Compression médullaire

sur le bassin, le rachis… CLINIQUE Exostose solitaire : - perception d’un tuméfaction osseuse peu ou pas douloureuse - phénomène d’accrochage tendineux sur la saillie osseuse de l’exostose - rarement compression d’un nerf ou d’un vaisseau Maladie des exostoses multiples : on trouve les mêmes signes que pour l’exostose solitaire mais il existe volontiers en plus de petites dysmorphies squelettiques : - genu valgum - petit raccourcissement

| | |- Apport d’oxygène insuffisant : Accident Vasculaire Cérébral, compression d’un nerf. |Arylacétates  | |- Infection : virus Zona.

de certains organes (ex : le cerveau est protégé par le crâne) D’un point de vue dynamique, l’os présente le bras de levier de transmissions des forces musculaires au cours de mouvement. Il est soumis en permanence a e nombreuses contraintes (compressions, tension) et l’os peut donc se rompre sous l’effet de contraintes importantes. Les fibres de collagène donnent au tissu osseux ces propriétés élastiques. Les cristaux minéraux lui donnent ses qualités de rigidité Métabolique : L’os est une

antibiothérapie : idem arthrites septiques - immobilisation: lit et/ou corset en début de traitement - rééducation : après la phase aiguë - chirurgie : exceptionnellement nécessaire = en cas de compression neurologique à la phase aiguë • OSTEITE ET OSTEOMYELITE OSTEITE: infection de l’os par inoculation directe - plaie, ulcère, mal perforant - fracture ouverte - chirurgie osseuse, en particulier matériel d’ostéosynthèse++

goitre nodulaire : le plus souvent nodule unique (lobes ou isthme). — Le goitre avec dysfonctionnement thyroïdien. Le cancer est une tuméfaction thyroïdienne très dure plus ou moins fixée aux plans profonds, pouvant s'accompagner : — De signes de compression : de la trachée : dyspnée (gêne respiratoire); de l’œsophage : dysphagie (gêne à la déglutition); du nerf récurrent : dysphonie (trouble de la voix). — D'adénopathies cervicales : difficiles à mettre en évidence. Généralités 33 b) Les

canaux sécréteurs, qui peuvent être résinifères ou à gommes, longitudinaux ou radiaux, normaux ou traumatiques. D A E A A Chez les fruitiers (arbres de la famille des Rosacées), l’aulne, ou le bouleau, il est fréquent d’observer des taches médullaires : ce sont des taches allongées dans la direction longitudinale, d’une largeur d’un à quelques millimètres (dans la direction tangentielle) et d’une longueur de plusieurs centimètres. Elles correspondent à des îlots de parenchyme cicatriciel, formé

- La douleur - Les circonstances d’apparition CAUSES:  lésions du pharynx et du larynx:  rechercher abcès péri amygdalien, angine, muguet…  Lésions intrinsèques ou extrinsèques de l’œsophage dans ce cas le malade a la sensation d’un arrêt, compression de l’œsophage.  anévrisme aortique.  Lésions neurologiques:  Paralysie bulbaire, polynévrite, rage, tétanos, poliomyélite. Rôle infirmier :  Apprécier l’importance de la dysphagie : * Sélective. * Progressive. * Invalidante ou complète.  Rechercher

cas de scoliose on peut faire une ponction sous-occipitale) ; - piqûre d’une racine nerveuse qui provoque une simple décharge électrique très brève sans conséquence ; - ponction blanche (le liquide ne coule pas) : déshydratation sévère ou compression de la moelle sus-jacente ; - liquide hémorragique en cas de ponction traumatique (repiquer 2 espaces plus haut) ; - syndrome post-ponction lombaire (intérêt du blood patch). 5. Orientation du diagnostic en fonction des résultats du LCR

exemple) : Ca saigne en jets saccadés. Bien sûr appeler un médecin voire le SAMU si c'est une grosse artère, mais surtout ne pas regarder saigner sans rien faire : il faut comprimer l'artère en amont. Les secouristes connaissent les points de compression, mais sans être secouriste il suffit de réfléchir : le sang vient du coeur, donc sous le niveau du coeur comprimer au-dessus du saignement, et inversement. Si on ne sait plus, comprimer carrément là où ça saigne (cuir chevelu par exemple), si c'est

électrophysiologiques chez l’animal démontrent indiscutablement que la plus grande partie des fibres ascendantes qui mettent en jeu les structures supramédullaires responsables de la sensation douloureuse, proviennent de neurones dont les axones décussent au niveau médullaire et empruntent le quadrant contralatéral de la moelle. La s e c t i o n d e c e d e rn i e r ( c o rd o t o m i e a n t é ro l a t é ra l e ) e s t e n c o re q u e l q u e fo i s e m p l oy é e p o u r l e t ra i t e m e n t d e d o u l e u rs d