Compte Rendu Les Miserable

Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. " Il ne tiendra qu'à vous beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, haires, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée : Tout à la pointe de l'épée. Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. " Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il

la porte de mes filles. » La mort du père Goriot est la conclusion logique de toute l’action qui conduit le personnage de l’amour passionné, à la dépossession de soi, à l’expérience de l’ingratitude jusqu’à la mort misérable et solitaire. Goriot passe de l’état de celui qui compte car il a la fortune à l’abandon le plus total, au mépris de tous. 1)Précédant la mort, un instant de lucidité saisit Goriot, il atteint une connaissance en profondeur de tout son parcours. 2) L’argent, la richesse sont

respectives s’opposer quant à la solution à adopter. b) Le péril est imminent. Trois exclamations de Doña Sol (« Hernani ! Dieu ! Je tremble ! ») en sont l’expression : en proie à la peur, elle en appelle au ciel et à son amour car le temps est compté (« hâtons-nous ») et le moment décisif. Le présage d’Hernani (« dans cet instant où la mort vient peut-être… ») renforce l’intensité dramatique du face à face : l’évocation d’un « sombre dénouement » donne à la scène une dimension funeste et tragique

l'on s'est faite de nous même et donc toute crédibilité. C'est là que l'on se sent perdu, on ne ne reconnait plus en tant qu'humain. Etant donné que l'on s'est servi des autres, il n'y a plus moyen de revenir en arrière, on est seul, on se sent misérable et le mensonge tourne alors en cauchemar et non en une réussite. Un peu comme pour cet homme ; Guy de Chimay, ancien financier de Wall Street qui a été reconnu coupable de fraude pour plus de 7 millions de dollars il y a 3 ans. Il avait escroqué

qui aurait transformé une princesse et son amant en figurines de métal et rendu barbues les servantes de celle-ci. Pendant son séjour chez le Duc, Sancho devient le gouverneur d’une île fictive. Il règne pendant dix jours, jusqu’à ce qu’il soit blessé lors d’une attaque organisée par le Duc et la Duchesse pour se divertir. Sancho se dit alors qu’il est préférable d’être un travailleur heureux qu’un misérable gouverneur. Une jeune servante de la maison de la Duchesse tombe amoureuse

est le roi doit être l'envoyer de dieu sur terre .La cnfession hypocrite du Loup , il sait bien que même si il est le plus coupable se ne sera pas lui qui sera sacrifié.Cette fable est un parodie d'Oedipe Roi de Sophocle , quand le fils se rend compte de sa culpabilité il se sacrifie alors que le Lion nan. Le roi de cette fable est hypocrite car il va faire semblant de se juger .Le Lion est vraiement calculateur , il se doutai que qqn allait se dénoncer.On dirait qu'il font un examen des conscience

vous faites la cour, chez les ogres ! – Eh bien, justement ! Au lieu de vous morfondre, considérez mon geste comme une preuve d'amour : oui, je l'ai mangé parce qu'il était à vous, que c'était une partie de vous, et vous savez bien que vous m'avez rendu fou d'amour… Il n'y a pas dans votre langue une expression comme « manger de baisers » ? Eh bien, c'est ce que j'ai fait, voilà tout ! On ne va pas en faire un plat ! Oh pardon, elle est de mauvais goût, celle-là ! Je ne l'ai pas faite exprès ! Ah

En outre des effets de parallélisme (« de tout leur pouvoir/de tout leur appétit) ou d’anaphore (« Dès que Thétis/ dès que l’Aurore) relancent le rythme et habituent l’oreille du lecteur qui entre ainsi sans s’en rendre compte dans l’histoire. La leçon est mise en scène, rendue vivante bien que le récit ne passe jamais au présent de narration ; le poète reste bien au duo passé simple-imparfait pour son récit, mais entrecoupe ce dernier de moments de discours, directs, plus vivants ; le verbe de

souvenir. Conclusion : On y trouve plein d’anecdote, et beaucoup d’histoires et de souvenirs sur son enfance, ce que me fait penser qu’il avait une très bonne mémoire. J’ai beaucoup aimé ce livre, je l’ai trouvé passionnant, on ne s’en rend pas compte au début, mais j’ai révisé une grande partie de l’Histoire de l’Irlande rien qu’en le lisant. On apprend des choses sur l’IRA, une organisation paramilitaire qui a beaucoup agit dans l’ombre, grâce au père de Frank qui en faisait partit. On n’apprend

général de police de Paris. Sommaire [masquer] 1 Biographie 2 Hommages 3 Iconographie 4 Notes et références 5 Voir aussi 5.1 Bibliographie Biographie[modifier] Fils cadet de Jean Nicolas de Traslage, il reçoit la terre de La Reynie, misérable fief de 200 livres de revenu annuel, de la famille de sa grand-mère, née Hugon. En 1698, il hérite du château de Traslage (Vicq-sur-Breuilh, Haute-Vienne), de son neveu l'abbé Jean Nicolas de Traslage, puis en 1705, il achète la baronnie de Vicq