13 CJUE, 31 mars 1993, 89/85, Rec. I-1307, dite Pâte de bois II 8 Toutefois, dans le cadre de l'affaire Kali und Salz, la

sur l’œuvre architecturale en OAPI : « Observations à la lumière des droits issus de la civil law » Me Bérenger MEUKE (P 8) CHRONIQUES La responsabilité du banquier dépositaire des fonds destinés à une augmentation du capital en OHADA – Note sous Arrêt CCJA 29 juin 2006 (COBACI – STCA – SHAFTESBURY – BENA TH COMPANY Ltd) Me Bakary DIALLO (P 16) Dans cette sixième parution, La Revue Jurifis Info lève un coin du voile sur les relations que l’OHADA devraient entretenir avec les législations communautaires

différents principes énoncés et les impératifs de souplesse et de liberté doivent être pris en compte et coordonnés.  La question du RCS - Le RCS est né d’une loi de 1919. Il est aujourd’hui codifié aux articles L123-1 et suivants et régi par un décret du 30 mai 1984. Il a été étendu à l’ensemble des acteurs économiques (sociétés civiles par la loi de 1978, associations exerçant une activité commerciale). Les tiers doivent pouvoir connaître un certain nombre d’informations relatives au commerçant et un

l’interdiction de licencier un agent public en raison de sa grossesse comme dans l’arrêt d’assemblée rendu le 18 juin 1973, Dame Peynet ou encore celui de l’applicabilité du SMIC aux agents publics (CE 23 avril 1982, Ville de Toulouse). Dans d’autres arrêts, en revanche, il intègre directement la règle issue du droit privé dans le bloc de légalité. Elle est alors transposée et appliquée au cas d’espèce. Sans remettre en cause l’arrêt Blanco qui fonde l’autonomie du droit administratif, le Conseil d’Etat

Lois et Décrets », 21 septembre 2000, page 14783) a codifié la partie législative du Code de commerce, abrogeant ce faisant par son article 4 la majorité des dispositions de la loi n°85-98 du 25 janvier 1985, tout comme celles des lois n°84-148 du 1er mars 1984 et n°85-99 du 25 janvier 1985. Les dispositions subsistantes ne seront abrogées qu’à compter de la date d’entrée en vigueur de la partie réglementaire du Code, ce qui peut légitimer la difficulté, si ce n’est le refus, de la pratique à l’abandon

Le : 14 juin 1830 Ville : SIDI-FERRUCH Pays : ALGERIE ALGER OCCUPEE PAR LES FRANCAIS Le : 01 juillet 1830 Résumé : Juillet 1830 : le gouvernement de Charles X fait occuper la ville d'Alger. Ville : ALGER Pays : ALGERIE 1 commentaire(s) Déjà dans votre séléction ilyatoo lieuxgeographique : ALGERIE FRANCAISE DECLARATION DE GUERRE A LA FRANCE PRESENTE EN ALGERIE Le : 01 janvier 1832 Résumé : 1832 : Abd el-Kader, émir arabe, déclare la guerre à la

PARLEMENT EUROPÉEN 2004         2009 Commission des affaires juridiques 2008/2121(INI) 14.10.2008 PROJET DE RAPPORT sur le rapport de la Commission sur l'application de la directive 2001/29/CE sur l'harmonisation de certains aspects du droit d'auteur et des droits voisins dans la société de l'information (2008/2121(INI)) Commission des affaires juridiques Rapporteur: Manuel Medina Ortega PR\744876FR.doc PE413.997v01-00 FR FR PR_INI SOMMAIRE Page PROPOSITION

rémunération des dirigeants mandataires sociaux des sociétés cotées et de leur recommandation d‟avril 2010 sur le renforcement de la présence des femmes dans les conseils), révisé en avril 2010 3.- Règles impératives - liberté contractuelle Exercice : Commentaire d'affirmation : Le droit des sociétés manque de flexibilité 3 République portugaise aux Communautés européennes (JO 1985, L 302, p. 23), le royaume d‟Espagne était tenu de mettre la directive en vigueur dès son adhésion, transposition

et des règles de police, comme le livret ouvrier qui subsistera jusqu’en 18901 : 1 Celui-ci permettait, d'une part, de surveiller les déplacements des ouvriers puisque "tout ouvrier qui voyagera sans livret sera réputé vagabond et pourra être arrêté comme tel" et, d'autre part, de s'assurer du respect de leurs engagements vis-à-vis de leur employeur dans la mesure où "comme gage de fidèle exécution des conventions arrêtées entre eux, l'ouvrier dépose son livret entre les mains de celui qui l'emploie"

texte d'incrimination, exigées par le Conseil Constitutionnel comme par la Cour européenne des droits de l'homme, font par ailleurs souvent défaut (C.C.19 et 20 janvier 1981, JCP.éd.G.1981, II, 19701, note Franck ; J.Pradel et A.Varinard, Les grands arrêts du droit pénal général, Dalloz, 5ème éd.2005, 1). Au fond, se trouve-t-il un seul texte pour résister à l'analyse ? Il est permis d'en douter, car les infractions parmi les plus classiques et les plus anciennes ont dû faire l'objet d'un lent ciselage