Comparaison Hume Et Descartes

dans l’esprit horrifié de Terrier « cette chose » (21) ; Dès lors, on ne peut chercher à l’évoquer que par rapprochements et comparaisons. Cet enfant monstrueux paraît sans âge ; Ce qui inquiète le parfumeur chez celui qu’il baptise « le gnome » c’est qu’en lui semblent réunis les portraits de l’enfgant et du vieillard. La première partie du récit abonde en comparaisons et métaphores animales empruntées au bestiaire traditionnel de la sorcellerie. « Araignée » pour le père Terrier, les pensionnaires

la raison et fils libre de la nature. L Siècle par excellence de révolutions, intellectuelle, politique et sociale, le dix-huitième siècle s’ouvre par les Principia de Newton, voit naître et s’établir une nouvelle théorie de la connaissance (Hume, Condillac), une nouvelle morale (Helvétius, d’Holbach, Diderot), une nouvelle politique (Rousseau), hostiles à toutes les formes de métaphysique, de dogmatisme et de tyrannie, de superstition et de fanatisme. C’est l’époque où se créent les académies

cognition ou de l’ensemble des processus par lesquels on acquiert les connaissances, est une question délicate qui a été problématisée au XVIIIe par les partisans philosophiques de l’innéisme de nos idées comme Descartes par exemple, et les partisans de l’empirisme radical comme Locke et David Hume. Cette bataille entre rationalistes et empiristes sur l’origine de nos idées a beaucoup influencée l’orientation des chercheurs sur l’étude des facteurs à l’œuvre dans nos conduites. Alors que les traits de

voie démonstrative, des vérités échappant au temps. Mais cela, l’expérience ne le peut pas non plus. Comment en effet fonder sur l’expérience, toujours particulière, si répétés que soient les cas qu’elle nous présente, l’universalité d’une loi ? Hume a bien montré l’impossibilité d’une telle justification. Ainsi, une théorie scientifique, loin d’être une théorie démontrée ou vérifiée, se définit plutôt par sa capacité de rendre possible et de guider des expériences susceptibles de la remettre

La rationalit´ e du choix passionnel : En quˆ ete de l’h´ eritage de David Hume Andr´e Lapidus To cite this version: Andr´e Lapidus. La rationalit´e du choix passionnel : En quˆete de l’h´eritage de David Hume. L’Ann´ee sociologique, Presses Universitaires de France, 2000, 50 (1), pp.9-84. <hal-00343939> HAL Id: hal-00343939 https://hal-paris1.archives-ouvertes.fr/hal-00343939 Submitted on 3 Dec 2008 HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific

la recherche de la vérité, la méditation sur le bien, le beau, la recherche du bonheur, du sens de sa vie. Par exemple, dire non aux apparences pour découvrir ce qui est derrière le monde sensible, « mettre de l’ordre dans ses pensées », d’après Descartes. Elle est ancrée dans le dialogue et le débat d’idée, et peut se concevoir comme une activité d’analyse, de définition, de méditation des concepts.(Plusieurs branches : métaphysique, épistémologie, esthétique, philosophie du droit… 2. Qu’est

l’homme ne peut adhérer aussi complètement que possible. Le dualisme cartésien La révolution méthodologique. Alors que la tradition admettait comme évidente l’existence du corps humain et du monde pour en inférer celle de l’âme et de Dieu, Descartes veut établir que l’on peut douter du corps et du monde, mais non point de la pensée, évidence première et irréfragable. Une fois les connaissances sensibles discréditées par les arguments du scepticisme, des réalités demeurent inébranlables : d’une

historiques) est la religion naturelle. La religion naturelle ne peut être liée à aucune coutume, elle s'identifie à la moralité, non pas comprise comme commandement extérieur mais comme impératif de la raison. La modernité est introduite par Descartes, penser librement, c'est penser radicalement, càd revenir à la racine des choses. Le doute ne peut dès lors que prendre la forme d'un doute radical et hyperbolique. Il s'agit d'ignorer toute tradition, de s'extraire du monde pour revenir en soi.

dans la partie la plus notable par les philosophes Francis bacon, John locke, George berkeley, David Hume et d'autres après eux, l'empirisme considère que la connaissance se fonde sur l'accumulation d'observations et de faits mesurables, dont on peut extraire des lois générales par un raisonnement inductif, allant par conséquent du concret à l'abstrait. En face le relativisme sous les traits de Descartes et son affirmation des idées innées, Spinoza et son èxégèse de l'ancien testament ou encore Leibniz

vraiment intégré le processus d’expérimentation dans son outillage heuristique. Ceci est évident pour la philosophie antique et médiévale qui ne connaissait pas l'expérimentation. Même les grands philosophes qui se sont illustrés comme scientifiques (Descartes, Pascal, Leibniz pour ne citer qu'eux) ont toujours distingué leur travail dans le domaine scientifique et dans le domaine philosophique. Certains philosophes comme Kant ou Wittgenstein[8] ont même vu dans l’absence d’expérimentation en philosophie