Commentaire Ovide Les Métamorphoses V 89 112

contextes A B C D E ................................................................................................... 195 Homère et son œuvre Un peu d’histoire pour mieux comprendre l’Odyssée Le Panthéon grec Dieux et déesses dans les chants V à XIII L’Odyssée : résumé commenté Chapitre 2 > Entrée dans le monde de l’Odyssée : un univers épique A B C D ...................................................................................................... 212 La représentation

religion: théologie des théologiens et théologie des écrivains, éd. M. Baude et M. M. Münch, PUF, 1980, p. 307 à 317. 85. J. Pommier, art. cité, p. 45. 86. A. Fairlie, ouvr. cité, p. 34. 87. Baudelaire, 1939, p. 26. 88. Projet de préface, p. 254. 89. Lettre à sa mère, 11 janvier 1858, à propos de Je n'ai pas oublié... et de La Servante au grand coeur... On songera aussi à une possible autocensure de Baudelaire, pour la dernière strophe des Petites Vieilles, en 1863; cf. le problème de La Lune offensée

quelque chose d'inhumain, qui marque un retour aux instincts primitifs". C'est ce retour aux pulsions primitives qui me semble caractériser le parcours de Maldoror, d'autant plus qu'il se comprend comme une réponse à l'insomnie imposée par l'araignée en V,7, comme une libération et une affirmation de la puissance vitale et de la sauvagerie retrouvées : "Réveille-toi, Maldoror ! Le charme magnétique qui a pesé sur ton système cérébro-spinal, pendant les nuits de deux lustres, s'évapore." Il se réveille

contractuelle, préf. H. Muir Watt, 2001, PUAM. – Ph. JACQUES, Regards sur l’article 1135 du code civil, préf. F. Chabas, 2005, Dalloz. – B. JALUZOT, La bonne foi dans les contrats. Étude comparative de droit français, allemand et japonais, 2001, Dalloz. – V. LASBORDES, Les contrats déséquilibrés, préf. C. Saint-Alary-Houin, 2000, PUAM. – S. LE GAC-PECH, La proportionnalité en droit privé des contrats, préf. H. Muir Watt, 2000, LGDJ. – D. MAZEAUD, La notion de clause pénale, préf. F. Chabas, 1992, LGDJ.

bien que j’aime, Et je fais le mal que je hais. Jean Racine, Cantiques spirituels, 3, 1694 Voici le temps enfin qu’il faut que je m’explique Jean Racine, Bérénice, v. 343 Ah Rome ! Ah Bérénice ! Ah prince malheureux ! Pourquoi suis-je empereur ? Pourquoi suis-je amoureux ? Jean Racine, Bérénice, v. 1225-1226 TABLE DES MATIÈRES PARTIE I – LE CONTEXTE DE L’ŒUVRE 5 I – ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES ET HISTORIQUES

elle pourrait introduire un renversement de la stabilité: déséquilibre lié au monde du meurtre ? Conclusion : 1 L’arbre est le fil conducteur de la première partie de l’œuvre : échos de la présence de cet arbre. P 10 et 11 : le descendant de V lit dans le jardin près de l’arbre. P 33 Frédéric II, voit l’homme « dénaturé » sous le hêtre de la scierie. Bonheur de cet homme qui vient sereinement d’assassiner. P 36 37 : automne sanglant M 312. P 38-39 description du hêtre surnaturel. P 63-64

classique et sa postérité P. Corneille, Horace H. de Montherlant, La Reine morte ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE P. Corneille, Horace TEXTE 2 J. Racine, Bajazet D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 A. de Musset, Lorenzaccio TEXTE 3 J. Racine, Mithridate D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 V. Hugo, Ruy Blas ANALYSE D’IMAGE P. Picasso, Les Pauvres au bord de la mer TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS Lecture de Bajazet A. Dumas, Antony G. Moreau, Œdipe voyageur T. Chassériau, Andromède B. Cellini, Persée P. Bruegel, La Chute

Tunisie, première partie, Aperçu sur la géographie physique (1907). — Pour la Tripolitaine, Méhier de Mathuisieulx, dans les Nouvelles Archives des missions, XII, 1904, p, 48-59, et dans les Publications de l’Association historique de l’Afrique du Nord, V, 1906, p. 47-81. LES RÉGIONS NATURELLES DE L’AFRIQUE DU NORD. 3 son cours inférieur, a marqué pendant des siècles une limite entre des royaumes indigènes, puis des provinces romaines. Au Sud, une longue dépression(1), orientée de l’Est à l’Ouest

respectables, suggéré aux artistes, aux poètes, aux littérateurs l’idée de créations et même d’admirables chefs-d’œuvre. C’est donc, croyons-nous, un devoir de les respecter ici, et de les reproduire dans leur entière simplicité, sans pédantisme et sans commentaire, avec leurs étranges, leurs merveilleux détails, sans nous préoccuper de leur invraisemblance ou de leurs contradictions. En fait de croyances, l’humanité se laisse guider non par sa raison, mais par le désir, le besoin de connaître la raison des

le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ?… ») pour briser l’illusion romanesque. En créant cette distanciation entre lecteur et la fiction, les deux auteurs entendent mettre en place une esthétique réaliste du roman. Commentaire Le commentaire du passage s’attachera à mettre en valeur la dimension théâtrale de la scène où les élèves pourront réinvestir certains éléments de réponse aux questions 1, 3, 4, 7, 9. La deuxième partie sur la présence joyeuse du conteur pourra souligner