Conception De L Homme Selon Spinoza

dans le latin servus qui lui veut dire esclave. Ainsi, à leur origine, il paraît impossible de rassembler l'obéissance et la liberté car les deux thermes sont opposés (un esclave ne peut pas faire ce qui lui plaît). Si la liberté consiste à agir selon ses désirs, sans rencontrer d'obstacles, alors elle s'oppose à l'obéissance, qui suppose une contrainte puisque elle demande de se soumettre à une autorité (personne, lois, règles...) qui va définir nos actions. Liberté et obéissance sont dont à première

veulent apporter le même type de vêtement puis on trouve qu'on est ridicule en disant, la mode traduit notre absence de personnalité. Les valeurs, homme est le seul être capable de ne pas vivre simplement en fonction de ses instincts, de ses pulsions mais d'instaurer un mode de vie conforme à des valeurs telles que la justice ou la paix qui vivent selon la loi du plus fort le monde est étonnant parce qu'il est organisé et ordonné, les planètes reviennent au même endroit au mm près, les êtres

seconde partie que d'un autre côté, cette satisfaction, à supposer qu'elle soit possible, n'apporte pas nécessairement le bonheur que nous en attendons. Enfin, nous constaterons dans une troisième et dernière partie que le bonheur est solidaire d’une conception du désir. I) Le bonheur comme satisfaction de tous nos désirs. 1) Désir=Manque=Souffrance / Satisfaction=Plénitude=Bonheur Si le désir=manque, et que manque=souffrance, alors désir=souffrance. La satisfaction du désir est ce qui fait taire

maintenant des millénaires elle est la cause de plusieurs conflits. Certains se battent pour elle et d’autre y ont même trouvé la mort. Elle a été le sujet de plusieurs révolutions, œuvre et pensée philosophique. La liberté c’est la possibilité d’agir selon sa propre volonté. Dans le livre Nouveaux essais sur l’entendement humain Gottfried Wilhelm Leibniz, philosophe Allemand dit que la liberté est un terme ambigu et que c’est celui qui a le plus de moyens qui est libre de faire ce qu’il veut. .Il y a

l’Homme sur la nature et donc d’être indépendant en comblant ses besoins, mais au prix d’une séparation, d’une aliénation redoutable. C’est cet aspect du capitalisme et de la division du travail que Marx (1818/1883) condamne a de nombreuses reprises. Selon lui la division du travail (sociale et technique) entraîne l'aliénation du travailleur (abandon de son individualité au profit de quelque chose de transcendant), les individus deviennent étrangers à eux même et sont donc dessaisis de leur individualité

Le Monde de Sophie Jostein Gaarder, 1995 Roman sur l’histoire de la philosophie – « Qu’est ce qu’il y a de plus important dans la vie ? tous les homme ont évidemment besoin de nourriture, d’amour et de tendresse. Mais il y a autre chose dont nous avons tous besoin : c’est de savoir qui nous sommes et pourquoi nous vivons ». Le contexte : Sophie, 15 ans, vit avec sa mère qui travaille tous les jours tard et son père qui vit la plupart du temps à l’autre bout du monde. Un philosophe entre en contact

Pour Aristote, l’homme est fait pour vivre en société, et est donc un “animal politique”. Activité politique = spécifique à l’H car fait appel à la raison et à la morale. Le philosophe étudie des constitutions et les juge bonnes ou mauvaises selon si elles permettent à l’H de vivre libre et d’être gouverné en H libre, ou si au contraire, elles réduisent l’H en esclavage. La cité doit donc élever la vertu de l’H. "La philosophie est fille de l'étonnement" : rien n'est normal ou naturel

NE PEUT PAS NE PAS S’ENSUIVRE. CE QUI EST EST DONC DÉTERMINÉ À ÊTRE AINSI ET PAS AUTREMENT. L’avenir résultant du présent et le présent du passé, tout l’avenir est contenu dans le présent et tout le présent dans le passé. Dans un univers conçu selon le principe du déterminisme rien de vraiment nouveau ni d’imprévisible ne peut se produire : il ne saurait donc y avoir, par principe, ni hasard, ni miracle ni cause absolument première. Tout y est, sinon en fait au moins en droit, prévisible et explicable

penser car si on ne pense pas, le bonheur que l'on ressent n'est que plaisir non durable équivalent aux plaisirs que ressentent les animaux. Par conséquent ne pas penser revient a animaliser un homme qui réagira selon ses instincts selon ses pulsions et non selon sa conscience et par conséquent non plus selon sa pensée. Si on entend par bonheur un état de bien-être, associé au plaisir, la pensée, c’est-à-dire la faculté de juger et de se juger peut apparaître comme étant  un obstacle au bonheur

qu'il crée par raison et sagesse. Liberté métaphysique : démontrer, c'est penser par soi-même. Libre signifie doué de raison, capable par nature de connaître la vérité. (Choix de la vérité ou de la raison) ⇒ obligation morale. Selon Sartre, Descartes, en homme de son siècle, met en Dieu la liberté créatrice que lui voit en l'homme. • en raison de ≠ à cause de ; • initiative ⇒ transgression ; • libre-arbitre ⇒ problème du choix (choisir, c'est d'abord dire non) ⇒ obligation morale.