Conception Du Pouvoir De Antigone

et qui se distingue du droit positif, simplement caractérisé par la légalité. Ainsi, c’est au nom du droit naturel qu’Antigone répond au roi Créon : «J’ai désobéi à la loi car ce n’était pas Zeus qui l’avait proclamée, ce n’était pas la Justice.» (Antigone, Sophocle). La forme légitime du droit, autrement dit le droit naturel, est donc intimement liée à la notion de justice comme norme du droit, garantissant la pérennité de valeurs fondamentales (Liberté, Egalité) qui doivent être respectées. Mais

l'unité de la troupe dans un amour commun du théâtre, ce qui implique l'oubli et le don de soi pour défendre le véritable esprit du théâtre, son mystère, sa foi. Puis, la volonté de rajeunir des vieilles conventions, avec la création de nouvelles conceptions de mises en scène, qui s'accompagne d'un répertoires de pièces sélectionnées. La finalité sera d'inculquer aux comédiens modernes le sens de la mise en scène pour finalement les prévenir contre les moeurs corrompues du théâtre. Georges Pitoeff

désir de rentrer chez eux. Et des magiciennes changent les citrouilles en carrosses ou les hommes en pourceaux… Mais le surnaturel n’intervient pas, ici et là, de la même manière. Dans un cas, le monde est parcouru de figures étranges, dotées de pouvoirs extraordinaires (fées, sorcières) mais auxquelles il paraîtrait absurde de rendre un culte. Les héros peuvent tout au plus reconnaître leurs bienfaits ou apprendre à se méfier d’elles. Dans l’autre, le monde des hommes et celui des dieux s’interpénètrent

rapports avec le pouvoir, sa légitimité, etc. mais surtout au conflit entre l’homme et les dieux « qui ont la cruauté de l’enfance et dont les jeux coûtent cher aux mortels ». Cocteau. Bref, au destin individuel. Le chœur, témoin civique, a moins d’importance. Sept pièces sur cent vingt trois nous sont parvenues. Parmi elles : Antigone : (-440). Encore une histoire de sépulture. Créon outrepasse son pouvoir. Devant, sinon l’absence, du moins le silence des Dieux, Antigone en appelle au

institutions, les principes auxquels obéissent les institutions (exemples : la nomination du 1er ministre, le fait que le parlement puisse renverser le gouvernement, etc.). Ces règles se retrouve dans la Constitution qui a précisé et délimité le pouvoir et les fonctions des institutions politiques. Elle donne « la règle du jeu ». Néanmoins, il faut aussi prendre en compte le fonctionnement effectif de ses institutions (« dans la vrai vie ») qui peut différer parfois de celui qu’avait prévu le législateur

C'est une branche du droit qui a une dimension incriminatrice, l'objet c'est le crime. Sa deuxieme dimension est la dimension sanctionnatrice est donc cela apparait comme le droit des peines. "Le droit pénal tourne rond, la peine est un mal que le pouvoir au nom de l'interet public inflige à la personne coupable d'infraction. Mais qu'est-ce qu'une infraction : un comportement interdit par la loi, sous la menace d'une peine". II/ Le droit pénal dans l'ordre juridique français A/ Le droit pénal :

structurante avec un certain nombre de limites, car il est le produit de l'histoire. L'émergence du dualisme entre le droit privé et le droit public (aux origines): Dualisme entre les deux ordres, détachement progressif du pouvoir Royal de la sphère du droit privé. Ce pouvoir royal est soumis progressivement à un statut dérogatoire, qui a constitué celui du droit public. Ce détachement a eu lieu en France entre le 11ème et le 16ème siècle grâce à la distinction originaire de Rome (le Ius privatum

premier écrit formatif (pas de points), deuxième écrit coté (30% de la cote finale), examen final (70%) partie orthographe, partie écrite, partie lecture (analyse de genre). But : développer compétence et talent propre. I. Pouvoir lire A quel point le fait de pouvoir bien lire peut aider au niveau de l’écriture. Il y a un lien entre l’écriture et la lecture. Si on arrive à décoder un texte, ça peut amener un supplément au niveau de l’écriture. C’est une lecture analytique. Le rapport lecture-écriture

niveau individuel au niveau social ? Comment se fait l’association des individus - – la consociatio- qui composent une société – la societas- ? Comment une société s’établit ? Comment se reproduit-elle ?A l’opposé de cette conception individualiste de la société, la conception « organique » (holiste) considère que la société avec ses institutions, ses valeurs, etc. est logiquement première et non postérieure par rapport à ses membres : la société existe par soi-même -> existence autonome de la

Geneviève Hoffmann La jeune fille, le pouvoir et la mort Paris : De Boccard, 1992 (400 pages) Geneviève Hoffmann est agrégée d’histoire depuis 1972. En 1987 elle a soutenu une thèse de doctorat. Formée à l’université Paris-I et membre du centre Glotz, centre de recherche sur les monde hellénistiques et romains, puis du centre Louis Gernet, centre de recherches comparées sur les sociétés anciennes, ses travaux s’intéressent essentiellement à la représentation dans la société que ce soit l’adultère