Conception De L Homme Nietzsche

règles qui définissent ce qui est bien ou mal en matière de conduite humaine. Les moeurs définissent le comportement au quotidien au sein d'une société. Ex ; règles de bien-séance. La morale prescrit des manières d'être dans les rapports d'homme à homme. Elle devrait être universalisable. En réalité elle est variable d'une culture à l'autre. Autant il est relativement facile de tolérer les moeurs des autres, autant il est beaucoup plus difficile de tolérer dans le domaine de la morale. Ethique :

le présent du présent le présent du futur passé au présent, mais sans les affects. Pathologie. -Autre conception : le temps circulaire. Le temps circule en circularité. -temps froissé : Serres -Kant (Métaphysique des mœurs) : nous pouvons devenir autonome, c’est à dire se donner à soi-même sa propre loi. 2 impératifs : impératif

Fluctuations sur la liberté » (1938) Méfiance, donc. Avec les mots de ce genre, le « terrorisme conceptuel » risque d’être fréquent. Si un penseur défend une conception de la liberté, bien souvent il ne fait pas œuvre 1 de scientifique ni d’analyste, et ne s’en tient pas à une recherche purement conceptuelle. Au contraire, défendre une conception de la liberté constitue souvent un moyen de défendre un certain idéal. Nommer cet idéal « liberté » signifie simplement : je désire cet idéal, et tout

b) L’art, réconciliation avec la vie Nietzsche reprend l’idée d’un art spirituel, mais en y ajoutant une interprétation toute singulière. Chez Hegel, en effet, si l’art est idée rendue sensible, alors que a philosophie donne accès à l’idée pure, débarrassée du sensible, il y a donc une hiérarchie. L’art serait une façon nécessaire mais imparfaite encore de cheminer vers la pure pensée que seule la philosophie est capable d’atteindre. Nietzsche rejette cette hiérarchie. Il ne s’agit pas pour

pense, donc je suis. -je ne suis, précisément, qu'une chose qui pense c'est-a-dire un esprit, un entendement ou une raison. -c'est l'entendement qui caractérise l'home: faculté de concevoir et de penser le monde réel a l'aide d'idées. -conception spiritualiste: l'esprit est entité distincte et supérieure (vs matière) -introduit la distinction entre âme et le corps. La primauté du sujet pensant (54) - L'humain a le pouvoir de rationaliser: capacité de formuler une pensée

le chemin. Le tyran se nomme Phalaris. Il règne par la terreur et l'assassinat, comme il se doit, et passe pour singulièrement dépravé- on lui attribue une attirance pour le cannibalisme. Cette réputation fait que, dans l'Antiquité, le nom de cet homme, qui régna sur Agrigente au VIe siècle avant notre ère, devint synonyme de cruauté extrême. Pour plaire à Phalaris, un sculpteur eut une idée de supplice artistique. Il fabriqua un vaste taureau d'airain, aux naseaux garnis de flûtes. Quand le tyran

une personne. Le mot « personne » est issu, via le latin persona , d'un mot étrusque qui signifie « masque », « masque de théâtre ». Ce terme définit le rôle que joue l'acteur dans une tragédie. En d'autres termes, chaque homme a en ce monde à jouer un rôle, un rôle tout à fait personnel, propre, spécifique : un rôle que nul autre ne peut jouer à sa place. Il est unique et celui qui le joue est irremplaçable. Tel est le sens du mot « personne » : il exprime la synthèse

exemple) - avec jugement de valeur : passage graduel du moins bien vers le mieux, selon une transformation positive - “le Progrès” : mouvement global de la civilisation occidentale marqué par un développement des sciences et des techniques. La conception du Progrès héritée du XIXème siècle, conçu comme un absolu, est lié à une philosophie de l’histoire. Au XXème siècle, la “foi au Progrès” en sa naïveté aveuglante perd de sa pertinence. La notion de progrès est davantage reliée à une évaluation

fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A. Liberté et déterminisme s’opposent 16 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 16 2. La liberté comme initiation d’une chaîne

lettre à Paul Demeny, ouvre une autre voie, détruisant toutes nos certitudes : « je est un autre ». Comment comprendre cette formule paradoxale associant une entité supposée stable qu’est le moi à son contraire, l’autre, indéfini et étranger ? Cette conception nouvelle que proposait alors Rimbaud, c’était de mettre à jour l’incapacité de l’artiste à maitriser son art, ses sentiments et son expression. L’œuvre s’engendrerait d’elle-même aux tréfonds de l’individu créateur. Ainsi, le moi serait une identité