Complicité Lecteur Auteur

central de l’anecdote, fonction central. * Fonction de plaire au Lecteur B. L’art du récit au service du plaisir du Lecteur * Adverbe « plaisamment » l’idée que ce qui va suivre va plaire au lecteur * Proximité avec le lecteur : Pst de narration rendre l’action plus immédiate, plus proche du lecteur. * Volonté critique : Allemagne = pays voisin donc la critique passe plus facilement * Complicité avec le lecteur * Ironie par les antiphrases « belle doctrine », « tant de beaux

cette foule aveugle en les appelants tout simplement au changement. La succession d’interrogations oratoires par lesquelles D’Holbach prend le peuple à parti permet de lui faire durement comprendre sa complicité avec le tyran et incite le destinataire à se rendre à l’évidence de sa complicité. Néanmoins, il est enfantin de voir qu’à travers ses propos, le locuteur voit par ailleurs l’existence d’une vie meilleure, l’attente d’un changement de la part de l’allocutaire. Il en est capable, c’est

nécessiter un parcours personnel pour que son destinataire trouve enfin à y adhérer. Candide est un personnage naïf prêt à croire le premier enseignement théorique qu’on lui livre, et qui n’apprendra véritablement que de ses expériences ; de même, le lecteur est invité à recevoir le message de Voltaire non par un développement explicite, mais de manière implicite, en suivant le récit des aventures du personnage. Orgon, obnubilé par Tartuffe, ne comprendra jamais le message explicité de sa famille, et

ils permettent aux lecteurs d’avoir un aspect plus concret dans les romans qu’ils lisent. En plus de cela la plupart des auteurs Il est vrai que si le lecteur ne dispose que d’un « simple sujet de l’action exprimé par le verbe » il devra d’autant plus faire appelle à son imagination, il est libre de pensé comme il le souhaite sans avoir aucune indication de la part de l’auteur qui l’influencerait en quelques sorte. Mais cependant, en étant totalement libre certains lecteurs auront peut-être un

Le Journal de lecteur : objet, activité, enjeux pour l'élèveLe Journal de lecteur : objet, activités, enjeux pour l'élève. Véronique Larrivé, professeur au collège Michelet, Toulouse. C’est en tant que professeur de collège, pratiquant le journal de lecteur dans mes classes depuis plusieurs années, que je vais vous présenter ce qu’est concrètement le Journal de lecteur, ce qu’il représente du point de vue de l’élève, les activités qu’il impose, les réflexions qu’il permet. PRESENTATION DU JOURNAL

l'incipit "progressif" ( laissant des zones d'ombres au lecteur ), l'incipit "dynamique" ( jettant le lecteur dans une histoire déjà commencée ) et l'incipit "suspensif" ( donnant peu d'informations et cherchant à dérouter le lecteur). Je vais vous montrer l'utilité première de l'incipit, contribuer toujours à donner envie au lecteur de lire la suite et par quel procédé il y parvient. Tout d'abord l'incipit annonce le texte, il montre au lecteur le rythme du récit ainsi que son genre ( ex : roman

implicitement, ce qui demande au lecteur une participation plus vive pour comprendre le message. Candide de Voltaire aussi bien qu’une pièce comme Tartuffe de Molière, montrent dans leurs structures même qu’un enseignement peut nécessiter un parcours personnel pour que son destinataire trouve enfin à y adhérer. Candide est un personnage naïf prêt à croire le premier enseignement théorique qu’on lui livre, et qui n’apprendra véritablement que de ses expériences ;  de même, le lecteur est invité à recevoir le

implicitement, ce qui demande au lecteur une participation plus vive pour comprendre le message. Candide de Voltaire aussi bien qu’une pièce comme Tartuffe de Molière, montrent dans leurs structures même qu’un enseignement peut nécessiter un parcours personnel pour que son destinataire trouve enfin à y adhérer. Candide est un personnage naïf prêt à croire le premier enseignement théorique qu’on lui livre, et qui n’apprendra véritablement que de ses expériences ; de même, le lecteur est invité à recevoir le

: toutes les questions que se pose un lecteur qui commence un roman sont posée d'emblée par le narrateur qui invente un personnage de lecteur. Face a cette série de question imaginé, le narrateur esquive et se montre même insolent en utilisant un ton provocateur " que vous importe " l2-3 le narrateur refuse ouvertement d'y répondre C) un brouillage des genre ou brouillage générique est mis en place et une certaine confusion est ressentit chez le lecteur , on se demande si c'est un roman ou du

l'écriture d'invention. Réfléchir aux réécritures, c'est cerner les choix opérés par les auteurs, en établissant aussi des relations avec le contexte littéraire, historique et philosophique de leur époque. C'est également comprendre l'infinie circulation des textes. Les réécritures peuvent suivre un principe d'imitation mais aussi un principe de recherche de l'écart. L'intertextualité : la perception par le lecteur des rapports entre une œuvre et d'autres qui l'ont précédée ou suivie. Elle transcende