Comparaison Kant Et Platon

Conclusion………………………………………………………………………………...p.13 Bibliographie………………………………………………………………………….…..p.15 2 Introduction : « Que le monde aille mal, c’est une plainte qui est aussi vieille que l’histoire…aussi vieille que le plus vieux de tous les poèmes1 » disait Kant ! En effet, à l’expérience du mal, tous nous sommes confrontés dans notre existence, à un moment où à un autre, de près ou de loin, alors même que tous nous portons au plus profond de l’être cette soif de bonheur. Le mal se pose souvent comme un

du bonheur (ataraxie), qu'il conçoit comme une absence de troubles. Si seule la douleur est positive, le plaisir serait alors simplement l'état dans lequel on ne souffre pas (ex : plaisir de ne plus subir la douleur de ces chaînes dans le Phédon de Platon, qui ne défend pas cependant une conception négative du plaisir). 1) Schopenhauer : négativité du plaisir Selon lui, nous prenons conscience de ce qui est plaisant seulement quand on en est séparé. La chance et le plaisir (santé, jeunesse) apparaissent

elle définit alors la conduite à tenir dans cette situation. Dans ce sens, elle n’est pas faite pour régler des cas particuliers connus a priori: elle est formulée en termes généraux et ne s'applique aux cas particuliers qu'a posteriori, après comparaison (par exemple par un juge) entre la situation particulière et les termes généraux de la loi. A savoir, une règle qui ne concerne qu'une personne ou un groupe de personnes est un décret ou une sentence. Le caractère impersonnel et général de la règle

politique. Qu’est qu’on entend par théorie ? A quel moment on a fixé la signification fondamentale du mot théorie ? Dans l’Antiquité. Platon et Aristote. La racine théorique et étymologique de théorie c’est la vision théoricienne grec c’est la vue la vision. Référence à la vue ou à la vision, c’est voir quelque chose. L’allégorie de la caverne, de Platon. La plupart des hommes se trouverait dans la situation des hommes qui seraient dans une caverne, et ils ne peuvent voir que des ombres. Le

20eme siecle , Ses maîtres à penser furent Platon, Descartes, Kant et Auguste Comte , comme ses predecesseur , il essaye dans ce texte de definir, de donner une conception de la conscience , Le philosophe revient sur le caractère essentiel de la conscience, sa réflexivité, et en déduit la façon dont elle se rapporte alors aux différentes dimensions du temps. Il ramene la conscience à la reflexion et par dessus tout la division , l'opposition , la comparaison Nous allons donc donc un premier temps

LEIBNIZ. Les traités de BAUMGARTEN ont été lu par KANT. Le mot esthétique vient du grec : « aïsthésis » qui veut dire la sensation mais aussi le sentiment et encore le fait de s’apercevoir de quelque chose. Avant BAUMGARTEN on oppose les choses sensibles (aïsthésis) aux choses intelligibles (noéta). PLATON est l’auteur de cette distinction, selon lui les choses intelligibles sont supérieures aux choses sensibles. On considère depuis PLATON que connaître c’est : s’élever d’une connaissance

prend le contre-pied de la vérité. Rien ne s'est formé dans le corps à notre usage; mais ce qui s'estformé on en use.''2 B) Un cosmos finalisé (Platon et Aristote) Mais les deux plus grands philosophes de l'Antiquité, Platon et Aristote, ont dédaigné ce genre de constructions d'où toute intelligence organisatrice du monde serait absente. Platon raconte dans le Phédon comment Socrate avait été d'abord enthousiasmé par ce qu'il avait entendu dire de la philosophie d'Anaxagore - un autre grand

santé de l’âme. C’est un eudémonisme (Doctrine qui fait du bonheur le but suprême parce qu’il a une valeur éthique et donc morale) Remarque : Kant s’oppose à cette vision car lui se repose sur la raison et vise le bien et non pas le bonheur qui lui est intéressé.

est tenté d’utiliser le mot « essence ». L’homme n’est pas un être intemporel et de plus, pour ceux comme Sartre, qui considère que l’homme n’a pas été créé par un Dieu avec des propriétés prédéfinis. Il y a un mouvement qui commence déjà chez Platon, qui considère que l’être par excellence donne l’être. Nous sommes mais notre existence n’est pas éternelle donc notre être n’a pas la même puissance d’être que dieu, qui existe et qui est l’être suprême. Les philosophes, comme Sartre, vont parler

effet, l’incapacité de trancher du sceptique rappelle l’ignorant qui comme il ne sait rien, ne peut pas se décider pour un parti plutôt que pour un autre. Quoi qu’il en soit, le comportement de l’ignorant peut évoquer l’ignorance, tout au moins la comparaison n’est-elle pas illégitime. Mais que signifie cette volonté permanente de suspendre son jugement à propos de toute chose ? Ce peut être de la paresse d’esprit, ce qui rapprocherait les sceptiques de l’ignorant au sens de l’incapable. On peut aussi