Comparaison Marx Et Descarte

...... 28 D. SCHÉMAS SPATIAUX ................................ ................................ ........................... 28 E. SCHÉMAS GÉNÉTIQUES ................................ ................................ ...................... 31 F. COMPARAISON ................................ ................................ ................................ ..... 33 G. CLASSIFICATION QUANTITATIVE ................................ ................................ ....... 33 H. COMMENTAIRE D’UNE CITATION

Assurément , nous ne sommes pas les auteurs de la nature bien que nous tâchions depuis DESCARTES de nous en rendre « comme maîtres » . Ne serions –nous pas face à l’histoire dans une situation totalement différente ? Ne sommes-nous pas des êtres historiques beaucoup plus encore que des êtres naturels et ce domaine ne serait-il pas celui vraiment effectif et non analogique de notre maîtrise ? Seuls les hommes ont une histoire disons-nous, car seuls nous avons conscience du temps ,seuls nous nous

éléments. En ce qui a trait à la compétence, le verbe « discuter » semble la situe au niveau de la compréhension puisque c’est l’endroit où il est normalement indiqué dans la taxonomie de Bloom. L’énoncé de compétence demanderait alors uniquement une comparaison de l’information présentée sur les différentes conceptions de l’être humain, une activité qui ne demande de l’étudiant que la compréhension de ces conceptions. Ce niveau ne semble toutefois pas approprié à la compétence que cherche véritablement

être courageux peut s’avérer n’être qu’un lâche, par exemple), mais la pure conscience d’être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolument certain de l’existence du sujet : « je pense, donc je suis ». Cette certitude demeure, et rien ne peut la remettre en cause. Descartes fait alors du phénomène de la conscience de soi le fondement inébranlable de la vérité, sur lequel toute connaissance doit prendre modèle

croyait être courageux peut s’avérer n’être qu’un lâche, par exemple), mais la pure conscience d’être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolument certain de l’existence du sujet : « je pense, donc je suis ». Cette certitude demeure, et rien ne peut la remettre en cause. Descartes fait alors du phénomène de la conscience de soi le fondement inébranlable de la vérité, sur lequel toute connaissance doit prendre modèle pour

inatteignable. La science, qui est de plus en plus expérimentale, devient pratique et adopte comme finalité le bonheur de l’homme. Descartes voit ainsi le moment pour l’humanité de se rendre « comme maître et possesseur de la nature » (rompt avec notion philosophique car plus d'harmonie mais supériorité de l'homme). Ce projet de maîtrise est cependant sur le mode de la comparaison : il s’agit de faire « comme » si l’on détenait une puissance infinie, mais non de se mettre à la place de Dieu. Les découvertes

provisoire (maladie tjrs là) + on ne fait rien pour combattre réalité qui progresse Manière d’améliorer notre sort = chercher à connaître vérité pour la modifier en notre faveur, connaissance précise de la vérité nécessaire > «opium du peuple» de Marx (=rel) détourne des luttes qu’il faut mener pour améliorer réalité avec perspective paradis, bonheur éternel + Illusion du paradis dans illusion de la drogue ; Secte des Assassins, goûtent au paradis d’Allah b. Objection et réponse à l’objection

entourée de sommeil…". "To be or not to be…" Calderón de la Barca : « Qu'est-ce que la vie ? Une folie. Une illusion, une ombre, une fiction et le bien suprême a peu de valeur car la vie n'est qu'un rêve…» (pièce "La vie est un songe"). Le thème de la comparaison entre vie et rêve était déjà dans le conte arabe des « Mille et une nuits ». Mais aussi bien avant, en Inde et en Chine, par exemple un vieux sage chinois Tchouang-tseu (env. 350 av. J.C.) : « Un jour j'ai rêvé que j'étais un papillon, et à présent

entourée de sommeil…". "To be or not to be…" Calderón de la Barca : « Qu'est-ce que la vie ? Une folie. Une illusion, une ombre, une fiction et le bien suprême a peu de valeur car la vie n'est qu'un rêve…» (pièce "La vie est un songe"). Le thème de la comparaison entre vie et rêve était déjà dans le conte arabe des « Mille et une nuits ». Mais aussi bien avant, en Inde et en Chine, par exemple un vieux sage chinois Tchouang-tseu (env. 350 av. J.C.) : « Un jour j'ai rêvé que j'étais un papillon, et à présent

le bien, ou le meilleur. Il ne peut donc choisir de porter à l’existence que le meilleur de tous ces mondes possibles (concevables), c'est-à-dire celui qui comporte le maximum de réalité avec le minimum de moyens. « Et le résultat de toutes ces comparaisons et réflexions est le choix du meilleur d’entre tous ces systèmes possibles (…) ; ce qui est justement le plan de l’univers actuel. », Leibniz - Voltaire parodiera l’optimisme leibnizien en disant que « Tout est bien dans le meilleur des mondes