Comparaison Néo Classique Vs Keynes

tables & chaises, etc). On voit vite ici que le PIB, inventé par Simon Kuznets (1901-1985) dans les années 30 au sein du NBER (National Bureau of Economic Research ; USA) créé dans un contexte de crise économique, en pleine Révolution Keynésienne. Keynes avait mis au point des principes d'intervention étatique, et le gouvernement Roosevelt a repris ces idées et les a appliquées au travers de nouveaux organes étatiques comme le NBER. Peu à peu, avec le développement du système international après

la monnaie comme instrument de stabilisation du cycle économique. Cependant, l'étude de ce phénomène a donné lieu à un long débat entre deux écoles de pensée : les non-interventionnistes (classiques, néo-classiques, monétaristes, néomonétaristes, Real Business Cycle) et les interventionnistes (keynésiens et néo-keynésiens). En résumé, les non-interventionnistes croient que le cycle économique découle de l'exercice d'optimisation par les agents économiques de leur satisfaction ou de leurs profits

la réalité économique. → Le chômage en Belgique, le chômage en Europe, politique monétaire, annonce budget 2014 ... En macro, on regarde ce qu'il se passe d'années en années, donc des données relatives ( >< absolues) afin de pouvoir faire des comparaisons etc. C'est la Banque Nationale, le Bureau du Plan, et les Centres de Recherches Universitaires (IRES …) qui rassemblent et agrègent les valeurs absolues. Donc, quand on parle d'une économie croissante2, cela signifie qu'elle évolue positivement

de quatre visions : n Suivant la première, la croissance provient de l’investissement productif d’un surplus. Classiques et marxistes partagent cette opinion. n Selon la seconde, les capacités de production disponibles augmentent avec le jeu de l’investissement, et la croissance résulte d’un ajustement dialectique de ces capacités de production et de la demande. Ce sont les thèses de Keynes, Harrod et Domar. n La troisième vision rassemble les approches issues des travaux de Malthus, entre pénurie

toujours accompagné les flux de marchandises. Cependant une multiplication de ces flux est observable sur les 30 dernières années. Bourguinat en a identifié trois raisons - 3D : Désintermédiation, Décloisonnement (suppression de la séparation classique entre banque de dépôt et d’investissement), Déréglementation. On peut y ajouter la dématérialisation car l’interconnexion informatique des réseaux financiers a renforcé le phénomène en facilitant les transactions. ! D’après Michalet, les

statistiquement les paramètres d’une fonction de consommation, et notamment pour vérifier les trois lois d’Engel : R < 1 pour les biens alimentaires ; R = 1 pour les biens courants ; R > 1 pour les biens de confort. 1.3- Représentation géométrique : Keynes fait reposer la fonction de consommation sur ce qu’il appelle la « loi psychologique fondamentale ». Cette loi s’exprime à travers deux propositions : 1- « (...) en moyenne et la plupart du temps, les hommes tendent à accroître leur consommation à

cours forcé pour la livre sterling: 1797-1821. Cela permet la poursuite d’une politique inflationniste. Les résultats sont sans surprise. Le change britannique se détériore (la monnaie anglaise perd de sa valeur dans les échanges). Les auteurs classiques anglais : Robbins les classe en deux générations : • première génération : Malthus, Ricardo, Robert Torrens, James Mill (ous fondateur du London Political Economy Club) and HenryThornton 9 • seconde génération : John Stuart Mill, McCulloch

l’on fait de l’HPE est une risque de rationalisation à posteriori, c'est-à-dire qu’extraire des idées majeures d’un auteur alors que c’est une pensée qui peut passer par des erreurs ou des difficultés. L’exemple le plus criant étant celui de J.M. Keynes et le modèle ISLM dont on dit qu’il appuie les politiques de stop and go etc. alors que ce sont deux de ces successeurs qui sont a l’origine du modèle ISLM. Le deuxième élément étant le risque de simplification de la pensée d’un auteur en ne retenant

que l’état n’a pas à intervenir sur le marché. * S’il y a plus de valeurs pour l’actionnaire, si la concurrence amène du profit, il faut la favoriser. Keynes est ok pour la concurrence à condition que l’on ne détruise pas le travail qui ferait augmenter le taux de chômage. * Ricardo déclare que la concurrence à une vertu : la comparaison technique entre les produits. * Walras rejoint Adam Smith et pense que les acteurs sur le marché sont suffisamment intelligents et raisonnables pour s’autoréguler

de nombreuses divergences et qu’il faille se méfier des comparaisons). La science économique devient donc bien plus large que la simple gestion des richesses et touche des problèmes également politiques et sociaux. 1.2– Les grands courants de la pensée économiques : Les conclusions auxquelles on parvient dépendent d’hypothèses de départ. De grandes tendances se sont faites jour en économie. 1.2.1– L’école classique : L’école classique regroupe des auteurs aussi divers que variés, mais ils