Conception De L Homme Nietzsche

métaphysique, la révolte historique, révolte et art, et la pensée de midi. Toutes ses parties concernent la révolte, l'esprit de révolte, le développement de la révolte, l'expression de la révolte,... Y sont étudiées les conceptions de Lucrèce, Épicure, Sade, les Dandys, Vigny, Dostoievski, Nietzsche, Stirner, Marx, les surréalistes, Rousseau, Saint-Just, Hegel, de Maistre... La dialectique du maître et de l'esclave est réexploitée par Camus. De même que la révolution marxiste, l'athéisme ou l'antithéisme de

mais aussi sentir, est la même chose ici que penser. » Descartes, Principes de la philosophie. La philosophie classique, sans abandonner l’idée de la conscience morale, a introduit une conception de la conscience qui s’en distingue néanmoins nettement. Cette nouvelle conception de la conscience va instituer cette dernière en fondement de la pensée philosophique, en source de toute connaissance. On présente souvent Descartes comme l’initiateur de cette révolution philosophique. Or

AL'homme, esclave de ses désirs 1Un désir qui rend passif Le désir, comme le besoin, implique une certaine passivité du sujet qui le subit. En effet, ce n'est pas un acte conscient et raisonnable qui serait choisi par le sujet concerné. Cette conception du désir est très négative : le désir entraînerait une aliénation de la raison et une dépendance à l'égard du corps ou des objets extérieurs. Hume dit ainsi que la raison est « l'esclave des passions ». Elle n'a pas de force propre : elle a toujours

entrer dans l’éternité." » p165. Luc Ferry nous montre donc que l’on passe à une sorte de religion sans Dieu et que l’humanité devient une entité supérieure à l’individu. Chapitre 5 : La postmodernité. Le cas Nietzsche Luc Ferry présente ensuite la postmodernité avec ‘’ le cas Nietzsche’’, qui est à l’origine d’une nouvelle pensée. * Nietzche rejette et critique les valeurs qui sont supérieures à la vie. En effet, sa pensée est basée sur le rejet de Dieu ainsi que des valeurs issues des Lumières

"La seule façon d'apprendre, c'est de contester. C'est aussi la seule façon de devenir un homme. Un homme n'est rien s'il n'est pas contestant. Mais il doit aussi être fidèle à quelque chose. Un intellectuel, pour moi, c'est cela : c'est quelqu'un qui est fidèle à un ensemble politique et social mais qui ne cesse de le contester..... S'il y a fidélité sans contestation, ça ne va pas ; on n'est plus un homme libre." Jean-Paul Sartre, Situations VIII, Gallimard, 1948, p.187 Jean Paul Sartre est

peut voir notamment dans la phrase « Il a cherché à mettre obstacle à l'accroissement de la population de ces États » que le roi des Royaume-Unis impose des contraintes sur les Etats-Unis pour son bonheur personnel.On peut aussi constater que la conception du bonheur est relative en fonction des individus . Par conséquent si le but qu’un individu souhaite réaliser pour être heureux concerne seulement lui-même, cette recherche du bonheur ne peux que être égoïste dans la mesure l’individu va être

cette méthode en considérant qu’il faut partir d’un doute méthodique pour toute chose, c’est le principe de la modernité, il faut douter de tout. Ce doute est-il complet et alors on tombe dans un scepticisme complet ? Selon Descartes, lorsqu’un homme rentre dans la logique du doute, il se découvre comme sujet pensant. Dire « je pense donc je suis » c’est dire que mon identité n’est pas sociale, sexuelle mais elle est fondée sur ma capacité à raisonner. Cela ne signifie pas que l’on va être révolutionnaire

tout oublié »[1], et que l’on peut insister, comme le fait Nietzsche, sur le lien étroit entre la culture et la vie : La culture ne peut naître, croître et s’épanouir que dans la vie, tandis que, chez les Allemands, on l’épingle comme une fleur de papier, on s’en couvre, comme d’une couche de sucre, ce qui fait qu’elle reste toujours mensongère et inféconde. (…) Voici, à peu près, les termes de ce canon uniforme : le jeune homme commencera son éducation en apprenant ce que c’est que la

langage : aboutissement ou corruption de la pensée ? 8 1. Le langage est l’aboutissement de la pensée 8 2. Le langage corrompt la pensée (Nietzsche, Sartre) 10 a. La primauté de l’intuitif sur le discursif (Schopenhauer) 10 b. Les concepts de la langue déforment la pensée originale 11 c. Le langage suggère une métaphysique (Nietzsche) 12 III. Y a-t-il un pouvoir du langage ? 13 A. Langage, société et pouvoir politique 13 B. Jeux de langage et formes de vie 15

fait même preuve d’une soif grandissante de remise en question. C’est là ce qu’il faut entendre dans le sous titre que Nietzsche donne à son oeuvre « Le crépuscule des idoles » : « ou comment philosopher à coup de marteau« . La philosophie détruit, et ce qu’elle construit n’apparaît pas immédiatement aux yeux des hommes comme étant autre chose qu’un chaos. On retrouve là aussi Nietzsche, tel qu’il présente le discours du philosophe dans Le Gai Savoir : « Le dément.- N’avez-vous pas entendu parler