Compromis De 1875

effet, les monarchistes sont divisés en légitimistes qui soutiennent le compte de Chambord et orléanistes qui soutiennent le compte de Paris. Le compte de Chambord étant agé et très radical, sept ans était le délais espéré pour sa mort. Le 30 janvier 1875, l’assemblée vote un amendement qui va tout boulverser, il s’agit de l’amendement Wallon, il précise que «le président de la république sera élu pour sept ans à la majorité des suffrages par le sénat et la chambre des députés réunis en assemblée nationale

SUJET – LE SOCIALISME ALLEMAND DE 1875 A 1919 (Intro) Le socialisme apparaît dans la première moitié du XIXe siècle : des penseurs tels F. Engels ou l’Allemand Karl Marx (Le Manifeste du parti communiste) jettent les bases de cette doctrine. Le socialisme désigne alors un modèle économique et social de transition qui, après avoir renversé le capitalisme, doit tendre vers le communisme (le modèle égalitaire « idéal »). Mais un peu comme la Bible ou le Coran, les interprétations de l’idéologie

entraînent une insurrection populaire qui réussit. Le roi n’a pas su trouver de compromis. ▪ Charles X accepte le 31 juillet la nomination du duc d’Orléans comme lieutenant-général du royaume sous la pression des orléanistes et abdique. Louis-Philippe accède alors au trône. II. Le régime parlementaire français se réalise dans le parlementarisme dualiste de la monarchie de Juillet A/ La Charte de 1830 : un compromis entre le roi et la nation. ▪ 9 août 1830 : le duc d’Orléans prête

d’empêcher l’entrée en vigueur d’une loi. Ainsi sa doctrine se veut la combinaison d’éléments empruntés au fonctionnement de l’aristocratie, de la monarchie et de la démocratie. C’est donc un régime mixte qu’il propose d’instaurer, reposant sur un compromis entre les « forces sociales » de l’époque. On parle d’un discours novateur, « d’idées nouvelles », plus que d’essence purement révolutionnaire. §2 : L’interprétation contemporaine du principe La théorie de la séparation des pouvoirs de Montesquieu

constitution et son vote est quasiment obligatoire. La constitution est dans ces conditions beaucoup plus imposée que consentie. Exemples : les constitutions Napoléoniennes en France, la constitution de la Syrie… B – Les modes mixtes ou système de compromis Le pouvoir constituant originaire est partagé entre le monarque et le peuple, en d’autres termes, la constitution émane d’un pacte entre le monarque et les représentants du peuple. Selon P.Ardan cette hypothèse est assez rare et se rencontre parfois

orléanistes et autres monarchistes. Si bien qu’avec le contexte historique, l’Assemblée nationale mettra plusieurs années avant d’accepter l’idée de travailler sur la rédaction d’une nouvelle Constitution, aboutissant aux lois constitutionnelles de 1875. A. Un régime dualiste découlant des lois constitutionnelles Le premier président de la troisième République fut Adolphe Thiers, républicain affirmé, dut démissionner de son poste en 1873 face aux pressions faisant suite à la répression organisée

définitive. De 1870 à 1875, la IIIème République n'a pas de Constitution. C'est donc, à partir de 1875, que trois lois constitutionnelles vont être votées et constituer la Constitution de la IIIème République : loi du 24 et 25 février 1875 relatives au Sénat et à l'organisation des pouvoirs publics et la loi du 16 juillet 1875 relative aux rapports entre les pouvoirs publics. Cependant, ces lois sont modestes et facilement révisables. En vérité, cette Constitution va durer de 1875 à 1940. La seconde

de soldats qui sont des soldats de l’an II, l’armée de la République. Le 18 Brumaire pourrait être réédité par d’autres généraux. Le Code Civil est parfois présenté comme une œuvre réactionnaire révolutionnaire. D’autres pensent que c’est un compromis, un droit intermédiaire entre le droit d’après la Révolution et les anciennes lois. Portalis sait à quelle personne il s’adresse : les millions d’hommes qui composent l’armée impériale sont des cadets. L’égalitarisme qui est le fruit de la révolution

deux parties : la première, le Préambule, expose la philosophie politique et sociale du régime ; la seconde, comprenant 106 articles, divisés en douze titres, est consacré aux institutions de la République. La IVe République est une œuvre de compromis. • L’organisation des pouvoirs publics. La Constitution de 1946 instituait, dans leur forme parlementaire, les deux pouvoirs traditionnels : le législatif appartenant à un Parlement bicaméral, et l’exécutif avec sa dualité d’organes : le

parisienne). Nouvelle chance d’instaurer un régime républicain.   Pas de parti républicain, nébuleuse politique hétérogène, mais classée à gauche (droite = monarchistes et impérialistes) : -          1er groupe : centristes, gauche dite ouverte à des compromis avec opposition (not. avec Orléanistes ou soutien de l’Empire). Prêts à transiger, à la mise en place d’une république modérée. Nom : Ernest Picard. -          Courant principal = républicains légalistes, ou modérés ; on retrouve dans ces rangs