Conception De L Homme Descartes

écrire un roman ; ce qui est avantageux dans la pierre ou le stylo, ce n’est ni la pierre ni le stylo qui ne sont que des moyens mais la fin, en l’occurrence le produit qu’ils permettent de réaliser. Or [ objection annonçant la thèse 2 ] cette conception instrumentaliste de la technique ou de l’utilité qui domine dans les sociétés industrielles dites « de consommation » semble peu en accord avec les exigences et le cheminement d’une discipline dont le propre est le désintéressement (Les juges ne

qu’à la condition que l’on s’abstienne d’interpréter : la science s’efforce d’expliquer les faits et non de les interpréter. Pourtant, la science ne s’est-elle pas elle-même constituée comme un ensemble de théories, de modèles, de concepts et de conceptions, qui semblent requérir l’interprétation à plusieurs niveaux ? Toute théorie, en effet, est une explication qui va au-delà des phénomènes pour en dégager et en établir les relations, ne serait-ce que pour en penser l’unité. Une théorie est une présentation

le doute comme attaché ou lié a la philosophie en général. De Socrate à Descartes et par les sceptiques, on retrouve ce doute dans leurs philosophies. Chez Socrate, le doute n'est que critique et remise en cause de tout ce qui présente le savoir. Chez les sceptiques, le doute est une forme interrompu. La nature de l'homme montre qu'on ne peut rien dire avec certitude, mais qu'on doit au contraire douter de tout. Chez Descartes, on retrouve la même forme de doute que chez les sceptiques et le socratique

PHILOSOPHIE COURS 1 Conception chrétienne (conception dominante au Moyen âge) -Respecter les 10 commandements Sa force est la promesse d'immortalité - pas besoins d'être instruit - Seulement croire - Suivre les commandement - Promesse d'immortalité Moyen Âge : - 95 % de la population est rurale (paysans) - Le travail sur la terre est difficile et répétitif (seigneurie) - Illettrés - Soumis à leur seigneur, au roi, à l'église et a Dieu - Le christianisme à été longtemps reconnu comme une secte. ils

A. Deux conceptions du désir : le manque et la production Le mot français absurde vient du latin absurdum qui signifie dissonant. Désirer l’impossible a en effet une dimension dissonante au sens où le désir ne colle plus à la réalité. Dans L’Anti-Œdipe, Gilles Deleuze montre que le désir a souvent été analysé de deux manières différentes dans l’histoire de la philosophie. Selon Platon ou Hegel, le désir est analysé comme un manque, c’est-à-dire comme le manque de l’objet réel, ce qui engendre

renoncer à ses opinions, ou bien s’agit-il juste de renoncer à celles qui n’ont pas fait l’objet d’un examen critique ? Le philosophe doit s’adresser à tous les hommes : c’est ce qu’on appelle « l’universel ». Je ne dois tenir pour vrai que ce que tout homme pourrait tenir pour vrai avec moi. L’opinion, avis spontané, relève du préjugé. Ce n’est pas une erreur, c’est une illusion. Une erreur est le fait de prendre le faux pour le vrai. L’illusion est le fait de prendre l’apparence pour l’être. Quand on

l’intelligence et aimés par la volonté. Le fait que ces déterminations passent par l’intelligence les rend moins adhérentes en ce qu’elles nous sont rendues présentes sous un mode universel7. L’universalité engendre une certaine distanciation. Cette conception de la liberté comme spontanéité s’oppose globalement à tout ce qui pourrait être imposé de l’extérieur8, c’est à dire à tout ce qui pourrait ressortir de la violence9. Et dans le cas de la spontanéité réfléchie c’est la violence de cela même qui

sont essentielles. La conscience ne perçoit pas toutes les influences extérieures qui nous affectent, cependant on peut penser qu'elle connaît tout ce qui se passe en nous (désirs , pensées). Au 19°s, Nietzsche remet en cause cette intuition de Descartes. Il remarque que les pensées se présentent à notre esprit les unes après les autres. Une idée engendre une autre idée sans qu'on le veuille, spontanément. Une idée surgit d'elle-même sans connaître le moment, une idée s'impose à nous malgré nous

comme instance de jugement. Elle est voix intérieure. Cette première conception est restée prégnante dans toute l’histoire de la philosophie. La conscience morale peut, selon Rousseau relever du sentiment, mais aussi, selon Kant, de la raison. L’idée de la conscience comme rapport de la pensée à elle-même et comme fonction de connaissance des activités mentales, de la vie psychique, est née avec la philosophie classique avec Descartes et Locke notamment. À partir de Kant, les réflexions sur la conscience

apportent donc une tentative de démonstration répondant à la question du libre arbitre humain. Au fil des siècles et des idées, des thèses ont été avancé, tentant de définir l'homme comme un être animé de raison qui lui procure une liberté. Selon Descartes dans les Méditations Cartésiennes, la preuve de l'existence de la liberté réside dans la faculté de l'Homme à choisir, c'est-à-dire dans le fait que ses décisions sont guidées par la volonté et non par un déterminisme extérieur à l'âme. En d'autres