Comparaison Hernani Lorenzaccio

romantique finit par s’enfermer dans la tristesse dont il semble avoir besoin ! Le thème du déclin, de l’automne et de ses tempêtes, est un lieu commun de l’esprit romantique. Etre à part, voué à un destin sur lequel il n’a aucune prise - cf. Hernani de Hugo -, le romantique va mettre à profit cette insatisfaction pour échapper au monde soit par le rêve (l’imagination est «la reine des facultés», la «grande plongeuse» ; évasion dans le temps, l’espace ; goût de l’horreur...) soit par la débauche

soit un temps d'arrêt, un terme de comparaison, un point de départ d'où l'on s'élève vers le beau avec une perception plus fraîche et plus excitée. La salamandre fait ressortir l'ondine ; le gnome embellit le sylphe. Et il serait exact aussi de dire que le contact du difforme a donné au sublime moderne quelque chose de plus pur, de plus grand, de plus sublime enfin que le beau antique ; et cela doit être. » 1834 Alfred de Musset publie Lorenzaccio .Celui-ci ( après une tentative

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Alfred de MUSSET (France) (1810-1857) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Lorenzaccio’’, ‘’Le chandelier’’ et ‘’La confession d’un enfant du siècle’’ qui sont étudiés dans des fichiers à part). Puis est tentée une synthèse finale. Bonne lecture ! Louis Charles Alfred de Musset-Pathay naquit le 11 décembre 1810 à Paris, au seuil du quartier Latin, 33 rue des Noyers (aujourd’hui, 57

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Alfred de MUSSET (France) (1810-1857) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Lorenzaccio’’, ‘’Le chandelier’’ et ‘’La confession d’un enfant du siècle’’ qui sont étudiés dans des fichiers à part). Bonne lecture ! Louis Charles Alfred de Musset-Pathay naquit le 11 décembre 1810 à Paris, au seuil du quartier Latin, 33 rue des Noyers (aujourd’hui, 57 boulevard Saint-Germain)

Le romantique finit par s’enfermer dans la tristesse dont il semble avoir besoin ! Le thème du déclin, de l’automne et de ses tempêtes, est un lieu commun de l’esprit romantique. Etre à part, voué à un destin sur lequel il n’a aucune prise - cf. Hernani de Hugo -, le romantique va mettre à profit cette insatisfaction pour échapper au monde soit par le rêve (l’imagination est «la reine des facultés», la «grande plongeuse» ; évasion dans le temps, l’espace ; goût de l’horreur...) soit par la débauche

forts (points virgules et deux points) témoignent d’une volonté de concentrer dans le volume d’une seule phrase tous les éléments de « définition » du délire amoureux et de poursuivre jusqu’à son terme la comparaison de la biche blessée qui se transforme en véritable métaphore filée. En comparaison, la plus longue phrase de l’extrait du Roman d’Eneas, qui contient cinquante-deux mots, est loin d’avoir une structure si complexe : uniformément simples, ses propositions sont soit coordonnées soit juxtaposées

contre son père et en accord avec l'air du temps, il fonde avec ses deux frères une revue monarchiste, et épouse à vingt ans Adèle Foucher, qui lui donnera quatre enfants mais sera vite supplantée dans son cœur par Juliette Drouet. la bataille d' Hernani, qui oppose les jeunes romantiques aux partisans du théâtre classique, lors de la création de ce drame à la Comédie-Française (25 février 1830). La noyade de sa fille Léopoldine sanctionne l'échec familial. Hugo ne publiera plus pendant dix ans. Son

que, de peur que, en vue que, de façon à ce que Cause : car, en effet, effectivement, comme, par, parce que, puisque, vu que, étant donné que, grâce à, à cause de, par suite de, en raison de, du fait que, dans la mesure où, sous prétexte que Comparaison : comme, de même que, ainsi que, autant que, aussi ... que, si ... que, de la même façon que, semblablement, pareillement, plus que, moins que, non moins que, selon que, suivant que, comme si Concession : malgré, en dépit de, quoique, bien que

et le verbe plus de dix-sept fois dans le recueil; ainsi dans “L’ermite”, “j’ai ri” est répété quatre fois: “J’ai ri des damnés”, “Et j’ai ri du vieil ange”, “j’ai ri de l’aile grise”, “Cité j’ai ri de tes palais”; dans “Nuit Rhénane”, on a la comparaison “Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire”. Finalement, le poète semble être poète parce qu’il sait rire: dans “Poème lu au mariage d’André Salmon”, “Et nous apprîmes à rire”, “nous savons rire”, écrit-il. A travers l’ivresse et le rire, la

la prise en compte, la peinture totalisante d’une époque peut l’être. D’où le vastes créations théâtrales telles Cromwell de Hugo, Wallenstein de Schiller, de même que d’autres moins ême que d’autres moins étendues, Les Burgraves de Hugo ou le Lorenzaccio de Musset. Par ailleurs, l’espace de l’histoire n’est plus limité aux antichambres des palais car il débouche sur les campagnes, les places publiques, emménage chez les marchands, les paysans et les seigenurs. Historiens du