Communard

atelier, en général une représentation humaine à l'échelle 1 reproduite par sérigraphie. Il installe lui-même son oeuvre dans la ville, la nuit. Son art est souvent engagé. Contexte sociale: Des corps en souffrance, des visages, un hommage aux communards, l'horreur du nucléaire, l'avortement, l'apartheid, le Sida, les immigrés, les expulsés, la guerre d'Algérie, la Palestine... Chez Ernest Pignon le geste artistique n'a d'intérêt que s'il laisse une empreinte et réveille les consciences. - A la

commutation de la peine du criminel John Tapner et échoue face à l'inflexibilité du secrétaire d'État de l'Intérieur, Lord Palmerston. Ses espoirs de voir sa cause progresser avec le retour de la République seront déçus par la sanglante répression des « communards ». Pour autant, ce discours constituera une référence pour ceux qui militeront pour l'abolition de la peine de mort jusqu'à la loi du 9 octobre 1981. Le Dernier jour d'un condamné (1829) -A vingt-sept ans, Victor Hugo écrit Le Dernier jour

par la commission de colportageN 12,21, et par la publication de La Faute de l'abbé Mouret, une attaque en règle contre le dogme de la chasteté, renforcé alors par la mise en œuvre du culte du mariage par l'Église22. Il défend aussi activement les communards graciés par la loi d'amnistie, en évoquant les parias de la Révolution de 1848 dans Le Ventre de Paris et en soutenant notamment Jules Vallès afin que celui-ci puisse publier ses textes. Ce seront les derniers articles politiques de Zola, puisqu'il

réfugié à Versailles et Adolphe Thiers va ordonner l’armée de récupérer les canons de la guerre nationale. Le peuple se révolte et le chef de la extrême gauche s’installe à l’Hôtel de Ville et proclame la Commune de Paris. Il y a eu environ 10 000 communards exécutés par l’armée française envoyé par Thiers sans procès. De plus, 10-15 000 personnes ont été emportées en Guyane (docs 4et5p.125). La République est sauvée par la mésentente des royalistes. Ces derniers sont divisés par les Orléanistes (membre

La IIIe République est proclamée le 4 septembre. Mais cette nouvelle république connaît de nombreuses turbulences. La droite et la gauche sont très divisées et une insurrection populaire se déclenche à Paris en mars 1871 : c'est la Commune. Les Communards et les Versaillais se livrent des combats sans merci pendant la "semaine sanglante", du 21 au 28 mai 1871. Après ce début chaotique, la république commence enfin à se mettre en place. Adolphe Thiers est Président mais ne souhaite qu'une république

comité des 20 arrondissements. Elu dans le II, il en devient le maire. Après la défaite de la Commune, il doit se cacher, s'exiler. Condamné à mort par contumace le 17 mai 1873, il s'installe aux Etats-Unis d'où il organise la solidarité pour les communards déportés. Après l'amnistie de 1880, à demi paralysé, il rentre en France où ses écrits sont peu connus car la censure a empêché leur diffusion. Malgré sa pauvreté, il poursuit la publication de ses poèmes. Mais c'est le texte de «l'Internationale»

s’arrête par son Coup d’Etat en Décembre 1851. 1852-1870 = Règne de l’Empereur Napoléon III, qui se stoppe avec la Défaite de Sedan le 2 Septembre 1870 et son exilement en Angleterre. Il meurt le 9 janvier 1973. 1871 = La Commune , révolte des Communard et Semaine Sanglante. 1870-1940 = 4 septembre 1870 Proclamation de la République Mai-Juin 1940 Défaite de la France 10 juin 1940 Départ de Paris du Gouvernement 16 juin 1940 Philippe Pétain Président du Conseil 22 juin 1940 Armistice 10 juillet

allait permettre l'émergence du talent du jeune Debussy, et si tous ces évènements dramatiques n'avaient eu lieu, on ne sait si la carrière de Debussy aurait été celle que l'on connaît aujourd'hui. En effet, Manuel-Achille rencontra dans les prisons communardes un autre prisonnier, Charles de Sivry, un musicien autodidacte (il était notamment chef d'orchestre). Les deux hommes se lièrent d'amitié et échangèrent leurs soucis. Sivry proposa de confier le petit Debussy à sa mère, Madame Mauté. Cette dernière

inscrite dans notre temple. Mais au regard de l’histoire également, passée et présente, parler de fraternité, c’est faire un douloureux constat d’échec. Au temps de la commune de Paris, des Francs-maçons versaillais n’ont-ils pas fusillés des F:.M:. communards ? Sous l’Occupation, des Francs-maçons n’ont-ils pas voté les pleins pouvoirs à Pétain? « FRATERNITE » était le nom d'un journal clandestin de la Résistance, sous l'Occupation. Et puis, pour éviter toute hypocrisie sur ce terme, si nous

l’entrée et le défilé des Prussiens en mars 1871. La décision de supprimer la solde de la garde nationale et d’enlever les canons sur les hauteurs de Montmartre entraînent la révolte, la Commune de Paris, qui s’achève par un affrontement sanglant entre Communards et Versaillais commandés par le général Mac-Mahon : environ 20000 morts, 30000 arrestations et des condamnations à la déportation sont prononcées. Au départ, cette République est conservatrice et royaliste puisqu’elle aspire au retour de la