Commentaire Baudelaire Les Petites Vieilles

s’est à nouveau présentée. Il l’interroge avec véhémence, intrigué par sa mélancolie, son amitié, sa discrétion : «Tu me souris sans partager ma joie, Tu me plains sans me consoler». Commentaire On a longtemps voulu voir dans ‘’La nuit de décembre’’ un élan vers I'infidèle George Sand, un cri de douleur, la supplication d'un coeur qui demandait le pardon. Paul de Musset s'élevait avec force contre cette thèse : «Beaucoup de lecteurs

s'adonne à une initiation inextinguible. Amoureux transi des femmes, il embrasse, caresse et séduit toutes celles qu’il croise, ne reculant devant aucun fantasme ni aucune perversion pour assouvir ses désirs et parfaire son apprentissage amoureux. Commentaire C’est un roman d'initiation amoureuse et sexuelle, à la fois drôle et provocant, comme le prouvent l'incipit tiré du "Cid" de Corneille aussi bien que la dernière phrase du roman. ____________________________________________________________

dans l'excès de haine et d'épouvante qu'ils inspirent. C'était une peur sacrée, la certitude qu'elle n'avait plus à lutter, qu'elle serait broyée ainsi qu'une paille, si elle s'entêtait davantage. Les toiles grandissaient comme des blocs, les plus petites lui semblaient triomphales, les moins bonnes l'accablaient de leur victoire ; tandis qu'elle ne les jugeait plus, à terre, tremblante, les trouvant toutes formidables, répondant toujours aux questions de son mari : « Oh! très bien !… Oh ! superbe

lieux de mémoires → l'architecture a un sens ● La ville est une entité abstraite : problématique du tout et du fragment La ville, personnage surhumain ● Rupture avec le passé, la forme pour retranscrire la ville doit elle aussi être renouvelée (Baudelaire) → intérêt pour la forme. ● Lien entre la physiognomie de la ville et sa transription. Haussman → métamorphose du coeur de la ville : grands monuments restent mais leur environnement est transformé → ville unidimensionnelle, uniforme → plus

partager sa peur. Le champ lexical de l’angoisse est très présent dès le début de la scène : « lugubre », « sinistre », « agonie »… d. Par quel pronom le narrateur est-il désigné dans cet extrait ? Repérez un passage où le narrateur fait des commentaires plus personnels, et montrez en analysant notamment le vocabulaire, qu'ils trahissent son émotion. Le narrateur ressent du dégoût face à sa créature mais c’est aussi une grande déception par rapport au travail qu’il a fourni. Il parle d’ailleurs

Sommaire « Chanson d’après-midi » de Charles Baudelaire Ce poème se présente donc comme une sorte de portrait quelque peu atypique dans sa forme, d'une femme sensuelle et charmeuse Si la sensualité est l'une des caractéristiques évidentes de cette femme, on constate cependant qu'elle est loin d'être la douce maîtresse prête à tout pour le plaisir de son amant. L'étude de son portrait révèle une ambiguïté étrange et menaçante Cette femme étrange semble pourtant fasciner totalement le poète et

Objet d'étude: La poésie du 19eme et 21eme siecle Séquence 1: ‘‘ Les Fleurs du Ma l’’ de Baudelaire Lecture linéaire 1: “intérieure” du recueil Les ContemplationsAuteur: Victor HugoDate: septembre 1841Introduction: “Je vais vous présenter une lecture

mais aussi orchestrateur, harmonisateur et chef d’orchestre * Dans ses chansons, il écrit ses propres textes mais mettra aussi en musique ceux de grands poètes comme Apollinaire, Aragon, Baudelaire, Rimbaud et Verlaine. * D’origine monégasque, il passe sa jeunesse entre des études en Italie et divers petits boulots à Monaco, jusqu’à ce qu’ Edith Piaf le convainque de tenter sa chance à Paris où il s’installe à partir de 1946. * La période Saint-Germain: au début des années 1950, c’est dans

1er2-textes pour bac-en cours- avril-élève-vraiment ok-sans coquilles.pagesObjet d’étude I : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle, parcours : alchimie poétique : la boue et l'or ! A. L’œuvre : Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire 1. « Au lecteur » (extraits) 2. « Correspondances » 3. « Une Charogne » (extraits) B. Le parcours. Alchimie poétique : La boue et l’or 4. Aragon, « C », Les Yeux d’Elsa (1942) 5. Francis Ponge, « l’huitre », Le Parti pris des choses (1942)
 C. Lectures

postfaces, avertissements, avant-propos, etc., notes marginales, infrapaginales; [etc.] », tous les signaux autographes ou allographes qui procurent au texte un entourage.—> G. Genette, Seuils, 1989. 3. La métatextualité = « la relation, dite “de commentaire”, qui unit un texte à un autre texte dont il parle, sans nécessairement le citer. » 5. L'architextualité = « l'ensemble des catégories générales, ou transcendantes — types de discours, modes d'énonciation, genres littéraires, etc. — dont relève