Compagnie de théâtre

différents métiers, dont celui de tailleur, avant d'entrer comme comédien dans la compagnie Jacques Fabbri. Il aborde l'écriture théâtrale en 1968 avec Demain une fenêtre sur rue, puis ce sera Mathieu Legros, Chez Pierrot, Michu, Rixe ; Amorphe d'Ottenburg appartient à cette époque. Ensuite — mis à part En r'venant d'l'expo qui raconte le destin d'une famille de comiques troupiers à la Belle Époque — le théâtre de Jean-Claude Grumberg entreprend de mettre en scène notre histoire et sa violence

tragédie héroïque, Edmond Rostand met somptueusement en scène Cyrano de Bergerac, un personnage aux talents de bretteur, de poète et d'écrivain et dont l'éloquence n'a de rivale que la longueur de son appendice nasal. L'auteur écrit une pièce de théâtre sans égal où se mêlent amour et humour, émouvante tant par sa poignante intrigue passionnelle que par la verve et la répartie des personnages, créant un véritable festival de mot et rendant le récit inoubliable par sa beauté.   Acte I :  La scène

industrielle, la commune doit son développement à l'atelier créé par Alphonse Clément-Desormes[4] en 1846-1847, sa compagnie des hauts fourneaux et ateliers d'Oullins va notamment produire des locomotives à vapeur. Les ateliers sont rachetés par la Compagnie du chemin de fer Grand-Central de France en 1854, avant de devenir un important atelier de maintenance et de construction de la Compagnie du chemin de fer Paris-Lyon-Méditerranée (PLM) en 1832. La prospérité de cette industrie va faire « vivre » Oullins

Dans Le Travail intellectuel, Jean Guitton écrit que « la forme nécessite la contrainte, qui est la condition de la plénitude ». Quelques années auparavant, dans ses Nouveaux Prétextes, conférences données sur le théâtre, André Gide notait : « L’art est toujours le résultat d’une contrainte. […] C’est sur de la résistance, […] que l’art doit pouvoir s’appuyer pour monter. […] Le grand artiste est celui qu’exalte la gêne, à qui l’obstacle sert de tremplin […]. L’art naît de contrainte, vit de lutte

celles-ci, le parachutiste œuvre en « homme motivé, convaincu de son efficacité, de sa vaillance, devant vaincre sa peur du vide, du vent qui siffle, de la nuit insondable, avant de vaincre l’ennemi. » 1.1 Un bref historique Héritières des compagnies de la mer créées en 1622 par le cardinal de Richelieu pour participer aux abordages et autres combats navals, ces unités embarquées se transformèrent en unité d’infanterie de ligne au cours de la Révolution française. C’est seulement en 1822 et

se marie à 19 ans avec Anne Hathaway. Au bout de six ans de mariage, il quitte son foyer pour vivre à Londres, où il fait ses débuts au théâtre dans les emplois subalternes. Devenu célèbre, il fait de longs séjours dans sa ville natale. Il est acteur, auteur et actionnaire d'une compagnie qui donne des représentations au Globe (théâtre à ciel ouvert), au théâtre des Blackfriars, à la Cour et même en province. A partir de 1613, Shakespeare se retire à Stratford, où il meurt trois ans plus tard. Vie

La Dame de pique est une nouvelle d'Alexandre Pouchkine publiée en 1834. Structurée comme un conte, cette histoire met en scène des personnages aux traits empruntés au théâtre populaire de l'époque. Cette courte nouvelle sera d'ailleurs adaptée en livret d'opéra par Piotr Ilitch Tchaïkovski. Résumé Au cours d'une soirée de jeu, de jeunes hommes de la bonne société russe du 19e siècle parlent entre eux du pouvoir que détiendrait la comtesse Anna Fédotovna, grand-mère d'un des interlocuteurs. Cette

seul sur une musique de Pierre Henry et Pierre Schaeffer, avec sa première compagnie fondée en 1953, les Ballets de l'Étoile,qui lui vaut les honneurs de la presse et du public.[réf. souhaitée] En 1959, n'obtenant pas l'aide de l'État français pour établir sa troupe dans un théâtre[5], il quitte la France pour la Belgique où il travaillera durant vingt-sept ans. À la demande de Maurice Huisman[5], alors directeur du Théâtre royal de la Monnaie, il crée en 1959 à Bruxelles sa plus fameuse chorégraphie

Maurice Béjart naît à Marseille, le 1er janvier 1927. Danseur, puis chorégraphe, il débute à Paris. En 1960, il crée à Bruxelles le Ballet du XXe siècle. Un quart de siècle plus tard, il déplace sa compagnie à Lausanne (Béjart Ballet Lausanne). Ses racines, il les plante là où il travaille. FormationBéjart acquiert l’essentiel de sa formation de danseur auprès de Madame Egorova, de Madame Rousanne et de Léo Staats. Ce bagage classique, il l’étrenne à Vichy (1946), puis auprès de Janine Charrat

Six personnages surgissent sur un plateau, troublant une répétition en cours et prétendant avoir été abandonnés par leur auteur… La scène devient un espace où ils veulent pouvoir revivre leurs drames intérieurs, sous les yeux d’un directeur de théâtre partagé entre le désir de suivre ces personnages insolites jusqu’au bout de leur douloureuse folie et la volonté de marquer le pouvoir et de dicter les règles. Ils inciteront ce directeur à leur laisser jouer cette histoire, insatisfaits d’être imités