Commentaire Du Citoyen De Thomas Hobbes

Thomas Hobbes (1679) Béhémoth Ou le Long Parlement Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 17 août 2010. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: philippefolio@wanadoo.fr Site web: http://perso.wanadoo.fr/philotra/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/

prétentions de l'Etat à la légitimité conduisent les citoyens à croire qu'ils ont le devoir d'obéir à ses édits, de payer leurs impôts, de se battre pour leurs luttes, etc.; aussi quelques personnes y coopèrent-elles volontairement. Une organisation délibérément agressive ne pourrait dépendre d'une telle coopération volontaire et ne la recevrait pas, dans la mesure où les personnes se considéreraient simplement comme ses victimes plutôt que comme ses citoyens Les explications de la main invisible Dans

lointain. Le code civil est particulièrement bien rédigé. Stendhal prétendait que tous les matins il consultait le code. À mi chemin entre la forme et le fond, le code civil a adopté un plan relativement simple qui permet à n'importe quel praticien ou citoyen de trouver les dispositions susceptibles de regeler le problème qui le concerne. L'accessibilité du droit doit être ouverte. Dans la conception allemande de la codification, le code est fait par des experts, pour des experts, ce qui rend difficile

justice. Epicure, Lettre à Ménécée. Epictète, Manuel. Sénèque, De la tranquillité de l’âme ; De la brièveté de la vie. Machiavel : Le Prince. Descartes : Discours de la méthode ; Méditations métaphysiques ; Correspondance avec Elisabeth. Hobbes : Léviathan ; Le citoyen. Pascal : Pensées : une défense de la religion chrétienne qui jette une lumière philosophique sur tous les aspects de la condition humaine. De l’esprit géométrique ; Entretien avec M. de Sacy : deux textes brefs et fondamentaux sur les

qu'à cause de la facilité d'expédier les affaires, qui les y amène naturellement. D'ailleurs, que de choses difficiles à réunir ne suppose pas ce gouverne­ment! Premièrement, un État très petit, où le peuple soit facile à rassembler, et où chaque citoyen puisse aisément connaître tous les autres; secondement, une grande simplicité de mœurs qui prévienne la multitude d'affaires et de discussions épineuses; ensuite beaucoup d'égalité dans les rangs et dans les fortunes, sans quoi l'égalité ne saurait

« qu’accommoder l’Ecriture aux spéculations des aristotéliciens et des platoniciens ». C’est donc toute la scolastique, philosophie officielle de l’Eglise mais aussi la philosophie traditionnelle juive qui est visée ici du nom du libre examen (saint Thomas d’Aquin, somme théologique, Maïmonide, le guide des égarés). Mais sa critique la plus violente porte sur l’usage dangereux que les théologiens font de l’Ecriture. En effet au 17eme tous les états se réfèrent à la Bible que ce soit l’ancien, ou le

législateur. Solon a fait créer une nouvelle juridiction. Il a créé le tribunal de l’Héliée. C’est un tribunal populaire dans le sens où il s’agit d’un tribunal auquel tous les citoyens pourront participer. C’est un tribunal dans lequel la fonction de juger est exercée par des jurys et ces jurys seront composés de citoyens ordinaires qui seront appelés à siéger dans ces jurys moyennant une procédure de tirage au sort. Mais ces réformes n’ont pas été suffisantes pour ramener la paix civile à Athènes

Commentaire de texte de M. Villey, extrait de son ouvrage « Le droit et les droits de l’homme » Le document en l’espèce est un extrait de l’ouvrage « Le droit et les droits de l’homme », paru dans les années 1980 et signé de la plume de Michel Villey. Ce dernier était un philosophe français et un historien du droit. L’auteur est attentif au fonctionnement concret du droit. L’ouvrage a été écrit dans un contexte contemporain où les droits de l’homme ont connus une codification à l’échelle internationale

Maé Bourdon-Pomi 701Dissert PHILONote :Commentaire :A quoi devons-nous obéir ? Emile Zola écrit, dans J’accuse … !  ; « Qui dit discipline dit obéissance. » La notion d’obéissance renvoi, en effet, assez souvent à celle d’ordre, de règle, de loi, elle suppose une hiérarchie entre celui qui demande ou ordonne l’obéissance,

être réparé. Le droit repose sur la liberté absolue, y.c. la liberté à l'égard de l'existence elle-même. On trouve chez Hobbes l'idée que le droit est une liberté de l'individu sans limites. Cette liberté ne peut être limitée que par celle de ceux qui décident de vivre aux côtés. "Le droit est la liberté que chacun a d'utiliser sa puissance comme il le veut lui-même" (Hobbes). "La liberté, le primat de la volonté, la puissance" (Hottois). Refuser de reconnaître un dommage à Nicolas Perruche