Commentaire Arrêt 27 Mars 2002

TD 1 : Le recours pour excès de pouvoir. - CE, 29 mars 1901, Casanova - CE, 4 avril 1914, Gomel - CE, 14 janvier 1916, Camino - CE, Ass., 28 mai 1971, Ville Nouvelle Est - CE, Ass., 11 mai 2004, Association AC ! Le juge va annuler totalement ou partiellement une décision administrative. Le recours pour excès de pouvoir présente des particularités : • c'est un recours contre une décision administrative : on dit que le REP est le procès fait à un acte, il s'agit d'un contentieux objectif

………………………5 * Les circuits de commercialisation des produits de la pêche ………………………………………………………...12 Deuxième partie : Etude de faisabilité …………….21 * Présentation de la société …………………………….22 * Etude de faisabilité …………………………………….27 Troisième partie : Conclusion ........................34 Annexes ……………………………………………………….37 Remerciements Nous remercions l’ESIG et tout son corps professoral pour la qualité de l’enseignement fourni ainsi que pour la place accordée à la

Maliens déboutés sont recensés en septembre 1991 par l’OFPRA et que ces mesures bénéficient d’une publicité importante dans la presse de l’époque, le délégué de l’OMI à Bamako indique suivre 63 dossiers de personnes ayant accepté la « proposition » en mars 1994[14]. ▪ Le Contrat de réinsertion dans le pays d’origine (CRPO) introduit en 1998, complète les anciennes dispositions et propose en plus aux immigrés soumis à une IQF[15] des formations en France et/ou dans le pays d’origine. C’est un dispositif

référence aux organes de provenance de la décision, elle est l'ensemble des arrêts et jugements rendus par une juridiction dans un domaine de compétence bien précis. Dans cette optique on dira la jurisprudence de la cour européenne des droits de l'homme, la jurisprudence du conseil constitutionnel sénégalais. Ensuite sous l'angle de la matière objet du contentieux, la jurisprudence est assimilée comme l'ensemble des décisions et arrêts tant nationaux qu'internationaux ou communautaires rendus dans un type

d’embauche * Période d’essai * Loi du 31 décembre 1992 : * Caractère de recrutement  L 1221-6 et s. * Mise en œuvre des méthodes Circulaire 15 mars 1993 : * Eviter toute discrimination (article 1132-1) | * Art. 1132-1 : Eviter toute discrimination * Loi 31 déc 1992: * L1221-6 s. : Caractère de recrutement * Circulaire drt n°93-10 : 15 mars 1993: Mise en œuvre des méthodes * L2141-5 : la liberté syndicale * Test relatif à l’embauche: * 1221-8 et 9 : confidentialité, pertinence

-distinguer le contrôle de constitutionnalité des lois et le contrôle de constitutionnalité des actes administratifs ; -distinguer le rôle du juge administratif et le rôle du juge constitutionnel ; -commenter un arrêt ancien et savoir le mettre en perspective ; -savoir commenter un arrêt très bref tout en évitant l’écueil de la dissertation. DOCUMENTS : - Doc. 1 : CE, Sect., 6 novembre 1936, Arrighi, Rec. p. 966 ; D., 1938, 3, 1, concl. Latournerie, note Eisenmann. - Doc. 2 : CESect. 10 juillet

conciliation des libertés individuelles, notamment la question du droit à la vie privée. Dans un arrêt rendu par la Chambre criminelle en date du 10 Avril 2002[6], la cour de cassation a jugé que l'article L.16 B assure justement cette conciliation entre les libertés individuelles ainsi que la lutte contre les fraudes fiscales. De même que, dans un arrêt rendu par la Chambre criminelle, en date du 10 Juillet 2002, [7] a été jugé que les dispositions de ce même article L 16 B n'était pas contraire à l'application

d’abord été confirmée implicitement par la chambre sociale de la Cour de Cassation. Ainsi dans un arrêt Go Sport du 15 Janvier 2002[17], la chambre sociale casse l’arrêt d’appel au visa de l’article 1134 du Code Civil sur la force obligatoire des conventions, invitant les juges du fond à rechercher si les clauses particulières du règlement d’option étaient opposables au salarié. De même, un arrêt du 29 Septembre 2004[18] de la même formation concernant le préjudice résultant de la perte des options

va-t-on pas subvertir la force obligatoire ? Ripert le soulignait dès 1936 dans son célèbre article fustigeant l’avènement d’un « droit de ne pas payer ses dettes ». La formule a tout aujourd’hui d’une antienne, répétée notamment dans les divers commentaires du dispositif de lutte contre le surendettement, qui assure une prime à la bonne foi du débiteur contractuel, lui permettant même, le cas échéant, de se décharger du fardeau de sa dette au nom d’une justice plus sociale que contractuelle. D’autre

note É. GARAUD.  L’application rétroactive des lois interprétatives :  Document 4 : Cass. 1re civ. 22 février 2000, Bull. I n° 53 ; Rev. Crit. DIP.2000.681, note H. FULCHIRON ; RTDCiv. 2000.676, obs. R. LIBCHABER  Document 5 : Cass. 3e civ. 27 février 2002, Bull. III, n° 53 ; RTDCiv. 2002.599, obs. N. MOLFESSIS et les références citées.  Document 6 : Cass. Plén. 24 janvier 2003, Bull. AP n° 2, D. 2003.1652, note S. PARICARDPIOUX ; Droit social, 2003, p. 430-432, note X. PRETOT, p. 767-769, note