Comparer Platon Kant

lesquels elle se demande:"comment penser dans la brèche laissée par la disparition de la tradition entre le passé et le futur". { De 1968 à 1975 outre de nombreuses conférences, elle publie des articles sur l'analyse de la pensée politique, sur Emmanuel Kant dans sa "critique de la façon de juger". Elle ne terminera jamais son dernier livre majeur,"La vie de l'esprit" dont le titre traduit bien les orientations nouvelles de sa pensée vers une analyse plus approfondie de la métaphysique domaine privilégié

jours). L’impuissance se lit aussi dans l’esclavage où peut nous tenir la passion, désir excessif et déraisonnable. L’impuissance se lit encore dans le tiraillement causé par la multiplicité sauvage et anarchique de nos désirs. C’est pourquoi Platon compare les désirs à une hydre, monstre à mille têtes (République, IX, 588 e). Mais la puissance se lit dans l’intensification de l'existence que procure le désir. « La conquête du superflu donne une excitation spirituelle plus grande que la conquête

de la nature (besoin de manger, de dormir, de procréer), il semble être vital, nécessaire pour la survie de tout un chacun. On satisfait ses besoins pour vivre. Par opposition la philosophie serait «un luxe de l’entendement», selon l’expression de Kant. Elle ne serait pas du registre de la nécessité. Il y a par ailleurs un redoublement dans cette formule car, étymologiquement, la philosophie est déjà désir de sagesse. Ou est-ce encore dans un autre sens qu’il faut prendre la philosophie quand on

donc une activité normative. La question de ces droits n’est pas donné d’avance mais bien co-construite par les sujets appartenant à une même société et qui s’affirme ainsi comme les auteurs et les destinataires de ces droits. Dans une perspective comparé, on notera que les cours suprême du Canada, des USA, du modèle anglo-saxons se réfère de plus en plus aux positions de la philosophie du droit et peut aller jusqu’à la structuration du résultat judiciaire. Si la philosophie du droit doit prendre le

Discussion : la maîtrise technique de la nature est-elle elle même maitrisé ? La technique moderne donne une puissance nouvelle à l’homme ? Est-elle maitrisée ? Peut-elle se retourner contre nous ? Le progrès technique est-il un progrès moral ? PLATON Le mythe de Prométhée C’est un mythe, récit explicatif, récit des origines pour expliquer le fonctionnement du monde actuel. La création se fait par les dieux, et par le destin. Les dieux sont chargé de crée les animaux et une fois crée ils font

n’aurait eu aucune relation avec Dieu, mais cette relation reste incontestable, selon Pascal Blaise dans son ouvrage Pensées  « Pourquoi une vierge ne peut-elle enfanter ? Une poule ne fait-elle pas des œufs sans coq ? » Mais en réalité on ne peut pas comparer ses deux types de vérités puisqu’elles sont soit vérités ou connaissances. Puisque la vérité mathématique est prouvé elle est incontestable puisqu’elle est vrai, selon Baruch Spinoza “Toute idée qui en nous est absolue, autrement dit adéquate et

Microsoft Word - Platon, L'Allégorie de la caverne.doc« L’Allégorie de la caverne », Platon, République, VII. 1 Platon République VII « L’Allégorie de la caverne » Introduction : - L’invitation à la construction de l’Allégorie « Figure-toi » ( repris ensuite par « représente-toi », » imagine-toi », « vois »...) - La finalité de l’Allégorie Construire une représentation imaginaire qui permettra, grâce à une comparaison de se figurer notre situation, notre réalité. L’Allégorie est

geste de la création, il n’est pas sûr que l’art puisse s’enseigner quoi que ce soit, et en tout cas, il ne repose pas sur un savoir maîtrisé par concepts que l’on pourrait apprendre pour devenir artiste, comme on apprend à devenir un technicien. Kant compare à ce propos Homère à Newton. Newton était capable de montrer la logique de ses découvertes, à partir des éléments d’Euclide et de les exposer. Mais Homère ne pouvait pas dire comment s’assemblaient dans sa tête toutes ses idées poétiques, toutes

morte " ? Par ailleurs, le désir sent confusément qu'aucun objet n'est à même de le satisfaire pleinement. C'est pourquoi, à la différence du besoin. Il est illimité, insatiable et sans cesse guetté par la démesure, comme le montre Platon dans le Gorgias quand il compare l'homme qui désir à un tonneau percé qui ne peut jamais être rempli. Avec Schopenhauer, la vie d'un être de désir est donc comme une pendule, qui oscille entre la souffrance (quand le désir n'est pas satisfait et que le manque se

en faire l’objet d’un jugement critique : c’est finalement notre raison qui se prononcera. Ainsi si l’autorité divine nous indique nos devoirs, cette révélation doit être soumise à un examen critique de la raison. Cf. Kant : « Même le Saint de l’Evangile doit être d’abord comparé avec notre idéal de perfection morale, avant qu’on le reconnaisse pour tel. » II) L’autorité de la tradition, de la coutume Descartes déclare : « Malheureusement nous avons été enfants avant que d’être hommes ».