Commentaire Ovide Les Métamorphoses V 89 112

Exprimer à l’oral son opinion, son désaccord de manière argumentée • Connecteurs d’opposition • Procédés de la concession • Débattre autour d’une des trois interrogations de l’objet d’étude • Se préparer progressivement à la synthèse et au commentaire de documents en vue de l’épreuve du BTS • Synthèse sur les connaissances et les attitudes sollicitées durant la séquence Manuel : p. 26-27 ÉVALUATION Pour le Bac pro Manuel : p. 28-29 • Guide : p. 22 6 Objet d'étude 1 : Identité et diversité

le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ?… ») pour briser l’illusion romanesque. En créant cette distanciation entre lecteur et la fiction, les deux auteurs entendent mettre en place une esthétique réaliste du roman. Commentaire Le commentaire du passage s’attachera à mettre en valeur la dimension théâtrale de la scène où les élèves pourront réinvestir certains éléments de réponse aux questions 1, 3, 4, 7, 9. La deuxième partie sur la présence joyeuse du conteur pourra souligner

16 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur le roman. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 VERS LE BAC Question sur un corpus : Duras, Échenoz, Chevillard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22-27 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours 8 9 10 11 12 13 Le texte et la scène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

d’accent ne se laisse pas aisément résumer. Cependant, en interrogeant les poètes français, avec qui, la poésie de la seconde moitié du XIXe siècle nous fait éprouver sans précédent la contradiction, le vide, l’hiatus, l’angoisse, l’ambiguïté et la métamorphose, il nous paraît possible de définir ce qui est indéfinissable, mais de manière générale : la poésie française moderne est celle qui cherche à créer le sens en une assomption violente, parfois tragique, du non-sens ; celle qui est mobile et discontinue

UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE V : CONCEPTS ET LANGAGES Centre de Linguistique Théorique et Appliquée (CELTA) EA 3553 THÈSE pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L’UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE Discipline/ Spécialité : Linguistique, stylistique et traductologie Présentée et soutenue par : Mathias DEGOUTE le 12 juin 2010 LES MAXIMES DE LA ROCHEFOUCAULD EN ANGLAIS : POUR UNE LINGUISTIQUE DE L’APHORISME Sous la direction de : M. Michel VIEL JURY : M. Bernard COTTRET Mme Laurence

représentation de la lune. Mais en quoi cela concerne-t-il la mythocritique ? Y aurait-il un mythe de la lune ? Un mythe de l’harmonie des sphères ? Dans cette même perspective, on peut se demander ce qui justifie de parler du « mythe de la métamorphose » (P. Brunel) ou du « mythe du dandy » (E. Carassus) : titres publiés chez Armand Colin, dans une collection « trop tôt interrompue » selon son directeur Pierre Brunel 3 , et dans laquelle il n’est pas interdit de penser, avec Frédéric Monneyron

.........................................................10 CHANT III ...............................................................................16 CHANT IV .............................................................................. 22 CHANT V................................................................................ 28 CHANT VI .............................................................................. 34 CHANT VII..................................................................

37 Perec, Georges, « Le travail de la mémoire (entretien avec Frank Venaille) », in : Monsieur Bloom n°3, mars 1979, pp.72-75 (titre original : « Perec le contraire de l’oubli »), repris dans Je suis né, op.cit., pp.8182. 38 Ibid., p.88. 39 Ibid., p.89. 17 L’Atlas de la mémoire dans l’œuvre de Georges Perec Ecrire : essayer méticuleusement de retenir quelque chose, de faire survivre quelque chose : arracher quelques bribes précises au vide qui se creuse, laisser, quelque part, un sillon, une trace

| | | |Début au chapitre V (pp. 1 à 242 de l’édition papier) | | | |

dans un simple symbole des craintes multiples de l’homme, ou « la partie nocturne de notre culture » (Ibidem, p. 8) – n. n. « Chassez l’Enfer et il reviendra au galop », avait également averti un grand spécialiste du fantastique, Roger Caillois (Métamorphoses de l’Enfer, in Diogène, no. 85, 1974, p. 70) ! – n. n. 25 En reprenant à son compte la formule baudelairienne, Denis de Rougemont commence son livre La part du diable 17 par les propos suivants : « Mais ne nous attendons pas à y retrouver un