Conception Cartésienne De La Liberté

volontaire et de l'involontaire qu'il situe la question du Cogito. Cette question demeurera toujours prévalente dans son oeuvre à partir de la lecture spécifique qu'il fait de sa critique de Descartes, Le Cogito tend à l'auto-position. Le génie cartésien est d'avoir porté à l'extrême une pensée qui fait cercle avec soi en se posant... Ainsi affirme-t-il plus haut : Même en première personne, le désir est autre que la décision, le mouvement autre que l'idée, la nécessité autre que la volonté

ont en commun de refuser l’introduction de la contingence dans le domaine psychologique de la volonté. Mais ces critiques sont faites au nom & à partir de conceptions différentes de la liberté humaine. ► La critique de Leibniz porte sur la liberté d’indifférence proprt dite : voici ce qu’il écrit dans sa Conversation sur la liberté et le destin : « le cas d’une parfaite indifférence qui est celle de l’âne de Buridan entre deux prés qui se laisse mourir, est imaginaire, la parfaite égalité

avec le corps ( pour Narcisse, le reflet de son image personnelle dans l’eau lui apparaît comme son moi le plus précieux ). Mais cela ne signifie pas que le corps engendre la conscience, comme le rappelle BERGSON par sa critique de la conception cartésienne dans la personnalité. Que la conscience humaine soit incarnée ne signifie pas que l’identité de la conscience se trouve dans le corps. La relation est plus complexe car de nature différente. Qu’est-ce qui lie la personnalité morale et la

A la Gloire du Grand Architecte de l’Univers Deus Meumque Jus RITE ECOSSAIS ANCIEN ET ACCEPTE Ordo ab Chao Au Nom et sous les Auspices du SUPREME CONSEIL DE France Liberté – Egalité – Fraternité FRATERNITE CHAMPENOISE (N° 701) Sujet N°23 « La consécration du Chevalier Rose Croix » Très Cher Frère Président, et vous tous mes FF :., Lors de mon Initiation au premier degré, avant d’être accueilli en Loge et être consacré franc-maçon par l’épée des anciens chevaliers, je suis passé par le

le monde tel que nous le rencontrons. Mais la puissance de l’imagination ne dépasse pas cette possibilité combinatoire. Elle recompose les éléments du réel, elle les assemble à sa guise, mais serait bien incapable de rien créer. C’est là la conception cartésienne de l’imagination que nous trouvons dans la première des Médiations métaphysiques. L’art, même quand il représente de êtres que la réalité ne nous permettra jamais de rencontrer, ne peut rien avoir de plus en lui que cette réalité dont il semblait

sensibles. La vérité est le privilège de ceux qui ont su s’affranchir des passions, des intérêts sensibles, des pulsions et se diriger vers l’Idée, pure vérité, immuable et éternelle, transcendant toute forme sensible.  L’évidence cartésienne Le sujet pensant cartésien, enfermé en lui-même, pousse le doute jusqu’au bout et parvient ainsi à une certitude inébranlable. Descartes trouve la vérité dans «l’invincibilité de certaines évidences privilégiées» : quand une idée est claire et distincte, je

consiste que dans le fait de posséder des objets techniques. Nous ne faisons aucun effort pour comprendre comment fonctionnent les objets dont nous dépendons pourtant dans notre vie quotidienne. Peut-on considérer une telle ignorance comme une liberté ? N'avons-nous pas alors un rapport magique, miraculeux à l'égard de la technique ?Descartes (p. 374) : a.Descartes oppose une connaissance purement théorique, abstraite, qu'il appelle « philosophie spéculative » et une connaissance

(relatif à tout ce qui existe, il n’existe que des substances). Pour Aristote, ces substances sont des réalités complexes : -       Matière et forme : la matière est un élément particulier et la forme est tout ce qui est universel. Entre alors la conception d’hylémorphisme (=doctrine ontologique qui attribue à l'Être une forme et une matière) -       Puissance et acte : la puissance est le potentiel (en devenir) et l’acte est l’actuel. Entre alors la théorie des 4 causes de la substance : 1.               

du jugement, mais en tant que méthode consistant à rejeter tout ce qui n'est pas certain d'une évidence absolue. Le doute ne représente, chez Descartes, qu'un moment provisoire. * l'intuition (intueri-voir), envisage comme la conception d'un esprit pur et attentif, conception si distincte qu'aucun doute ne subsiste plus. * la raison (raison bon sens), définie comme faculté de bien juger et de distinguer le vrai du faux. * la pensée, activité spirituelle synonyme de conscience : «Par le mot de pensée

distinguer deux types de droit : le droit naturel et le droit positif. Car si le principe de justice est inhérent au premier, il est parfois nié par le second. Tandis que le droit naturel représente les aspirations fondamentales de l’homme telles la liberté et la justice, il n’est pas rare qu’il soit en désaccord avec le droit positif (posé, écrit). Le droit positif est le droit instauré et fait respecté par l’homme. Les lois qui le forment dépendent uniquement des hommes qui les écrivent et du moment