Communautarisme

histoire bien française 1) L’immigration, un objet d’étude récent 2)Un phénomène ni récent, ni homogène, ni plus intense aujourd’hui qu’hier, aux origines multiples 3) L’immigration au centre du débat politique français II/ Le refus du communautarisme, une tradition républicaine à la base de l’intégration à la française… 1) Construire la « communauté de citoyens » 2) L’intégration à la française, entre modèle et tradition 3) Le « creuset français », une réalité qui dépasse la seule

politique homogène, bien qu'il ait été revendiqué par certains courants hippies et qu'il a influencé certains systèmes de pensée de la gauche non marxistes et en rupture avec la social-démocratie (économie solidaire, alternatifs, autogestion, communautarisme de lieux de vie). La pensée écologiste notamment, dans un certain aspect peut se situer dans cette filiation

montée de l’individualisme qui se traduit par un repli des individus sur la sphère privée ; il peut aussi être affaibli par les revendications identitaires qui peuvent remettre en cause le modèle d’intégration à la française avec les risques de communautarisme mis en évidence par D. SCHNAPPER. II/Le rôle intégrateur de l’Etat affaibli A)Les difficultés de l’Ecole à créer du lien social Une massification plus qu’une démocratisation (doc. 5 « démocratisation ségrégative »)( arrivée de « Nouveaux

Dans un monde où le libéralisme et l’ouverture des frontières pour le libre échange et le déplacement des personnes et des bien sont les maîtres mots de l’actualité internationale, on assiste à une vague de retour au communautarisme et de repli sur soi sans précédent dans l’histoire humaine ; cette vague se base sur la suprématie d’une identité sur les autres et même sur les droits universaux. Alors pour contrer toute forme de réformes ou de réflexions qui avanceraient l’humanité dans le sens

sociales et ne parvenant pas à atténuer la progression de l'individualisme et les comportements calculateurs.. 

La citoyenneté Enfin, le lien social par la citoyenneté semble lui aussi en relative crise, en témoigne le développement de formes de communautarismes (ethniques, religieuses, ..) et la remise en question de la légitimité de l'Etat certaines de ses fonctions. 2. Les conséquences du défaut d'intégration Les conséquences sont multiples dans la mesure où elles peuvent déboucher sur

notion de sagesse d’esprit. 2/ schéma de vie de certains vus comme des « marginaux » III°/ La solitude vue par la multitude 1/ Antiquité : homme seul est synonyme de rejet, de punition 2/ L’incitation incessante des sociétés au communautarisme (Guy de Maupassant, Friedrich Nietzsche) Conclusion : solitude >< isolement (J. Roux)

constituent la Poverty Belt. * La situation sociale trouve une explication dans l’évolution de l’emploi et la faiblesse de la protection sociale. * Conséquences: c’est la fin du mythe du melting pot (fusion des populations immigrées) c’est le communautarisme (fragmentation de la société américaine en communautés cloisonnées) qui s’est imposé. La ségrégation socio spatiale est frappante dans les villes : aux ghettos on peut opposer les gated communities dans lesquelles vivaient 55 millions d’Américians

individuel dans la vie politique afin de garantir les droits humains. En effet, cet article met en valeur la notion de « cohésion ». La démocratie implique une volonté de définir et de réaliser collectivement le bien commun. Ils s’opposent aussi au Communautarisme qui voudrait revaloriser le modèle d’intégration des communautés autour d’une même culture. Les communautariens sont contre une société libérale qui ne représente qu’un agrégat d’individus qui ne coopèrent que dans la mesure où ils y trouvent

facteur constitutif de la nation américaine, la nation française revendique une origine séculaire et les immigrés ne peuvent qu’être assimilés, car la fonction de l’immigration est d’alimenter le système économique en main-d’œuvre. Le refus du communautarisme explique pourquoi il est si difficile, dans la culture française, d’accepter le vote des immigrés de peur de voir surgir un vote non-citoyen, c’est-à-dire un vote reposant sur des considérations ethniques. q Quel droit de vote pour les immigrés

« global village. » Chaque ville serait ainsi un monde (une capitale serait un résumé de la planète. Mais la réalité de notre cosmopolitisme est très différente. Souvent règne le communautarisme ou les cultures se juxtaposent, s’accolent dans des quartiers (Chinatown) sans jamais se mélanger. Peut-être que le communautarisme reproduirait alors le « choc des civilisations » dénoncé par Huntington. Les idées des Lumières, l’autre cosmopolitisme. ⇒ Toutes les formes de cultures sont possibles, à condition