Commentaire Mauvais Sang 6 Rimbaud

|journal d’une escouade, de Henri | | |Lecture | |Barbusse, 1916 | | |Séance 6  |Les discours rapportés |Supports : Les extraits des Thibault de|Cours prenant appui sur les textes analysés. | | | |Roger Martin du Gard et du Feu, de

Tous ces visages levés vers lui, à l’affût de ses paroles, lui donnent le vertige. Oh, le face-à-face angoissant du conférencier avec son auditoire ; l’instant suprême où l’acteur, grelottant de trac, s’apprête à lancer sa première réplique ! 6/186 « Faut que je me décide ! » pense Guillaume, l’estomac noué. Doudou, son meilleur copain, lui fait des signes d’encouragement à la mode « rappeur ». Gestes saccadés, mimiques-chocs, il ne s’exprime quasiment qu’en dansant. Même les mots tressautent

glacés et luisants, comme un appel aux armes ! Exagérément cambrée, comme il est rare de l’être en France, elle s’étreignait dans un magnifique châle turc à larges raies blanches, écarlate et or ; et la plume rouge de son chapeau blanc – splendide de mauvais goût – lui vibrait jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien

et luisants, comme un appel aux armes ! Exagérément cambrée, comme il est rare de l’être en France, elle s’étreignait dans un magnifique châle turc à larges raies blanches, écarlate et or ; et la plume rouge de son chapeau blanc – splendide de mauvais goût – lui vibrait jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait

75006 Paris). Imprimé au Cned - Institut de RENNES 7, rue du Clos Courtel 35050 RENNES CEDEX 9 Boîte à outils 1. Les types de textes 2. L’énonciation 3. Périodes et mouvements littéraires 4. Les genres littéraires 5. Qui raconte l’histoire ? 6. Comment étudier le temps du récit ? 7. Comment étudier l’espace du récit ? 8. Comment étudier un texte littéraire lors de l’épreuve écrite ? 9. La poésie 10. Notions élémentaires de versification 11. Les figures de style 12. Le théâtre 13. Le champ

Ronsard, dans le cadre d’une séquence jumelée avec le travail sur l’humanisme comme mouvement culturel ; – pour la Séquence 3 : l’étude des Fleurs du mal de Baudelaire sera sans doute souvent choisie, mais on pourrait opter aussi pour les Poésies de Rimbaud, les Romances sans paroles de Verlaine ou les Calligrammes d’Apollinaire ; – pour la Séquence 4 enfin : le choix est très vaste. En cohérence avec les textes du manuel, on pourrait donner la préférence à Éloges ou Vents de Saint-John Perse, au Parti

nouer des lignes de telle sorte qu’elles se fassent écriture, ou les dénouer de telle sorte que l’écriture devienne dessin» - «Somme toute, je cerne les fantômes, je trouve les contours du vide, je dessine»). Il fut pourtant, au lycée Condorcet, un «mauvais élève» qui avait du mal à se discipliner, qui échoua quatre fois au baccalauréat et qu’on renvoya pour indiscipline en 1904, et qui n’en garda qu'un souvenir marquant, celui de la révélation de la beauté masculine, en la personne d'un condisciple

Renaud. • « Lily » de Pierre Perret. • « La Ballade de Serge K. » de Charlélie Couture. • « Tam-Tam de l’Afrique » du groupe IAM. • « Un jour en France » de Noir Désir. Pour toute remarque, question ou commentaire : jcpeton@gmail.com JC PETON, LP Camille JULLIAN, Marseille, 2009. | | | |FRANÇAIS

glacés et luisants, comme un appel aux armes ! Exagérément cambrée, comme il est rare de l’être en France, elle s’étreignait dans un magnifique châle turc à larges raies blanches, écarlate et or ; et la plume rouge de son chapeau blanc – splendide de mauvais goût – lui vibrait jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien

Juive » de Maurice Fanon. « Hexagone » de Renaud. « Lily » de Pierre Perret. « La Ballade de Serge K. » de Charlélie Couture. « Tam-Tam de l’Afrique » du groupe IAM. « Un jour en France » de Noir Désir. Pour toute remarque, question ou commentaire : jcpeton@gmail.com JC PETON, LP Camille JULLIAN, Marseille, 2009. FRANÇAIS SéQUENCE : Peintures, poésies et chansons engagées. Auteur : JC PETON (LP Camille JULLIAN, Marseille). Durée : 12 à 40h (3 à 10 semaines). T BAC PRO