Commentaire De L Article 1134 Du Code Civil

PRINCIPALES ABRÉVIATIONS Aff. Affaire Al. Alinéa AMF Autorité des marchés financiers Art. Article Bibl. Bibliothèque Bull. Bulletin des arrêts de la Cour de cassation Bull. civ Bulletin de la Cour de cassation ; chambre civile BJS Bulletin Joly sociétés BJB Bulletin Joly Bourse C. Code CMF Conseil Monétaire et Financier CBV Conseil de Bourse de Valeur C. civ. Code civil C.com Code de commerce tel-00719575, version 1 - 20 Jul 2012 C/ contre Cah. Cons. Const. Cahier du Conseil

juridique Famille Al. Alinéa Art. Article Ass. Plen. Assemblée plénière de la Cour de cassation CP Code pénal CPP Code de procédure pénale c/ Contre Cass. Cour de cassation CCC Cahier du Conseil constitutionnel CCE Communication Commerce Electronique C. civ Code civil C.com Code de commerce CE Conseil d’Etat CEDH Cour européenne des droits de l’homme Ch. Chambre Chap. Chapitre Chron. Chronique Circ. Circulaire Civ. Chambre civile de la Cour de cassation CJUE Cour

sanctions, mise à pied..., engagement unilatéral), ainsi que les droits et obligations du salarié. Y figurent aussi les difficultés afférentes aux modifications de la situation juridique de l’employeur et au transfert du contrat de travail (art. L. 122-12 du code du travail). La deuxième rubrique, à savoir « Durée du travail et rémunérations », concerne les questions afférentes à la notion de travail effectif, aux heures d’équivalence, aux congés divers, aux accords de réduction du temps de travail, aux rémunérations

Introduction Temps sur mesure et juste mesure du temps... Première partie 3 9 11 15 17 Le procès civil Chapitre préliminaire 27 Deux temps en apparence inconciliables : le temps des parties et celui du juge Chapitre 1 29 Temps des parties et loyauté procédurale Chapitre 2 41 Temps du juge et maîtrise procédurale Deuxième partie 83 L’expertise judiciaire civile Chapitre préliminaire 103 Une idée à promouvoir : la contractualisation de l’expertise 109

III : LA RESPONSABILITE DE L’EXPERT COMPTABLE FACE A L’ABUS DE BIENS SOCIAUX 92 CHAPITRE I : LA RESPONSABILITE CIVILE 96 SECTION I : DISTINCTION ENTRE RESPONSABILITE CONTRACTUELLE ET RESPONSABILITE DELICTUELLE A : LES DISPOSITIONS DE LA LOI B : LA NATURE DE L’OBLIGATION DE L’EXPERT-COMPTABLE LORS DE SES MISSIONS 96 96 98 SECTION II : LA MISE EN CAUSE DE LA RESPONSABILITE CIVILE A : LA PREUVE D’UNE FAUTE B : L’EXISTENCE D’UN PREJUDICE C : LA QUESTION DU LIEN DE CAUSALITE ENTRE FAUTE ET PREJUDICE

sources : -sources internes ; -sources internationales. Paragraphe 1 : Les sources internes I- La loi La loi joue un rôle limité en DIP sauf en matière de nationalité. Le Code civil comporte peu de disposition touchant au DIP. La disposition la plus importante est l’Article 3 du Code civil. Selon cet article, les lois de police et de sûreté obligent tous ceux qui habitent le territoire. Les immeubles, même ceux possédés par des étrangers, sont régis par la loi française. « Les lois concernant

4 une sorte de consolidation et au cours duquel un certain nombre de dispositions furent rassemblées, se mit en place un effort concerté pour dresser un corps de règles articulées à l’intérieur d’un schéma ordonné et soigneusement dessiné – un « code » imposé autoritairement à l’effet de constituer le précepte, marquer les limites et établir la sécurité offerte aux citoyens de l’Etat. A partir de là, l’historiographie usuellement met en évidence une période d’incubation et de « consolidations »

textes a. Le Code civil Il est chronologiquement la première source textuelle du droit français moderne à édicter des règles spécifiques pour des contrats particuliers. Il reste la source principale car on y trouve les contrats spéciaux les plus fréquents dont la vente. b. Les lois spéciales Dès la fin du XIXe s. des lois spéciales sont venues encadrer de nouveaux types de contrats : Loi du 13 Juillet 1930 encadrant le contrat d'assurance. Cette loi est codifiée dans le Code des assurances

commercial et du droit civil peuvent s’y insérer. Mais s’il est vrai que le domaine du droit des affaires et du droit commercial se recoupe, il est tout aussi vrai qu’on doit les distinguer justement parce que les domaines qu’ils recouvrent tendent à se distinguer. Le droit des affaires n’est pas seulement le droit des commerçants comme l’était le droit commercial classique. Le droit des affaires est un droit qui réunit l’ensemble des activités des entreprises soit elles civiles ou commerciales et une

qu’elle est indistincte. Elle a vocation à s’appliquer à tous ceux qui sont dans la situation précise visée par la règle. Notons le caractère hypothétique de la règle de droit : ex de l’art 414 C.civ : à 18 ans on est capable de faire tous les actes civils ne s’applique qu’à ceux de 18 ans et plus. B. Le caractère obligatoire Il apparaît comme un ordre : la règle de droit peut soit interdire, soit prescrire, soit permettre –règles prohibitives, prescriptives ou permissives (contiennent des