Conception De L Homme Nietzsche

OnfrayOnfray mieux de comprendre son athéismeMichel Onfray né le 1er janvier 1959 à Argentan (dans la région normande), est un philosophe français défendant une vision du monde hédoniste, épicurienne et athée. Sa perception philosophique est influencée par Nietzsche et Épicure, par le style cynique, libertaire, le matérialisme, l’anarchisme proudhonien. Né d’un père ouvrier et d’une mère femme de ménage, il est encore bébé lorsqu’il est abandonné par ses parents. Il est ensuite placé à l’Assistance

ne soit pas responsable du mal produit pas sa créature, ce qui contredisait et sa perfection et la légitimité de son pouvoir moral de punir qu'il est censé exercer sur les hommes pour les sauver du mal dont ils sont la cause première. mais, selon Nietzsche, ce dieu créateur ainsi que l'idée même de libre-arbitre sont  des inventions des prêtres et des théologiens qui utilisent la croyance en lui qu'ils produisent et entretiennent pour exercer ce pouvoir divin dont ils prétendent être les dépositaires

18ème siècle, elle a un sens restreint : Le philosophe : penseur qui ne se fie qu’à sa raison et à l’observation. Il prétend examiner les conditions de vie dont dépend le bonheur terrestre de l’homme. Rousseau (1712 – 1778) ❖ La conception de l’homme, la liberté et la bonté naturelle selon Rousseau L’homme est naturellement bon mais corrompu par la société => Il faut fuir cette société et essayer de retrouver par l’imagination l’état de nature de l’homme. Au départ, l’homme est

n'avait pas besoin de travailler, et donc apparaissait libre. Les Grecs Antiques considèrent aussi que travailler c'était s'aliéner au service de la matière ou d'autrui. Cette idée a été reprise et approfondie par de grands penseurs comme Marx ou Nietzsche par la suite. Si le travail se définit comme la transformation de la nature par l’intelligence humaine, les conditions de cette transformation ont prodigieusement changé au cours de l’histoire. Ainsi la substitution progressive du travail par le

enferment la liberté dans de simples réactions de contestation. L’interdiction provoque la transgression, elle est principe de tentation. Elle est de mauvaise politique. Contrairement au scénario explicite de la Genèse La transgression du premier homme peut donc faire l’économie du " Malin ". Il n’est pas besoin de " tentateur " attitré. La tentation naît de l’interdiction. Dira-t-on que Dieu est lui-même tentateur et donc responsable du mal de la transgression ? Il ne s’agit pas de prendre le

point de bonus ou un point en moins). Le thème du Cours, c’est : LA PEUR Division en trois grands groupes : * Rassurer * Désespérer * Avancer Un thème assez transversal où il y a, à la fois, la philosophie politique, des œuvres de Nietzsche, des œuvres de Heidegger, Camus, Foucault, Hobbes etc. Au première semestre on a étudié la question sur « qu’est-ce que la Philosophie ? », maintenant on aura une introduction relativement générale de la notion de peur qui on liera avec la question

laideur de l’objet ou de la situation, il s’agit alors d’un sentiment esthétique au sens strict. C’est ce sentiment esthétique au sens strict qui nous intéresse ici et qui est le propre de tout homme. Est-il un homme qui ne l’ait jamais éprouvé, qu’il se soit jamais exclamé : « Oh que c’est beau ! » ? Un tel homme, s’il pouvait exister, ne serait ni plus ni moins qu’un monstre. Et même un monstre jouit nécessairement du beau. C’est autant dire que l’homme est fondamentalement un être esthétique. Nous

dans un conte philosophique ne modifient l’intérêt de personne mais ont bien une visée morale. De la même manière, un trompe-l’oeil décoratif va plaire malgré l’erreur qu’il induit. L’image du grand homme, par exemple, ne possède pas un intérêt dans sa fidélité ou non avec la vie réelle de cet homme, mais dans les valeurs que l’on en tire. Selon ce critère, on peut en revanche se méfier de «l’image de marque» qui sert l’intérêt de la personne ou du nom qu’elle vise. Si l’on peut assez aisément

libre", c'est-à-dire faire ce qu’il lui plaît, être le maître se sa vie. La mémoire n’est-elle pas aussi le ressentiment, ne risque t-elle donc pas d’infester le présent, d’empêcher la décision et l’exercice de la liberté ? N’est-ce donc pas plutôt un homme sans mémoire qui serait libre ? Donc on va se poser la question suivante : un peuple peut-il être libre sans mémoire ni passé? Pour cela on commencera par définir la mémoire comme une contrainte qui empêche la liberté et que celle-ci peut être atteint

programme par cette notion. Pourtant, cette évidence ne manque pas de soulever plusieurs questions qu'il est nécessaire de traiter. D'abord, il s'agit de savoir quelle est précisément cette vérité que recherche le philosophe et, pour ainsi dire, tout homme. Également, de déterminer les conditions d'accès à cette vérité, le chemin vers elle. Et enfin et surtout, il faut comprendre pourquoi le philosophe souhaite tant l'atteindre et s'interroger sur la pertinence de ce projet. Cette dernière question