Conception Cartésienne De La Liberté

capable d’en savoir le pourquoi, les motivations profondes. N’est-ce pas surestimer la conscience ? D’un autre côté, si c’est le cas, faut-il se résigner face cette ignorance paradoxale qui pourrait bien menacer notre liberté, n’y a-t-il pas moyen d’y remédier ? 1ere partie : La conception classique de l’homme maître et conscient de soi. - Distinction homme/animal : la conscience et la capacité de peser le pour et le contre avant d’agir. Conscience psychologique et conscience morale.cf. Déclaration

alors que nos états cérébraux sont accessible à tous. Elle revoit aussi à l'intentionnalité comme si une main mentale était présente pour viser des objets mentaux "sentiments, perception, discours". Edmund Husserl a dit dans son œuvre: Méditation cartésiennes « l'intentionnalité désigne la propriété foncière qu'a toutes consciences d'être conscience d'être ». La conscience est capable de dirigée son attention sur un objet mentaux précis et il faut être responsable de nos actes, conscient ou non. C'est

oratoires où on y comprend rien. Niveau Soutenu> il va chercher à rendre le niveau oratoire accessible au + grand nombre. Il va faire un effort de simplification du langage. Niveau Médian> langage courant, usuel. Niveau Familier> on prend liberté sur la grammaire. Niveau Populaire> on ne calcule plus le langage, tout est permis. RAPPORT TEXTE/ IMAGE : 3 Cas de figures. 1/ La Redondance : Quand le texte répète l'image. On l'utilise dès lors que l'image n'est pas assez claire pour

2. Travail et Nature 3. Travail et Propriété II. LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE : LA QUESTION DE LA LIBERTÉ A. Le Progrès Technique, Facteur de Libération ? 1. La Neutralité de la Technique ? 2. Le Principe de l’Action Extérieur à la Technique 3. La Technique comme Fin en soi B. La Culture Technique comme Aliénation 1. De l’« Homo Sapiens » à l’« Homo Faber » 2. Le Travail et la Dialectique de la Liberté et de la Servitude III. LE TRAVAIL, LA TECHNIQUE ET LE BONHEUR 1. La Nature et le Travail : la Question

de conscience par faute du manque de cette capacité. Cette faculté à choisir et à se juger nécessite tout d’abord d’être capable de pouvoir se rapporter ses propres émotions, l’Homme la possède, l’animal non. La conscience offre donc une certaine liberté, et si nous sommes libres de nos choix, nous pouvons alors affirmer que la conscience est (implicitement ?) morale, car tout sujet libre de choisir peut-être jugé moralement. En revanche, l’on ne pourrait appliquer ce type de jugement à un animal

d’après Descartes. Cela permet de promouvoir une nouvelle conception de la science, de la technique, ainsi que de tous les apports aptes à nous rendre maitres et possesseurs de la nature. Il inaugure le machinisme ainsi que la domination technicienne du monde et par là, il marque une étape essentielle dans l’histoire de la philosophie. Il cherche des connaissances qui soient fort utiles à la vie, d’autres part, la science cartésienne ne contemple pas les choses de la nature, mais constitue des

radioactivité naturelle. Donc pourquoi l’Homme fait il usage de technique si ça empoisonne la nature ? La cause de la technique ne semble pas devoir répondre de la satisfaction de besoin. 1) Platon, Mythe du Protagoras (Prométhée/ Epiméthée). Conception prométhéenne de la technique. Ne possédant pas de qualités naturelles, l’Homme cesse d’être naturel. Puis il apprend le feu et la technique. Donc l’Homme passe d’une insuffisance naturelle à une qualité surnaturelle. Donc l’Homme se voit doter de

en Italie, en Hollande ou à Londres deviennent des passages obligés dans la formation des mathématiciens et permettent un brassage important des idées et des cultures. 1 Descartes (1596-1650) et le rationalisme tout puissant La méthode cartésienne : Le Discours de la méthode (1637) introduit trois traités scientifiques : Dioptrique, Météores, Géométrie. Descartes y pose les principes d'une démarche rationnelle, universelle. La raison est la qualité spécifique de l'homme qui se définit en

volontiers plus « traditionnelles », plus assujetties, plus ignorantes, plus « inégales » que les femmes du XIXe siècle. Comme si le progrès ne pouvait être que continu et linéaire (inéluctable ?), qu‘il s‘agisse de pouvoir(s), de famille, de travail, de liberté de moeurs, de relations sociales de sexe… Sur quoi porter le projecteur pour ébranler ces certitudes ?10 En toile de fond, le travail de la grande majorité des femmes… Leur contribution à la vie économique est indispensable et ne doit pas être occultée

si on veut le concevoir de manière claire et distincte ? Le corps est une substance étendue en longueur, largeur, et profondeur. D’où la conception du corps vivant mécaniste : le corps est une machine, un assemblage de pièces et de rouages, comme une horloge n’est rien d’autre qu’un ensemble formé seulement de roues et d’engrenages. Bilan : le dualisme cartésien l’âme ou l’esprit est une substance pensante (simple, n’occupant aucun espace assignable, indivisible)On ne peut couper une idée en deux