Competitivité Hors Prix

retrouver un emploi, leur employabilité étant plus limitée. Ces catégories semblent condamnées à s'insérer dans l'emploi par la précarité et le retour au chômage est plus récurrent. Par ailleurs, les entreprises mettent en avant une recherche de compétitivité hors prix qui substitue de travail qualifié aux emplois non qualifiés. La mondialisation favorise ainsi dans les pays riches ceux qui sont largement dotés en capital culturel et en qualification et affaiblit la position des salariés les plus fragiles

post-tayloriennes (document 6). 2/ Les conséquences bénéfiques : a) sur le niveau de vie des ménages (baisse des prix des biens et hausse des salaires) ce qui conduit dans le cadre fordiste au cercle vertueux production de masse et consommation de masse. b) sur la compétitivité des entreprises : - compétitivité-prix pendant la période fordiste - compétitivité hors prix avec les méthodes post-tayloriennes : plus de flexibilité, plus de qualité, plus d'implication - les cinq zéros

économique : il s’agit de mesurer les composantes de la compétitivité de l’entreprise : la compétitivité-prix et la compétitivité-hors prix.  La compétitivité-prix : désigne la capacité d’un produit à attirer des clients au détriment des produits concurrents, du fait de son prix. Sa mesure permet de situer la place de l’entreprise sur le marché par rapport à ses concurrents (part de marché, position concurrentielle,…).  La compétitivité-hors prix : désigne la capacité d’un produit à attirer des clients

l’organisation du travail, les biens et services vendus et la structure des marchés. Dans une approche schumpéterienne, il résulte donc de choix délibérés permettant à l’entrepreneur de s’extraire temporairement de la concurrence en étant moins soumis au prix imposé par le marché. A travers les bouleversements qu’il introduit, dans une processus permanent de destruction créatrice, on peut se demander quels sont les effets qu’il induit sur l’emploi, tant au niveau quantitatif que qualitatif. Nous montrerons

Intro : * Comme notre amie viens de le citer, la caisse de compensation est conçu maintenant comme l’un des outils principaux et indispensables de l’Etat pour la mise en œuvre de la politique gouvernementale de stabilisation des prix , ainsi que le maintien du développement économique et social du pays . la mission principale de la CC était et sera toujours de gagner ce challenge du maintien du développement économique et la stabilité sociale . A ce propos , le gouvernement faisait et fait

hausse de la productivité se traduit en une amélioration de sa compétitivité prix (compétitivité cout) et hors prix (compétitivité structurelle ou qualité).la minimisation des couts unitaires de production permet à l’entreprise de baisser les prix de ses produits et donc d’augmenter son offre de produits sur le marché local et à l’exportation suite à l’augmentation de la demande nationale et étrangère stimulée par la baisse des prix .De même l’amélioration de la qualité des biens produits permet

main-d’œuvre nombreuse et de plus en plus qualifiée. Dans ce contexte, certaines firmes, même les moins grandes, déplacent de nombreuses activités pour maintenir leur compétitivité. Ce déplacement peut avoir comme conséquence à court terme, une réduction d’emplois dans certains pays. Toutefois, à moyen terme, l’amélioration de la compétitivité permet à ces entreprises, dans de nombreux cas, de créer des activités nouvelles et des emplois nouveaux également dans les pays à coûts de main-d’œuvre plus élevés

et sa suite surtout a entraîné le monde dans la pire récession depuis 1945. Les gouvernements des pays ont dû intervenir afin d’essayer de relancer la croissance et aussi d’augmenter la compétitivité. Comment la politique de compétitivité d’un pays a-t-elle ou serait-elle touchée par cette crise? La compétitivité d’après l’OCDE se définit comme telle « Capacité de produire des biens et services qui passent avec succès le test de la compétition internationale tout en garantissant aux citoyens du pays

ce qui rendait les anciens modèles d’organisation du travail inadaptés ; en conséquence il a fallu promouvoir de nouveaux modèles. Les anciens modèles étaient inadaptés à une production qui doit s’inscrire dans le cadre la compétitivité prix mais aussi de plus en plus hors-prix. Document n°2 – "Enquêtes conditions de travail", DARES, 2000 (tableau) Le document met en lumière la progression des contraintes traditionnelles pesant sur les salariés alors que de nouvelles formes d’organisation du travail

important de mesurer le statut de la compétitivité industrielle de la France aussi bien européenne qu’internationale. Il convient donc de situer l’industrie française selon le contexte économique international ; la France est actuellement la cinquième puissance économique mondiale et la deuxième puissance industrielle. Malgré ses positions assez importantes, la France est loin derrière l’Allemagne notamment en industrie. Des disparités liées aux gains de productivité (prix, marges bénéficiaires, coûts salariaux)