Comparaison La Démocratie Et Le Totalitarisme

la formation de citoyen des élèves, et en même temps source d’épanouissement personnel et de réussite professionnelle future. En histoire, cela apparaît avec évidence pour l’étude de l’âge industriel, de la France durant les années 1930, des totalitarismes et de la deuxième guerre mondiale, soit 75 % de l’horaire. Mais cela est vrai aussi pour le système colonial, traité en terminale S dans un temps approximativement identique à celui qui lui est attribué en première ES-L. C’est sur la partie centrale

poussé l’Allemagne à la guerre, lui ont déclaré la guerre (s’appuient sur un texte : Chaïm Weizmann, président de l’organisation sioniste déclare en 39 que : « les Juifs font cause commune avec la Grande-Bretagne et combattront dans le camps des démocraties ») on a supprimé des Juifs mais ils avaient entrainé le pays dans la guerre et c’était le prix à payer * supprimer le racisme anti-allemand, anti-fascisme pour se tourner contre le véritable ennemi : le pouvoir , les classes dominantes, etc… qui

caractère normatif du terme “modernité”, on fait passer un jugement de valeurs au travers . Il y a toujours l’idée d’une opposition et d’un jugement, l’actuel est moderne et donc supérieur à l’ancien. On va donc avoir une comparaison qui passe par deux ordres. Le premier est historique, avec l’opposition de l’ancien à l’actuel, soit “tradition” et “moderne” . On implique alors que les sociétés modernes ont rompu avec les sociétés traditionnelles. On a ensuite un

sciences politiques, qui reste un axe fondamental de la méthodologie du cours, plus que les connaissances pures. Cette approche sera fondamentale dans l’examen final, c'est-à-dire la maîtrise de cette méthode comparatiste. L’objet d’étude sera la démocratie, plus spécifiquement représentative et libérale, et son émergence. Introduction générale : I. La méthode comparée : La science politique est une pensée, un savoir et une science humaine. Elle a la volonté de se présenter en

Pourtant, cette déconstruction, lui permet de dessiner en opposition, une contre-proposition de société. A l’instar de Claude Lefort qui pense la démocratie dans sa différence avec le totalitarisme, les vertus morales qui tiennent à Aron se dessinent en réaction aux mœurs de l’intelligentsia environnante. Il dessine ainsi en pointillé une forme de société libérale progressiste et vante dans le même temps le discernement

substantialiste, le pouvoir est comparable à l'argent. On peut le stocker et l'utiliser quand on veut. Cette conception est contestable pour au moins 2 raisons : Contrairement à l'argent, le pouvoir n'est pas précisément quantifiable. On peut faire quelques comparaisons. On peut considérer par exemple que le président de la République a plus de pouvoir qu'un employé municipal. Si on compare les chefs d'états c'est très difficile de dire lequel a le plus de pouvoir. Le pouvoir est intransitif c’est-à-dire que

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perte de domination de l'économie. Il y aura des mouvements de rébellion dès 19 en Égypte et le mythe des métropoles infaillibles tombe. «la brutalisation des sociétés»? C'est un historien George L. MOSSE qui écrit «de la grande guerre au totalitarisme la brutalisation des sociétés européennes». MOSSE dit que la brutalisation est la continuation dans la paix des attitudes agressives de la guerre. Derrière cette notion c'est un concept qui marche bien en Allemagne car sur sa dernière offensive

n'établissaient pas une réelle analyse. Le débat de la gauche occidentale aboutie à une analyse toute aussi bancale: l'échec de la révolution se traduit par une absence de culture démocratiue en russie (débat séparant les bolecheviks de la sociale-démocratie allemande). Cependant, Malia accorde plus de valeur à la version Trotskiste. Trotski voyait la révolution de 1917 comme légitime puisque la finalité serait tout simplement un combat du prolétariat contre le capitalisme qui déboucherait sur la révolution

caractérisait par tout ce qu'il rejetait, ce qui lui permit de trouver beaucoup d'adeptes qui retrouvaient dans une partie de l'idéologie nazie un point commun avec leurs propres convictions. Le "mouvement" rassembla rapidement les insatisfaits déçus de la démocratie parlementaire, et soutenant les exigences du NSDAP en ce qui concernait l'autarcie économique, la politique d'expansion, la libération des contraintes du "Diktat" de Versailles établi à la fin de la première guerre mondiale et l'opposition au bolchevisme