Comptabilisation Contrat Long Terme

sincérité 4 I.2 - Principes et méthodes comptables 4 I.3 - L’Image fidèle 5 I.4 - Organisation comptable 5 I.5 - Traitement automatisé des données comptables 6 I.6 - Les attributs 6 II - Comptabilisation des opérations de banque 7 II.1 - Approche opérationnelle 7 II.2 - Comptabilisation des principaux types d’opérations 7 III - LES COMPTES ANNUELS 15 III.1 - Le BILAN (Voir Annexe) 15 III.3 - Analyse du COMPTE DE RESULTAT 18 III.4 - Analyse des Soldes Intermédiaires

l’entreprise. Suivre des formations plus approfondies en matière des normes internationales IAS/IFRS Sommaire Introduction 1. Le cadre conceptuel 2. Les normes de présentation des états financiers 3. Les normes de comptabilisation et d’évaluation IAS 16 : Immobilisations corporelles IAS 17 : Contrats de location IAS 1 : Présentation des états financiers IAS 36 : Dépréciations d’actifs IAS 7 : Etats de variation des flux de trésorerie IAS 38 : Immobilisations incorporelles IAS 32 : Instruments financiers

stage. Tout d'abord, je remercie le cabinet COOPERS&LYBRAND de m'avoir accepté en tant que stagiaire externe au sein du cabinet. Je tiens à exprimer ma gratitude envers toutes les personnes, qui m’ont accueilli, accompagné et soutenu tout au long de ma période de stage. C’est ainsi que je remercie tout particulièrement, M. Abdelaziz ALMECHATT ainsi que M. Abdellah LAGHCHAOUI pour leur accueil, leur soutien ainsi que pour la confiance qu'ils m'ont accordés. Mes vifs remerciements sont adressés

telle que prévue par le SYSCOA, alors que précisément la norme IAS 8 (« Résultat net de l'exercice, erreurs fondamentales et changements de méthodes comptables »), dans sa version révisée en 2004, interdit une telle distinction.33 En termes de comptabilisation (ou reconnaissance) et d'évaluation des actifs, passifs, produits et charges, les différences par rapport aux IFRS portent en particulier sur : • La prééminence du modèle dit du coût historique dans le SYSCOA, qui apparaît appropriée dans les

de l’agence. Vérifier que la périodicité prévue par le siège est respectée et s’assurer que les personnes qui contrôlent ne sont pas celles qui effectuent les tâches faisant l’objet du contrôle. 2. Vérification des comptes et des méthodes de comptabilisation Outre le contrôle de la justification des enregistrements comptables, l’accent sera mis sur les comptes de suspens et sur les comptes d’existants (portefeuille, bons de caisse, ...). 2.1 Contrôle de la comptabilité générale : sur la base d’une

personne puisse commettre une erreur, en ayant la possibilité de la dissimuler. • La matérialisation des taches assure leur réalisation et leur unicité ; un exemple simple est la comptabilisation des factures : il n’est indispensable que toutes les factures soient comptabilisées. La matérialisation de la comptabilisation, par opposition d’un tampon, des dates et signatures, permet de suivre le chemin comptable et d’identifier la personne susceptible de fournir des éléments d’informations sur la

dettes Titre II : Le rattachement des charges et des produits Chapitre I  : Les Provisions Chapitre II  : Engagements Financiers et Passifs Eventuels Chapitre III  : Contrats à long terme Chapitre IV  : Abonnement des charges et des produits Titre III : Comptabilisation des capitaux permanents Chapitre I  : Capital et variations Chapitre II  : Affectation du Résultat Chapitre III : Provisions réglementées Introduction Générale

peut accompagner avec des capitaux à long terme une entreprise dont la pérennité ne paraît pas assurée. Le banquier doit donc maîtriser ces techniques de financement et mener une action sélective dans son offre commerciale de crédits. II. LA PROBLEMATIQUE DU CREDIT D’INVESTISSEMENT 1. L’aspect technique Un crédit d’investissement est à moyen terme quand sa durée est, en principe, comprise entre 2 et 7 ans ; au-delà, c’est le domaine du long terme. La quotité de financement à crédit

nouveaux principes comptables sur les comptes des établissements de crédit et d’une manière plus générale sur la stabilité financière. En effet, même si les IFRS permettent d’harmoniser — certes partiellement compte tenu des différentes options de comptabilisation offertes par certaines normes (IAS 39, IAS 19, IAS 40, IAS 16, IFRS 4…) et des possibles divergences d’interprétation des textes — la présentation des comptes des entreprises européennes et donc leur comparabilité, elles tendent dans un certains

rattachement aux autres services de l’agence tels que le service caisse et crédit. Le premier lui est indispensable pour la comptabilisation des provisions et commissions, les transferts ainsi que les opérations de change manuel. Quant au second, il lui permet l’octroi de crédits par signature (caution et aval), l’ouverture de lignes de crédits pour le financement des contrats et marchés ainsi que les garanties bancaires usuelles dans le commerce extérieur. II-2- Relations hiérarchiques : Le