Comédie Plaire Et Instruire

miroirs | -Accumulations, antithèses -L'exagération, les hyperboles, la mise en abyme -La quantité (parallélismes,...) | XVII ème siècle LE CLASSICISME Corneille Racine Molière | -Chercher à plaire aux lecteurs en les faisant rire ou pleurer (comédie ou tragédie) -Instruire le lecteur -Respecter les valeurs morales et de symétrie | -Utilisation de règle -Emploi de langage soutenu en tragédie -Emploi de l'art des formes d'éloquence | XVIII ème siècle LES LUMIÈRES Voltaire

spécialisé dans le divertissement ? Rabelais affirme que le rire est le propre de l’homme. Autrement dit, l’homme a besoin de rire comme il a besoin de nourriture. C’est la part de la nature en lui qui est sollicitée par les grands du rire et de la comédie dont François Rabelais qui, pleurant son épouse Babedec morte en couches, et riant le moment d’après en voyant son fils Pantagruel : « buvons. Ho! Laissons toute mélancolie ; » comme pour signifier que la vie succède à la mort dans une sorte de

Introduction :La Fontaine est un auteur du XVIIe siècle qui appartient au mouvement littéraire et culturel du classicisme. Sa devise était « Instruire et plaire » ( placere et docere ) et pour atteindre ce double objectif il va reprendre un genre antique utilisé par Esope et Phèdre, celui de la fable. Cet extrait est une de ces fables, un genre relevant de manière plus générale de l’apologue, un court récit ici en vers dont on tire un enseignement moral. La fable prête à l’animal les qualités

Quels écrivains sont caractéristiques de ce mouvement ? Les écrivains caractéristiques de ce mouvement -Rabelais -Jeans de Lafontaine : ses fables - Boileau : -La Rochefoucauld - Molière : Le bourgeois gentilhomme -Pierre Corneille : avec sa comédie Mélite qui est d’ailleurs sa première œuvre et sa tragédie « Le cid » - Racine : Bérénice -Nicolas poussin : La fuite en Égypte -Claude gelée Comment s’est-il manifesté dans d’autres arts ? En dehors de la littérature le classicisme s’est

qui l'assimile à une véritable politesse. 2. « La grande règle de toutes les règles » : plaire et instruire. De tous les classiques, Molière est celui qui eut le plus de mal à brider son inspiration dans ces règles théâtrales qui, sous le patronage d'Aristote, visaient à resserrer au maximum l'action, l'espace et le temps autour de l'exploration d'une crise. Formé par le public spontané de la comédie, dont le rire reste le meilleur garant d'efficacité, il eut à cœur de subordonner les règles

Curiosité partagée par le lecteur Intérêt puis compassion. Les explications : 1. L’archer : Explication claire et cohérente. Attitude de badauds friands de nouveautés, avides de se rincer l’œil face à ce spectacle dégradant, trivial. Univers de la comédie. 2. La vieille relance : « barbare », qui faisait horreur et compassion (rythme ternaire, hyperbole). Changement de registre. Passage au discours direct Plus de force au propos, plus de valeur. Opposition en tre le discours de la vieille (phrases

unités et bienséance). Comme dans toutes ses pièces, Molière respecte la règle principale du classicisme “Plaire et instruire”. Comme dans toutes ses autres pièces, Molière choisit un type de personnage avec un défaut et exagère ce défaut. Par l'exagération, il essaie de faire passer un message. Et pour faire passer ce message, il essaie de faire rire. Le Tartuffe est une comédie de moeurs. La pièce fusionne le genre - de la farce française, avec le thème du mariage forcé et de l'adultère

anciens - Mettre en valeur le désordre - Utilisation de masques et de miroirs - Accumulations, antithèses - L'exagération, hyperboles, mise en abyme - la quantité ( parallélismes, ..) - Chercher à plaire au lecteur en le faisant rire ou pleurer (tragédie et comédie) - Instruire le lecteur - Respecter les valeurs de morales et de symétrie - Utilisation de règles - Langage soutenu en tragédie - Emploi de l'art des formes d'éloquence - Développer l'esprit critique (raison) -

Par exemple les fables de La Fontaine remplissent deux fonctions, elles doivent plaire et instruire, nous pouvons alors affirmer que la portée du récit est didactique. Comique : le registre comique par définition amuse, le comique peut être un comique de mots, de caractère ou de geste, comique de répétition (dialogue de sourds par exemple, répétitions d’expressions, de situations), il est associé au genre de la comédie et peut donc prendre plusieurs formes. Pathétique : Le registre pathétique

affirmée dans la préface est ici mise à exécution. Projet de lecture : il s’agira de montrer que la série de remarques sélectionnées portant sur l’art et la nécessité sociale d’agréer (= plaire), s’efforce bien d’accomplir le triple impératif classique : plaire, émouvoir (par l’humour, la raillerie) et instruire.*Observer la progression des remarques : volume textuel croissant fait apparaître l’hétérogénéité formelle de l’écriture discontinue, allant de la phrase simple d’une ligne au paragraphe