Comparaison Citoyennete Rome Et Athene

plus la performance de l’indicateur en cette année est importante, relativement aux autres années.  Défauts : manque de finesse dans le chiffrage et dans la détermination de ce qu’est une pathologie. Cet indicateur ne permet pas de faire des comparaisons d'un pays à l'autre, il sert à évaluer l'évolution d'un indicateur pour un même pays sur une période donnée. (Ex. : permets de voir si l'indicateur de santé augmente ou diminue au fil du temps) Le tableau : 2000 5 0 2001 1 1 2002

l’État moderne » qui déboucha sur de nombreuses publications souvent dirigées par Jean-Philippe Genet (notamment les actes de la table ronde des 15-17 octobre 1984 organisée par le CNRS et l’École française de Rome, Culture et idéologie dans la genèse de l’État moderne, Rome, École française de Rome, 1985 ; J-P. Genet et M. Le Mené (dir.), Genèse de l’État moderne. Prélèvement et redistributions, Paris, Ed. du CNRS, 1987 ; J-P. Genet (dir.), Genèse de l’État moderne. Bilans et perspectives, Paris, Ed

partir du XIIe siècle, déformée en même temps qu’elle était re-connue »4. La philosophie aristotélicienne devait d’ailleurs « exercer une influence considérable sur la pensée politique européenne après le XIIIe siècle, mais pas auparavant »5. La comparaison avec nos théories juridiques contemporaines peut cependant permettre de mieux comprendre les fondements et les spécificités de notre modèle juridique qui ne saurait prétendre à l’universalité6. Il nous faut donc partir du point de vue du Stagirite

6e s. : avec développement du commerce, les riches possédant un cheval perdent leur légitimité. décadence. Apparition du législateur pr fonder la nomocratie (règle écrite). B. A la fin du 6° siècle, 2 types de cité : Sparte et Athènes. 1) Démocratie par excellence : Athènes ►7e siècle DRACON droit pénal. La sanction est renvoyée à la vie privée. SOLON supprime le lien aristocratique. 4 classes de citoyens p./ aux revenus. Il existe 2 institutions : la Boule et L’Héliée. ►CLYSTENE : fondateur de la

aime lʼéphémère dans la chaleur de lʼempressement, dans lʼhyperthermie dʼune pathologie sans conséquences, on sait quʼon sʼen remettra.» 3 " De ce fait, même si lʼéphémère peut revêtir pour certains un aspect inutile, futile, passager, en comparaison dʼinterventions plus permanentes, il peut, sʼil revêt une dimension poétique, inscrire une trace profonde dans les consciences individuelles ou collectives. Il pourra alors changer la valeur du lieu, le valoriser, modifier le regard et les pratiques

------------------------------------------------- Introduction historique au droit Introduction 6 1ère partie : les fondements romains 7 Chapitre 1 – Les créateurs du droit, à Rome. 7 Section préliminaire : Chronologie. 7 1 - Chronologie politique. 7 Auctoritas, imperium, potestas. 7 Sénat, assemblées du peuple et magistratures. 8 Crise de la République. 8 2 - Chronologie juridique. 8 Section 1 - L’ancien droit romain. 8 1 - Coutume. 9 2 – Loi. 9 Section 2 – L’Époque classique

ou moins officielle et explicite. C’est bien à cette réalité multiforme des peuples que Rousseau s’intéresse aussi (à partir de la fin du second livre, les choses sont claires). Il a en vue les exemples antiques d’Athènes, de Sparte et surtout de Rome (beaucoup analysée par Tite-Live et Machiavel), et de ce fameux peuple hébreu, exemple inouï d’une nation restée soudée des milliers d’années sans l’entremise d’un Etat ni même d’un territoire, seulement grâce à ses mœurs ; il a aussi en vue les

la promotion de la raison par la discussion critique et l’intégration des étrangers dans la cité dès lors que ceux-ci respectent les lois en vigueur. C’est là un point très important car pour la première fois dans l’histoire, on reconnait une citoyenneté qui va au-delà de l’ethnie et l’on a un système social qui n’est pas fondé sur une communauté d’origine ou sur une parenté, que celle-ci soit réelle ou mythique. C’est ainsi que le miracle grec trouve son aboutissement. Un aboutissement dans

dictionnaire, le même auteur précise l’origine du mot. Indiquant que laïque a été formé d’après le latin laicus, il note : Mais que voulait dire ce mot latin, et d’où venait-il ? On en chercherait vainement l’étymologie dans les racines propres à la langue de Rome ; c’est un mot étranger, c’est la transcription de l’adjectif grec laïkos, et celui-ci est dérivé du substantif grec laos, qui signifie « peuple », « nation ».  Pour cerner un peu mieux le sens brut du mot, Buisson le fait entrer dans une opposition

des sources du droit à Rome. Les romains ont toujours eu une approche très concrète, pragmatique, procédurale du droit. Les romains n’ont jamais eu le culte du droit écrit. La pratique de l’écrit à Rome est tardive et une influence orientale. L’ancien droit romain est plutôt coutumier, des usages et du concret. Les romains sont un peuple de juriste mais pas des théoriciens. Pas de grande théorie juridique à Rome. Il n’y a pas de théorie générale des obligations à Rome, ni sur l’autonomie générale