Commentaire Phèdre Aveu

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ses faux oracles, ni ses flèches rebouchées [émoussées]. Souvenez-vous de votre ancienne Marseille, de vos secondes Athènes et de votre Hercule gallique, tirant les peuples après lui par leurs oreilles avec une chaîne attachée à sa langue.» Commentaire Pour écrire ce manifeste composé de deux livres comportant chacun douze chapitres tous titrés, dédié par Du Bellay à son oncle, il avait pillé Cicéron, Quintilien, Dolet. . ., et surtout l'Itaiien Sperone Speroni et son ''Dialogue des langues''

affirme que « l’écrivain est en situation dans son époque » : tout ce qu’il écrit n’aurait pas de valeur s’il n’exprime pas son engagement. En outre, célébrer sa sensibilité et se vanter d’une lucidité supérieure à celle de ses prédécesseurs est un aveu de la responsabilité dont l’artiste se revêtit ; par conséquent, le don de manier le verbe ou la plume implique le bon usage de cette faculté. La tâche qui prétend la noblesse ne saurait « s’aveugler » à la défense des faibles et à la lutte l’injustice

dénonce la cupidité des conseillers et brosse avec éloquence, le tableau d’une Espagne à son déclin (III,2). Dissimulée dans un cabinet secret, la reine a tout entendu. Pleine de gratitude, elle exprime sa reconnaissance au jeune homme et lâche cet aveu : « Reine pour tous, pour vous je ne suis qu’une femme » (III,3). Seul, Ruy Blas exulte. Galvanisé par l’amour de sa reine, il peut tout entreprendre ! (III,4). Félicité de courte durée ! Salluste réapparaît et rappelle à Ruy Blas son état de valet

lyrique, épique, ironique, comique, tragique, dramatique ) 5- Identifier les procédés d'écriture et on analyse les effets produits 6- Etablir le plan : C'est la phase finale en partant de la plus grande évidence pour arriver à la plus petite Le commentaire composé : Il explique le texte, fait le bilan de lecture, complet et approfondi, il est organisé selon les idées directrices. On commence par identifier le genre, le registre, les buts de l’auteur… Il comporte en général 2 ou 3 grandes parties

petites grandes filles m'agacent, ça a peur de se déchirer aux ronces, ça a peur des petites bêtes, des chenilles velues et des araignées des bruyères, Si jolies, rondes et roses comme des perles, ça crie, c'est fatigué, insupportables enfin.» Commentaire “Claudine à l’école” est, dit son héroïne, «décidément un journal». Sous l'apparent décousu du déroulement scolaire des heures et de jours, c’est un mélange d'éléments autobiographiques et de fiction, construit à l'aide de notations brèves mais

dénonce la cupidité des conseillers et brosse avec éloquence, le tableau d’une Espagne à son déclin (III,2). Dissimulée dans un cabinet secret, la reine a tout entendu. Pleine de gratitude, elle exprime sa reconnaissance au jeune homme et lâche cet aveu : « Reine pour tous, pour vous je ne suis qu’une femme » (III,3). Seul, Ruy Blas exulte. Galvanisé par l’amour de sa reine, il peut tout entreprendre ! (III,4). Félicité de courte durée ! Salluste réapparaît et rappelle à Ruy Blas son état de valet

Philine, qui aime Cléandre, différents galants. Mais le valet de Cléandre, Crispin, prend leur place, et se conduit de telle façon qu’on leur préfère finalement son maître qui peut épouser sa belle, tandis que Crispin et Toinette se marient aussi. Commentaire Le sujet était dans la lignée du ‘’Dépit amoureux’’ et de ‘’Monsieur de Pourceaugnac’’ de Molière, du ‘’Légataire universel’’ de Regnard, et de tout le théâtre comique français et italien. Ce petit acte sans valeur intrinsèque était médiocrement

n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il a provoquée, il offre le mariage à Cloris : la pièce se termine donc sur l'annonce d'un double mariage. Commentaire La pièce est un écho de la passion de Corneille pour Catherine Hue qui porta longtemps, dans Rouen, le nom glorieux de Mélite. Cette comédie apporta une véritable révolution dans le paysage théâtral de 1630 où la scène était dominée par le genre

simple, celui-ci en annonce en effet quelques traits : le ton faussement doctrinal (« le verdict de l’urinal »), l’usage de formules hermétiques (« le mal de saint Léonard »), l’appel à l’aide de Dieu (« que Dieu nous aide ! ») pouvant passer pour un aveu d’incompétence, l’indigence de sa « science » renvoyant systématiquement l’origine du mal à des vices connus des patients. L’époque moderne pourrait aussi reprocher à cet imposteur d’enfreindre sans vergogne ce que nous appelons aujourd’hui le «