Communication Et Refus De Soin

toucher - Un langage en 6 symboles -Communication verbale et non verbale Concepts de pudeur, de nudité, d’intimité - Développement de la personnalité - Concept de soi, image de soi - Cadre de la relation de soin - Démarche palliative pluridisciplinaire Ethique du toucher - Sous quelles formes et parties du corps ? Quand et pour quelle nature de soin ? Critères d’évaluations verbaux, non verbaux, cliniques… chez le patient conscient, inconscient pendant/après le soin. SOMMAIRE Version courte 1 –

dans la chambre avec l'idée d'aller chercher ses enfants à l'école. Sur le coup je n'ai pas pu trouver des arguments pour la calmer et lui enlever cette idée de sa tête. 01 ANALYSE DE LA SITUATION Avant d'avoir réussir à établir une communication avec la résidente dans le calme, il y a eu des obstacles qu'ont freiné l'échange. Mon manque d'expérience dans ce milieux avec peu de connaissance de la pathologie, la démente type Alzheimer confusionnel avec des trouble de comportements dont

permis d'acquérir des compétences pratiques et des connaissances théoriques en soins infirmiers. J'ai pu développer ma posture professionnelle pour répondre aux attentes du métier d'infirmière. J'ai choisi de m'interroger sur l'influence de la communication non verbale dans la relation soignant-soigné à travers une situation vécue pendant ma formation. Lors de mon second stage de deuxième année en service de long séjour, j'ai été confrontée à une personne non communicante. Je me suis sentie en

demi-heure sa toilette en cas de douleur mais cela n’a pas été nécessaire car elle se sentait bien et pas très algique et plutôt dynamique. - J’ai observé durant le soin que Madame C pose beaucoup de questions sur son mari qu’elle oubli décédé dans un premier temps, son fils et sa belle-fille. J’avais bien entendu prévu de mettre la communication afin que la toilette soit un moment agréable mais je n’avais pas anticipé ses questions parfois perturbantes au sujet de la visite éventuelle de son mari décédé

activités et à coucher les personnes âgées. Il m’arrivait quelques fois d’aider les aides soignantes à faire les toilettes, du moins les aider à mobiliser les patients lorsqu’ils étaient dépendants. C’est à partir de cette expérience que j’ai découvert ce soin qui permettait d’avoir un moment privilégié avec le patient, d’avoir un échange privé avec lui. La toilette est pour moi un des soins les plus agréables à donner, et plus particulièrement, à donner aux personnes âgées. J’éprouve à leur égard un certain

présentation, pour le moins disparate donne le sentiment d’une liste de théories qui s’additionnent, et qu’il est difficile de relier entre elles et avec la pratique. Les encadrés, faisant référence à des notions de psychologie, sociologie ou de communication semblent souvent « plaquées » et sans lien direct avec la situation présentée. De plus, pour chaque situation, l’auteur énumère des solutions qui s’apparentent à des « recettes » qu’il est difficile de superposer sur chaque situation, tant les

celle-ci était entrouverte, à vérifier la température du radiateur, j'ai respecté les choix de la patiente pour la température de l'eau, pour le choix de ses vêtements. Pour le respect de la personne, je la salue et me présente, de plus, j'ai eu une communication adaptée en regard de sa démence. Avez-vous essayé de développer les capacités et l'autonomie de cette personne ? J'invite la patiente à se sécher le visage, dans le but d'essayer de garder encore un peu d'autonomie. Avez-vous observé une évolution

cependant par mesure d’hygiène, elles se rendent au domicile des patients, ce qui les amènent à établir de longues tournées, mais seulement le matin. Elles emmènent avec elles le matériel nécessaire. Les infirmières libérales sont payées à l’acte de soin selon plusieurs critères. Il y a les actes isolées et les actes de soins pour les patients atteints de pathologies chroniques (affections de longue durée). Le rôle propre de l’infirmière libérale ne change pas selon l’article R.4311-3 des Actes

choisir la nature de ce qui serra dis ? c’est surtout l’expérience, la formation, les repères juridiques, culturels, déontologique et la dimension psychologique du soin qui vont guider les médecins dans ce processus de l’annonce. 1. le cadre juridique : L’annonce de la maladie est un moment essentiel dans le processus du soin et d’accompagnement, cependant cette étape doit respecter et le choix et la dignité du patient, afin de lui permettre de vivre au mieux avec sa maladie. Un certain

de l’alimentation et du sommeil. Stade sévère : atteinte de la mémoire, du langage oral, de l’écrit, de la compréhension, difficultés à se repérer qui conduisent à un mutisme. Stade terminal : perte de l’autonomie, la personne n’a plus aucune communication verbale, ne peut plus se déplacer ce qui entraine un état grabataire. Ne s’alimente plus, perte de poids, infection bronchique. Les personnes atteintes de la maladie de Parkinson : troubles de la mémoire, tremblements, rigidité musculaire, ralentissement