Comportement animal

une approche en psychologie qui consiste à se concentrer uniquement sur le comportement observable de façon à caractériser comment il est déterminé par l'environnement et l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu, sans faire appel à des mécanismes internes au cerveau ou à des processus mentaux non directement observables[2]. Par exemple, l'apprentissage y est décrit comme une modification du comportement observable due à la modification de la force avec laquelle une réponse est associée

-John Locke et David Hume : → objet : processus d'apprentissage et d'acquisition des connaissances qui se constitueraient à partir de l'observation issue de nvll expériences → Philosophie associationniste : rôle joué par l'environnement sur les comportements humains Psychologie expérimentale Courant structuraliste -La psychologie s'autonomise par rapport à la philo en utilisant la méth. Expérim. Wilhem Wund (1832-1920) : → 1er labo en 1879 à Leipzig, → consti. Officielle d'une nvl science

Définitions : La psychologie s'intéresse aux comportements, au déclenchement de ces comportements, activités. Le comportement a un but. On s'intéresse aux facteurs qui déclenchent le comportement, l'origine du comportement. Le comportement se déclenche, se maintient et s'arrête. La motivation est l'ensemble des mécanismes qui déterminent : _ 1 : le déclenchement d'un comportement _ 2 : l'orientation du comportement (le comportement est la recherche, l'approche d'un but favorable

traditions, des institutions ainsi que des savoirs qui vont faire de lui un homme civiliser et pourra se perfectionner, ce développer, à l’inverse des animaux. Ainsi, l’éducation paraît être ce qui distingue l’homme de l’animal - Toujours selon Kant la culture permettrais à l’homme d’obtenir la raison qui lui permettrai ainsi d’ordonner son comportement afin de pouvoir par la suite s’éduquer. Selon lui, la raison est une faculté en progrès à la différence de l’instinct qui amène l’homme à « s’essayer

équivalence entre l’homme et l’animal. La peur chez un homme comme chez un animal est un mécanisme du corps qui est ressenti sans être connu dans son fonctionnement. Ayant reconnu cette équivalence, Alain se demande dans les phrases cinq, six et sept pourquoi on ne parle pas alors d’un inconscient chez l’animal. La réponse est très simple : le comportement humain est guidé par la conscience réfléchie tandis que le comportement animal est guidé par l’instinct. L’instinct désigne les conduites de réactions

les garder), il n’éprouve aucun sentiment pour les autres, il a un esprit logique.Psychologie :→ État psychologique général : bon, trauma de la mort de son père (pas asser présent) mais aussi à cause de ce qu’il a fait à sa mère.- Trouble(s) du comportement ? : peut s’emballer rapidement, part souvent dans ses idées folles, têtu, sociopathe, peut devenir dangereux. - Niveau de nervosité général : - Niveau de violence général : Capable de violence, de meurtre et d’autodestruction, ne ressent pas

des processus de commande et de communication chez les êtres vivants, dans les machines et les systèmes sociologiques et économiques), la théorie des groupes et celle des types logiques, il s'est beaucoup intéressé à la communication (humaine et animale), mais aussi aux fondements de la connaissance des phénomènes humains. Ces œuvres sont profondément marquées par les sciences physiques et les mathématiques. Théories Schismogenèse : genèse d’un schisme au sein d’un système social la

je suis d’accord que l’être humain est entièrement responsable de ses actes. Au 19e siècle, la médecine s’attardait particulièrement aux problèmes observables ayant des explications vérifiables (matérielles) même parmi les problèmes reliés au comportement. Le courant psychanalytique est caractérisé par les études de Freud qui mit le point fondamental dans l’étude du psychisme humain : l’inconscient. Toutefois, le 20e siècle est amorcé par la Première Guerre mondiale, cette catastrophe qui suscita

(coupez-nous et nous saignons) mais également des tendances de comportement communes ». Par cette affirmation David G. Myers fait ressurgir l’éternel débat entre l’inné et l’acquis. Pour lui, le comportement humain est inné, à savoir contenu dans notre code génétique et transmis par la seule hérédité biologique. Il est également naturel, puisqu’il appartient en propre à l’être humain, considérant la « nature humaine » en opposition avec la « nature animale ». D’emblée, il prend une position « innéiste ». Lorsqu’il

sont pas toujours suffisamment précises A une consigne («Répondez par écrit à la question: “Qu’est ce qu’un prédateur?” ), cinq types de réponses : — «Pillard qui vit de proies. » (définition générale). — «Animal qui tue d’autres animaux pour s’en nourrir.» (définition plus biologique). — «Animal puissant, fort, le plus souvent armé de griffes, de dents ou d’un bec puissant. » (description). — «Permet l’élimination de rongeurs et d’oiseaux granivores. » (rôle écologique). — «Le loup, le tigre, les