Comparer Deux Philosophes

devrait agir avec un main plus ferme. Cette question basée sur l’autonomie publique rappelle deux anciennes idées prônées par des philosophes. Ce texte discutera principalement de ces philosophies. Tout d’abord, Thomas Hobbes et sa vision Empiriste de l’autonomie. Par la suite, le rationalisme d’Emmanuel Kant et finalement ma propre opinion. Dans un premier temps, Thomas Hobbes est un philosophe qui a vécu de la fin du XVIe siècle jusqu’au milieu du XVIIe siècle. Sa philosophie est l’empirisme

contrôle notre destin et qui connais l'avenir ( ici la providence) Jesrad tient un livre dans ses mains qui est désigné comme le « livre des destinée » Candide : attaque l'optimisme Utilisation du registre satirique avec Pangloss (philosophe de l'optimisme) = ridiculisé avec le nom caricatural de sa spécialité « métaphisico-thélogo-cosmolonigologie » l.26 + son discours absurde l.33-40, Le récit de l'esclave Cacambo = injustice (l.26-42) prouve à Candide que même après tout les

permet de sélectionner de trois à cinq procédés. La question sur le corpus est toujours une question de synthèse : il faut donc toujours chercher à souligner les points communs ou les différences. De plus, notez que la question ne vous demande pas de comparer les thèses ou les idées, mais uniquement les moyens employés pour dénoncer la guerre. En introduction, présentez les textes : titres et auteurs, dates de publication ; rappeler la question. Premier procédé : le genre littéraire, le type d’argumentation

philosophie, est un personnage central de la pensée occidentale, notamment sur la question du savoir et de la connaissance, qu'il entrepris de redéfinir dans les Méditations métaphysique, en 1641. Dans l'extrait de cet ouvrage que nous allons étudier, le philosophe aborde le sujet de notre connaissance des corps extérieurs, ou des choses que nous percevons, excluant ainsi les concepts et les idées. Il est en effet légitime de se demander si la connaissance que nous avons des corps que nous percevons est dérivé

l’accord de la pensée avec elle-même. A-t-elle besoin : ressentir la nécessité, avoir besoin de. Prouvée : attester la vérité, montrer, la preuve. Une vérité doit elle nécessairement être attestée par des preuves ? Plan ? La plupart des philosophes s’accordent pour dire que la vérité correspond à la réalité. Pour Spinoza : « une idée vrai doit s’accorder avec ce dont elle est l’idée ». « On appelle idée vrai celle qui montre une chose comme elle est en elle-même ». Une idée vraie est ainsi

Chouaf TarecDissertations : Nos Désirs ont-ils une fin ? « Le désir est l’essence de l’Homme » d’après L’Éthique de Spinoza philosophe du XVe siècle, ce que veut dire Spinoza avec cette phrase est que l’homme vit pour désirer et que l’homme est défini par ses désirs. Ainsi la question que nous nous posons est de savoir si nos désirs, cette force qui nous pousse à agir pour l’assouvir, a une fin, un objectif, un but, si elle en a plusieurs mais également si

Hegel est un philosophe allemand du XVIIIème siècle, qui a eu une grande influence sur la philosophie contemporaine. Dans ce texte, le thème principal exposé est la conscience de soi, qui est la conscience qu’une personne a d’elle-même à travers son propre regard. Elle n’est donc pas objective. L’auteur tente ici de montrer comment s’acquiert celle-ci, ce qu’elle est, mais aussi en quoi l’homme a une « double existence ». En effet, l’homme, contrairement à la nature, peut prendre conscience de lui-même

bonheur que l’unique fait de posséder ce qui est désiré. Ensuite, de la ligne 3 à la ligne 12, il fait une comparaison entre deux états : celui de désir et celui de possession, et prouve que l’Homme est fait pour désirer ; il dit aussi que, le fait d’obtenir ce qu’on désire, ruine tout le plaisir qu’avait permis l’imagination. Finalement, de la ligne 13 à la ligne 17, le philosophe rappelle que se priver de désir serait la « mort » de l’Homme. Dés la première phrase du texte : « Malheur à qui n’a

demander en quoi ce texte est-il polémique? Autrement dit quel est le propos de l'auteur et comment l'exprime t-il ? La visée, nous pouvons la rechercher a l’intérieur même du texte, elle est indiquée dans cette phrase: « je ne veux point être philosophe, je veux être homme ». Nous tenterons d'expliciter cette idée en s'attardant successivement sur trois points, c'est-à-dire dans un premier temps sur le rire, l'ironie qui crée le ridicule. Ensuite, nous examinerons l'argumentation, et enfin la notion

Controverse de Valladolid, publiée en 1992, Jean-Claude Carrière présente le débat qui a eu lieu vers 1550 entre le dominicain Las Casas et le philosophe Séulvéda. Ce face-à-face avait pour but de répondre à la question : "Les Indiens ont-ils une âme ?", le cardinal étant le juge de cette confrontation. Comment l’auteur présente-t-il l’argumentation des deux partis ? Nous étudierons tout d’abord les arguments et la stratégie de Sépulvéda, puis de Las Casas, pour ensuite remettre en question la neutralité