Compressibilité

le gradient de pression statique P0.  L’équation d’état thermodynamique de l’air : on considère un caractère isentropique de la propagation des ondes sonores : pt v V S S    0 11           avec S le coefficient de compressibilité isentropique. Par combinaison de ces équations et développements limités (dus à l’hypothèse de variations faibles des variables v, P et ρ), on obtient l’équation d’onde (équation de d’Alembert)2: 0 1 2 2 22 2 0        tc p t p S 

|5000m/s |/ | On peut mesurer la célérité de l'onde grâce à la formule suivante : Où c la vitesse, ρ est la masse volumique du gaz et χ la compressibilité adiabatique. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, lors de la propagation d’une onde, il n’y a pas de déplacement de matière dans le sens où les molécules viennent se replacer directement au même endroit après la perturbation du milieu

calme. L'eau ne se déplace pas, elle est seulement troublée. Le son repose sur le même procédé. La vitesse à laquelle le son se propage dépend de certaines propriétés du matériau dans lequel il se trouve soit : la pression, la température et la compressibilité du milieu. Moins le milieu est compressible, plus la vitesse sera élevée. Si les particules sont très proches, la distance qu'elles doivent parcourir pour aller heurter leurs voisines est plus faible et l'onde ira plus vite.  Les sons se déplacent

condition qu'ils soient conducteurs de l'électricité. CRITERES DE CHOIX DES CAPTEURS DE DEBIT Caractéristiques du fluide Nature du fluide (liquide chargé, conducteur...) Viscosité Régime d'écoulement Température Pression Agressivité Compressibilité Critères métrologiques Nature du signal de sortie (0-10 V, 4-20 mA...) Dynamique * Précision Etendue de mesure Bande passante ** Caractéristiques de Diamètre de canalisation Perte de l'installation charge engendrée Encombrement

d’écoulement et le même fluide afin d’avoir le même nombre de Reynolds et de Mach. Lors des expériences nous prendrons comme vitesse : U = 20,3989 [m/s], pour cette vitesse on un Mach faible, de l’ordre de Ma = 0.05, on peut donc négliger les effets de compressibilité du fluide. Afin d’obtenir cette vitesse, on utilise un tube de Pitot pour mesurer la vitesse à partir de la pression statique et la pression dynamique de l’écoulement. D’après le théorème de Bernoulli on peut lier la vitesse est la pression par

Le Suisse Daniel Bernoulli découvrit en 1738 que lorsque la vitesse d’un fluide augmente, à l’intérieur d’une conduite, la pression qu’il exerce sur ces paroi diminue. En aéronautique, l’air est un fluide semblable à l’eau. Mais à part sa compressibilité, ses propriétés sont voisines. Donc, l’air se comporte comme un fluide circulant autour de l’aile de l’avion. La portance provient de la forme particulière de l’aile d’un avion. Celle ci est plus bombée sur sa face supérieur appelée aussi extrados

à mâcher, l’aération ne consiste pas seulement à réduire sa densité mais à conférer une texture, et ce en assurant la formation d’un réseau de bulles d’air tapissées d’un couche extrêmement mince (monomoléculaire) de gélatine. Du fait de la compressibilité de l’air, il en résulte une augmentation de la masticabilité d’autant plus élevée que le nombre de bulles d’air incorporé est important et leur taille très petite. Toutefois, toute aération excessive est à proscrire car elle induit des problèmes

Bernoulli Le Suisse Daniel Bernoulli découvrit en 1738 que lorsque la vitesse d’un fluide augmente, à l’intérieur d’une conduite, la pression qu’il exerce sur ses parois diminue. En aéronautique, l’air est un fluide semblable à l’eau. Mis à part sa compressibilité, ses propriétés sont voisines. Donc, l’air se comporte comme un fluide circulant autour de l’aile de l’avion. La portance provient de la forme particulière de l’aile d’un avion. Celle-ci est plus bombée sur sa face supérieure appelée aussi

disparaît la dernière bulle de gaz. La portion horizontale AB de l'isotherme est appelée palier de vaporisation (en augmentant u) ou palier de liquéfaction (en diminuant u). En A tout est liquide, si V diminue la portion AM ressemble à la courbe de compressibilité d'un liquide ordinaire. – En opérant pour différentes températures, on peut construire le lieu des point A et des points B. → Le lieu des point A (courbe AC) appelé courbe d’ébullition → Celui des point B (courbe CB) courbe de rosée. → L'ensemble

restituée lorsque la contrainte est à nouveau nulle. Par contre, le phénomène de viscosité, comme ceux de plasticité d'ailleurs, se traduit par une absorption irréversible d'énergie mécanique qui échauffe les corps (frottement intérieur). 4) La compressibilité élastique est le phénomène qui relie une contrainte normale isotrope (pression) à la variation de volume. On observe que cette variation de volume n'est pas instantanée lorsque la contrainte est appliquée. On introduit alors un deuxième coefficient