Comparaison Kant Et Platon

s'effectuer que dans une relation de maître à élève. L'homme grâce à cette relation va améliorer son système de pensées. Dans ces conditions, l'apprentissage de la pensée est tout à fait possible. Pourtant "penser c'est connaitre par concepts" comme le dit Kant. Il déclare " qu'on ne peut apprendre la philosophie (qu'historiquement), on ne peut apprendre qu'à philosopher". Apprendre à penser présupposerait certaines conditions. Rousseau dans son livre sur l'éducation l'Emile défend qu'il faille inculquer

l’évolution culturelle ou sociale. 4ème chapitre : Culture archaïque et culture primitive Pour la méthode d’observation, il dit qu’il n’y a pas de société sans histoire (inculte) -> Problème d’accès à l’histoire. LS revient sur le danger des comparaisons hâtives entre des systèmes culturels différents. En fait, il dit qu’on ne peut pas expliquer l’histoire d’une société en la rapportant à des exemples d’autres sociétés (p.30) : on projette sur la culture étudiée des raisonnements qui ont cours

Collioure de Derain) ou les chimères effarantes de Jérôme Bosch (à droite, détail du Jardin des Délices). Il était encore possible de se rappeler les thèses de Platon sur l’artiste, et surtout sur l’idée (République, X, voir ce cours) selon laquelle l’œuvre occupe le troisième degré à partir du monde intelligible (du « réel », selon Platon), le degré intermédiaire étant occupé par le monde matériel. Peignant (par exemple) des arbres matériels, lesquels ne sont que la « copie » dans le monde sensible

connaissance, le goût n'a pour seule fonction que la protection de l'organisme. Les papilles constituent effectivement un signal d'alarme à l'introduction d'aliments susceptibles d'avoir un effet toxique. Ces analyses d'Aristote seront reprises par Kant qui écrira du goût dans l'Anthropologie d'un point de vue pragmatique que : "il émet un jugement préventif sur la vertu salutaire des aliments, cette vertu étant sans doute liée à l'agrément procuré par l'ingestion et pris comme anticipation relativement

concept grec d’alétheia faisait ? Distinction entre la vérité et la véracité : pour illustrer cette distinction on peut partir de Kant : « D’un prétendu droit de mentir par humanité ». L’essentiel c’est celle d’un ami qui peut protéger quelqu’un qui vient de se protéger chez lui : se mettre à l’abri d’un assassin qui le poursuit : ou est son ami ? Ce qu’explique Kant c’est qu’il pourrait très bien se faire que voulant sauver son ami l’hôte dise à l’assassin que celui-ci n’est pas chez lui et qu’il

christianisme avait toujours réussi à composer en sa faveur, finalement à s'imposer, dans un processus dialectique. La synthèse qui nous concerne, celle de la Renaissance, enfonce le coin d'un nouveau paganisme ; cette hérésie est imputable aux tenants de Platon, alors même que les enseignements aristotéliciens semblaient moins incompatibles aux vérités chrétiennes, formant jusqu'à un contre pôle du camp platonicien dans les débats théologiques. Les Pères spirituels de Pic de la Mirandole: Mouvement

comment on passe du désordre à l ordre. Chez les grec, la matière n est pas crée mais elle est chaotique au début. Il y a un principe autre que le divin. Chez les grec, il y a deux principes: – la matière – la forme, dans le timée de platon , tous les corps qui compose l'univers. Dieu aurait pensé l univers à partir de polyèdre. Lié aussi à la notion de loi ( loi de la nature) les trois religions monothéiste adoptent tous la genèse ( monde créé à partir de rien.) passage de rien

plus qu'une technique, ce n'est pas une imitation parfaite. Lié à l'idée de beau et au plaisir esthétique. - Contraire : pas d'autre contraire que le "NON-ART" (Ecole de peinture déniant toute valeur esthétique à sa production). PERSONNALITES - PLATON : l'art comme reproduction idéalisée de la nature où se trouve l'idée de beauté. Imitation et reproduction fidèle d’un modèle prééxistant, à l’image du démiurge Timée, artisan du monde, qui, l’œil fixé sur le modèle éternel, contemple, calcule et

des ombres bougées continuellement Le monde sensible n’est donc pas un monde réel sur le long terme car c’est une succession d’apparences. C’est ce que nous énonce Platon dans République. La copie du réel que propose l'art est une copie moins bien réalisé que la réalité elle même et c'est en cela qu'il nous éloigne aussi du réel. Platon dénonce l'illusionnisme de la peinture qui fait éprouver du plaisir à se voir dans une copie de la réalité. Prendre plaisir au trompe l'œil, c'est ne s'intéresser

sensible. Si le plaisir esthétique, le sentiment du beau, n’est pas un simple plaisir des sens, c’est bien sur notre affectivité sensible que joue l’art. C’est sur ce point que Platon critique l’art, d’une part parce que l’art n’est qu’imitation de l’apparence sensible des choses, et donc presque dépourvu d’être – Platon concevant l’art uniquement dans une perspective mimétique (l’œuvre d’art est une copie de l’objet sensible). L’objet sensible, une table par exemple, contient moins d’être, c’est-à-dire