Communard

l'empire. Désormais plus que des formules républicaines (sauf exception régime de Vichy). Gouvernement provisoire > Léon Gambetta, quitte Paris assiégé et crée son gouvernement à Tours. Paris capitule > entraîne commune de Paris, les communards refuse de rendre leur armes. Bismarck (chef des prussiens) libère armée napoléonienne pour permettre à Adolf Thiers écrase commune de Paris (semaine sanglante). Louise Michel, déportée en NouvelleCalédonie. Chute de l'empire. 1872 : Gouvernement

enfants (en réponse à l’exécution de Lecomte et Thomas)· Le 28 mars, dernière barricade tombe· Moins de 900 Versaillais morts contre 10 000 Communards· Puis répression judiciaire = 36 000 jugements par 24 conseils de guerre (dont un millier de femmes et d’enfants). + de 10 000 condamnés. Moitié à la prison, 93 à mort. 4600 déportés· Représailles communardes (en même temps que l’avancée de Versailles)· Décret du 5 avril = trois otages exécutés pour 1 prisonnier tué par les Versaillais· Tentation de

monarchistes. Le souvenir tragique de cette aventure héroïque et utopique restera gravé dans la mémoire ouvrière : depuis 1885, socialistes et révolutionnaires font pèlerinage devant le mur des Fédérés au Père-Lachaise, principal lieu d’exécution des communards. La Commune est avant tout l’immense espoir de toute une population d’opprimés et de misérables. Soutenant l’égalitarisme et abolissant le pouvoir de l’or et de l’argent, la Commune fait du rêve socialiste une réalité. Soutenue par Karl Marx

crise a mis fin aux espérances de restauration monarchique, la république est définitivement installer. Les chambres s’installent définitivement à Paris, la marseillaise devient le 14 févier 1879 l’hymne national Les communards jusqu’à lors emprisonner sont amnistiés. (communards sont les personnes participant à la commune de Paris et avait trouvé son origine dans la défaite de 1870 et voulaient faire une nouvelle révolution et rejeter le modèle de la révolution de 1789 qui était selon eut un modèle

de table de Victor Hugo, E. Dentu, 1885. * Paul Lafargue, La Légende de Victor Hugo, Mille et une nuits,(texte original : La Légende de Victor Hugo de 1817 à 1873), parue dans la Revue socialiste, 1885. Pamphlet virulent, écrit par un ancien communard, et à contre-courant, accusant l'écrivain de n'être qu'un bourgeois opportuniste,(La Légende de Victor Hugo sur Wikisource). * Juliette Drouet, Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo choisies, préfacées et annotées par Paul Souchon, coll

république Le 23 mars 1871, les parisiens élisent un « conseil général de la commune de Paris » avec programme politique et social. Le 21 mai, Thiers décide de reprendre Paris ce qui déclenche une semaine de combat entre les « versaillais » et les « communards » qui fait plusieurs milliers de personnes. De 1873 à 1876, les monarchistes préparent la restauration de la monarchie pour cela ils demandent l’avis au petit fils de Louis-Philippe et au petit fils de Charles X, mais suite au refus des deux comtes

par la rencontre de tant de croix »= volonté de le faire passer pour un enfant / un animalPonctuation dominante : ! + ? = signe d’excitation, de jalousie, de colère : elles prennent des proportions importantesIronie dans ses propos : « Ah que les communards avaient raison » + « une haine de socialiste » + sorte de girouette au niveau politique, quand il est jaloux, il s’identifie au parti adverseÉnumération ligne 46 à 50 = description du goût du personnage pour le luxe, pour la célébrité : « il aurais

aux yeux du peuple français la résistance républicaine au Second Empire. Le 8 février 1871, il est élu à l’Assemblée nationale. En 1876, il est élu sénateur. L’une de ses premières interventions est un plaidoyer en faveur d’une amnistie pour les communards.    L’âge n’assèche pas sa plume. A 75 ans, il continue d’écrire et publie la Légende des siècles et l’Art d’être grand-père (1877). Pour ses 80 ans, une foule estimée à 600 000 personnes défile devant ses fenêtres.    Le 22 mai 1885, Victor Hugo

période sanglante qui connut son apogée avec la Commune. Il retourna à sa maison de Guernesey pour écrire son dernier roman, « Quatrevingt-treize », sur la contre-révolution vendéenne. En 1876, il fut élu sénateur, et il demanda l'amnistie pour les communards. Un second volume de « La légende des siècles » (1877) fut publié (un troisième volume sera publié en 1883). Hugo était alors une grande figure nationale, et l'avenue qui bordait sa résidence fut baptisée de son nom. Il décéda en 1885, et ses derniers

seraient exécutés outre-mer, principalement en Guyane et en Nouvelle-Calédonie. • Le bagne de Nouvelle-Calédonie fut le moins meurtrier en ce qu’il était réellement destiné à la colonisation. Une partie des transportés (en général des politiques : Communards et révoltés kabyles de 1871) jouissaient d’une certaine liberté. Mais devant l’hostilité des autres colons, la dernière transportation eut lieu en 1897 et le bagne ferma en 1924. • Avec la Guyane, ce fut tout autre chose. Les conditions de