Commentaire Sur Confession De Baudelaire

Commentaire: A une heure du matin, Baudelaire   - Introduction : - Poème en prose de Baudelaire dans lequel le poète s’érige en juge et de la société et de lui-même. A une heure du matin, c’est donc l’heure de la critique et de l’auto-critique (de la méditation, du recueillement, de l’examen de la conscience). Le commentaire doit s’articuler autour de deux questions principales : Quelle(s) attitude(s) le poète adopte-t-il à l’égard de la foule et quelle est la conception baudelairienne de la création

4 : Convaincre, persuader et délibérer : formes et fonctions de l’essai, de la fable et du conte) Corpus : GT (1. Essai : Baudelaire 2. Trois fables de La Fontaine 3. Un extrait de Candide Lecture complémentaire : Les Fables (livres V, VI, VII) Séquence 3.Formes et enjeux de l’écriture autobiographique (Objet d’étude 5 : L’auto biographie) Corpus : Les Confessions de Rousseau (livres I-IV) + GT (Chateaubriand, Proust, Yourcenar) Lecture complémentaire : Lambeaux de Charles Juliet Séquence

est un fragment du poème de Charles Baudelaire sous le titre «Je n'ai pas pour maitresse une lionne illustre ». Les paroles de Baudelaire nous montrent l’idée générale du texte, c'est-à-dire l'amour absolu d'une femme ni jeune, ni belle et qui, en plus, semble d’être une prostituée. C'est pour cela qu'elle, au premier coup d’œil, ne mérite pas un vrai amour. Quoiqu'elle ne soit une femme parfaite, il semble que l'auteur l'aime à la folie. Dans ce commentaire, on s'occupera de deux centres d’intérêt :

libertins : « L’homme libre » de Bonaventure de Fourcroy (1610-1691) et « Assis sur un fagot, une pipe à la main », de Marc-Antoine Girard de Saint-Amant (1594-1661). - La Bruyère, « Onuphre n’a pour tout lit… », 24 VI, Les Caractères, 1688. - Baudelaire, « Don Juan aux enfers », Les Fleurs du Mal : poème XV, 1840. - Entretien de Marcel Bluwal à propos de sa mise en scène de Dom Juan. ➢ Les représentations - Captation des premières scènes de Dom Juan étudiées en classe : téléfilm réalisé

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Cette première partie est consacrée à sa vie et ses œuvres celles-ci étant résumées et commentées (surtout ‘’Les fleurs du mal’’ et ‘’Petits poèmes en prose’’). Bonne lecture ! Le 9 avril 1821, Charles-Pierre Baudelaire naquit au 13 rue Hautefeuille à Paris (vieille maison au cœur du Paris médiéval qui se trouvait à l’emplacement actuel de la librairie Hachette car elle fut détruite lors

« Le Pélican » extrait de la nuit de mai écrit en 1835 par Alfred de Musset poète du 19ème siècle écrivain romantique, appartenant aux poètes maudits, il est également l’auteur de « La Confession d’un enfant du siècle ». Ensuite il y a le poème « L’albatros » extrait des fleurs du mal (1857) de Charles Baudelaire poète du 19ème siècle, écrivain symbolique il appartenait aux poètes maudits, il a également écrit : « Le Spleen de Paris » en 1869. Puis il y a le poème « Le Crapaud » extrait de Les Amours

Accéder au commentaire de texte : Commentaire : Baudelaire : La cloche fêlée Extrait étudié : La cloche fêlée INTRO : Ce sonnet irrégulier, extrait de Spleen et Idéal, exprime de façon tragique la malédiction du poète Derrière la double allégorie de l’hiver, saison dévolue au spleen et à la souffrance, et de la cloche, qui symbolise explicitement l’âme, c’est une confession sur l’impuissance créatrice qui se cache. I° AVANT LA CREATION : rêverie et méditation. 1) La rêverie Le poème

le symboliste Verlaine. Tiré du recueil Poèmes Saturniens dont le sujet est l’influence maligne de Saturne sur ceux nés sous son signe, le sonnet a le même titre qu’un poème de l’américain Edgar Poe (recueil Histoires Extraordinaires traduit par Baudelaire). •        Evocation d’une idylle à la manière impressionniste •        La confidence d’un souvenir plus ancien •        La nostalgie des souvenirs     I – Evocation d’un souvenir à la manière impressionniste 1) Paysage présenté comme

Cours de Français Tronc CommunLa LectureLes confessions, Rousseau :· Récit autobiographique publié à titre posthume en 1782 (pour la première partie) et 1789 (pour la seconde). Les douzes livres que comporte l’ouvrage retracent l’histoire sans fard d’une vie soumise à l’appréciation du lecteur : ce projet naît en 1764, il est achevé à la fin de l’année 1770. Le texte est tout d’abord connu par des lectures confidentielles, faites par l’auteur, chez le marquis de Pezay, le poète Dorat, puis devant

Annonce des axes d'étude Commentaire littéraire I- La toute puissance du Mal - La présence du Spleen Baudelaire est en proie au Spleen (= mélancolie, ennui profond), écrire lui permet d’exprimer ce mal-être. Baudelaire nous expose donc une vie qui n’a rien d’attrayant. Il décrit le destin comme un « chemin bourbeux » se rapprochant ainsi du Spleen. Ainsi, il s’oppose à l’habituelle représentation de la vie telle une longue route tranquille. L’auteur utilise d’autres locutions péjoratives