Commentaire Du Citoyen De Thomas Hobbes

TD constitutionnel S1.docxSéance 1 : méthodologie de la dissertation et du commentaire DISSERTATION → Alinéa INTRODUCTION → énonce du sujet phrase d’accroche ( citations, phrase d’actualité, etc…) pose du sujet → définition termes clés du sujet et définition éviter les hors sujet poser cadre, donner angle d’attaque → problématique exemple d’une problématique : L’état est-il encore souverain au XXIème siècle ? pour un sujet tel que l’état et la souveraineté : exemple de problématique : Etat est-il

(1906-1995) "Je n’existe que dans la mesure où j’existe pour autrui." Emmanuel Mounier (1905-1950) « Qui ne se gêne pas gêne autrui. » de Diane de Beausacq [+] Plus sur cette citation Ajouter sur un cadeau Vous aussi écrivez votre commentaire ou votre critique Réagissez   Membres (1) Haut du formulaire               Médiocre Convenable Bien Merveilleux Impressionnant Bas du formulaire Envoyer à un ami Dans mon citabook « Qui ne se gêne pas gêne autrui. » 1 personne a déjà

exerce la mesure dans ses relations avec les autres. Dans la cité, la justice n’est plus une vertu individuelle. La justice vise ici une manière d’êtyre dans les relations aux autres. Elle règle les synallagmata (=rapport avec les citoyens de l’Etat ou les autres citoyens) ; ce qui compte c’est l’acte observé objectivement : même essence que la justice vertu. L’acte juste se situe entre le trop et le pas assez. Cette justice particulière n’est qu’une forme spécifique de la justice générale donc elle

athénienne. Ce système repose sur la souveraineté d'une assemblée qui réunit l'ensemble des citoyens. C'est le seul exemple de démocratie directe qui ait existé dans l'histoire. Il était possible de réunir l'ensemble des citoyens (il fallait être nait d'au moins un père athénien & être inscrit sur des registres d'une circonscription (le deme) conditions de sang et de territoire). Au total c'était 30 000 à 50 000 citoyens. Population totale: avec femmes, enfants, étrangers. Les étrangers sont appelées les

Partie 1: L'antiquité greco- romaine et le Moyen-âge Chapitre 1: L'antiquité gréco-romaine Les idées politiques sont des représentations de l'esprit portant sur le phénomène politique. Ce qui intéresse le politique est ce qui concerne le citoyen, celui qui a conscience de vivre dans une cité, qui a conscience qu'il doit s'intéresser aux affaires publiques, c'est-à-dire aux affaires politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE

con jectures plus éloquentes que convaincantes touchant le passage de état de nature état de société de homme naturel homme artificiel Hobbes qui fascine Rousseau comme tant autres avait menti nous dit auteur en peignant homme naturel avide de puissance dévoré appétits loup pour homme et en décrivant état de nature comme un état de guerre de tous contre tous Hobbes avait pas su voir chez homme naturel côté de amour de soi Jean-Jacques Rousseau qui intéresse ardemment son bien-être et sa propre conser

d’esclavage cesse, autant que le permet l’accord et le traité qui a été fait. » Chapitre IV, De l’esclavage, Du traité de Gouvernement Civil, Locke ___________________________ Commentaire Linéaire Au XIXème siècle l’esclavage est définitivement aboli dans la plupart des pays du monde, il s‘agira précisément du 27 avril 1848 pour la France ou encore du 18 décembre 1865 pour les Etats-Unis d‘Amérique. Pour arriver à un tel résultat

acquiert à la naissance sans avoir besoin de les tenir d’un acte ni pouvoir les aliéner, mais les gouvernants sont tenus de les respecter et de les faire respecter. Une première évolution significative se fit sentir avec les enseignements de Saint Thomas d’Aquin qui ont inauguré les théories modernes du droit naturel : certes institué et voulu par Dieu, le droit naturel s’appréhende tout de même par la raison humaine, en dehors de toute révélation. Le droit naturel évolua ensuite en une seconde phase

finissantes du XVIIe siècle, la querelle des Anciens et des Modernes remet en question les valeurs établies.Les philosophes rationalistes du XVIIe siècle, tels que René Descartes(1596-650) et Baruch Spinoza(1632-1677), les philosophes politiques Thomas Hobbes(1588-1679) et John Locke(1602-1734), et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle (1647-1706) est un disciple de Descartes et Fontenelle (1657-1757),peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières, bien que certains éléments

soumettre l’autre. Si une foison de théologies a tenté de donner corps à un ordre politique chrétien, un éclairage véritablement nouveau n’est venu qu’avec la Somme théologique de Thomas d’Aquin. Ce dernier rompit avec le relatif pessimisme de l’augustinisme en envisageant la politique sous un jour positif. Reprenant Aristote, Thomas d’Aquin montre ainsi comment la vie politique peut aider à parfaire l’homme, animal politique par essence. Une autre théologie politique a cependant marqué l’histoire du