Concept De Totalitarisme

militarisme De 1914 à 1933 : Première guerre mondiale : matrice du XXème siècle III. La Première Guerre mondiale IV. Octobre russe, communismes et révolution mondiale V. Fascismes (Italie, Allemagne) De 1934 à 1948 : Fascismes et antifascismes VI. Totalitarismes (Italie, Allemagne, URSS) VII. Luttes sociales et nouvelles alliances de classe VIII. Deuxième Guerre mondiale et génocide IX. Les résistances De 1889 à 1914, vers la catastrophe ? I. Deuxième révolution industrielle, idéologie du Progrès

qui suivent leur Dieu et qui pour qui Dieu donc règne sur leurs mode de vie et les non-croyant ceux qui suivent leurs raison,thèse scientifique,… et dont le mode de vie n’est pas imposé. L’ordre moderne (nous sortons du passé) est composé de 3 concepts : le politique le droit/l’histoire : - Un homme peut juger un autre homme (absence de pardon ou de Divin du type : il payera tôt ou tard, lors du jugement dernier). - Principe d’autosuffisance : l’homme n’as pas besoin de Dieu pour se

aux plus pauvres de s’émanciper l’histoire nous a appris que l’ éducation peut aussi servir une doctrine extrémiste.L’éducation est le processus qui permet à un individu de se construire et de prendre sa place de citoyen. Au cours des siècles ce concept a évolué, les philosophes des lumières ont rompu avec la scolastique du Moyen Âge en mettant en avant l’éducation par l’expérimentation puis le modèle Républicain a facilité l’accès à l’ école pour tous qui se fonde sur le mérite.École et éducation

la bureaucratie, en URSS comme dans les partis communistes stalinisés", Bensaïd rappelle à bon droit que la pensée marxiste ne peut être réduite au marxisme officiel. Castoriadis, dit-il, "manie la catégorie du marxisme au singulier comme un gros concept fourre-tout [p. 255]". De sorte que, pour lui, les reproches "adressés au marxisme en général portent en réalité sur son interprétation dominante", et finissent par apparaître "comme autant d’énormités à la limite du contresens ou de la falsification

peut seulement définir les facteurs négatifs qui découlent logiquement d’une rigoureuse critique de la société actuelle. Ainsi la science socio-économique en est arrivée à la négation de la propriété individuelle héréditaire et par conséquent (…)au concept abstrait de propriété collective comme condition nécessaire du futur système social(…) De la même manière elle en est venue à nier la notion même de l’Etat et du système étatique… » .Il y a ici une part de Rousseauisme : une confiance dans une bonté

Rejetant les droits de l'homme, il s'accompagne d'un État policier fort et sécuritaire, d'une organisation verticale des métiers en corporation, d'une méfiance envers les étrangers et d'une politique réactionnaire. Le fascisme est une des formes du totalitarisme. Au-delà du régime mussolinien, le terme "fasciste" sert souvent à qualifier des régimes autoritaires, totalitaires, proches dans leur forme du fascisme italien : nazisme, régime de Franco, régime de Vichy... 7. Fédéralisme : Le fédéralisme

d’abord noter qu’avec l’altérité, nous avons affaire à un concept fortement marqué par la dualité. L’intellect aime les découpages clairs, tranchés, sans ambiguïté et là il est servi. La pensée duelle se traduit par des oppositions claires. Mais justement, il est indispensable de surmonter une dualité que nous avons tendance à réifier par le langage. (texte) Sur quelle pente la logique de la dualité nous emporte-t-elle, quand elle s’empare d’un concept tel que l’altérité ? Le mot altérité désigne le caractère

rois qui ont fait (et défait) la France, le régime de la démocratie ait enfin offert la souveraineté au peuple.» Philippe Bouvard, journaliste français contemporain, dans cette phrase y exprime bien le lien inextricable qui lie la démocratie et le concept de souveraineté, l’apparition de l’un n’a pu se faire sans le développement de l’autre. C’est pourquoi il convient avant tout d’évoquer le processus par lequel est apparu l’État moderne ayant comme principe intrinsèque la souveraineté du peuple

des gens ne jugent que sur l'apparence. La religion a des vertus morales, elle favorise la faculté d'accusation et le sentiment de honte. Mais elle possède aussi des vertus civiques : elle permet d'intérioriser la crainte et la discipline grâce au concept de jugement divin. Elle est utile pour commander les armées et encourager le peuple (guerre au nom de dieu). Il faut donc instituer une religion civile. Rousseau dira la même chose : l'homme est libre de choisir sa religion à condition qu'elle favorise

contrainte expressive, linguistique. On doit réutiliser les mots du langage de surface pour s’exprimer même une idée contraire. Le langage comprend les mots mais aussi la gestuelle. Parenthèse sur la religion : religion et tolérance sont deux concepts différents. La religion est un processus de spéculation qui donne sans à l’action. La religion n’a rien à voir avec être tolérant ou pas, mais on remarque une transformation du langage de surface. Le problème de fond, de sociologie est comprendre