Compassion

quatrains alternant décasyllabes et pentasyllabes en rimes croisées. Poème dans lequel l’auteur tente de lutter contre les préjugés des hommes envers les êtres rejetés que sont les araignées et les orties. Victor HUGO parvient, en exprimant une compassion paradoxale à l’égard de ces créatures, à inviter le lecteur à adopter une vision nouvelle de l’araignée et de l’ortie et plus largement à lui montrer que tout être mérite considération et amour. Ce poème lyrique et argumentatif voire polémique

que l'on peut parler de cette situation tant qu'il n'y a pas capacité de compassion et de sacrifice dans le seul intéret de l'autre. Par contre, on ne peut acheter l'amour dans le sens très précis de la compassion. La compassion, l'amour chrétien dans son sens le plus pur, l'amour désintéressé d'autruit n'est pas marchandable. Si il est donné par crainte de punition divine ou autre, alors ce n'est pas une vraie compassion. Seul un amour désintéressé n'est pas achetable. Ensuite, on peut se demader

question sous l’angle de la compassion, il semble que : 1bis) si quelqu’un est un criminel suite à des conditionnements biologiques, familiaux, ethniques, etc., il faut l’empêcher de nuire mais aussi le délivrer de ses conditionnements nuisibles 2bis) si un criminel a agi librement, il peut agir autrement, l’isoler, le tester peut permettre de le réhabiliter. L’enjeu problématique du sujet est donc de savoir si le modèle de la justice est l’ouverture du coeur, la compassion ou le droit à la vengeance

Jean Valjean. I. RESUME DE L’OEUVRE II. ANALYSE DES PROTAGONISTES – Jean Valjean – Cosette – Javert – Marius Pontmercy – Fantine III. AXES DE LECTURE DE L’ŒUVRE – L’importance de l’amour et de la compassion – L’injustice sociale dans la France du XIXe siècle – Les effets de la Révolution française 1) RESUME DE L’OEUVRE Le forçat Jean Valjean est libéré d’une prison française après avoir purgé une peine de dix-neuf ans pour le vol

retenir. Car celui qui ne sait Le droit d’un rêve simple qui demande À relever le sens, à apaiser Le visage sanglant, à colorer La parole blessée d’une lumière, Celui-là, serait-il Presque un dieu à créer presque une terre, Manque de compassion, n’accède pas Au vrai, qui n’est qu’une confiance, ne sent pas Dans son désir crispé sur sa différence La dérive majeure de la nuée. Il veut bâtir ! Ne serait-ce, exténuée, Qu’une trace de foudre, pour préserver Dans l’orgueil le néant de

douceur est associée à l’idée de compassion. La différence entre les deux, la douceur est le refus de faire souffrir, ou la volonté de faire souffrir que lorsque c’est parfaitement nécessaire. A l’inverse, la compassion suppose que la souffrance existe déjà, qu’on souffre avec l’autre. La compassion s’oppose à l’égoïsme, à l’indifférence, à la dureté. La douceur, elle, s’oppose à la violence, à la cruauté, à la brutalité. Dès lors où on comprend que la compassion est un espace où il y a de la souffrance

feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n’auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l’orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. - Votre compassion, lui répondit l’Arbuste, Part d’un bon naturel ; mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu’à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons

aussi pour ressentir des émotions que nous n’avons pas ressenties pour un bon moment, tel que compassion, pitié, tristesse et soulagements. Beaucoup de lecteurs et spectateurs préfèrent lire les œuvres dramatiques pour ressentir de la compassion, et de la pitié. Pour cette raison beaucoup d’auteurs ont écrit des romans et théâtres qui apportent ces satisfactions. Malgré leur envie de ressentir cette compassion, les lecteurs ont tendance à ne pas aimer des fins tragiques qui restent dans leurs mémoires

souvent |Sur les humides bords des Royaumes du vent. |La nature envers vous me semble bien injuste. |- Votre compassion, lui répondit l’Arbuste, |Part d’un bon naturel ; mais quittez ce souci. |Les vents me sont moins qu’à vous redoutables.

l’abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n’auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l’orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. - Votre compassion, lui répondit l’Arbuste, Part d’un bon naturel ; mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu’à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la