Conception Du Pouvoir Premiers Merovingiens

romaine). Au départ, il s'agit d'un état démocratique, l'empereur est élu par le Sénat, mais progressivement cette règle va être écartée sous la pression des militaires et de l'empereur lui-même. L'empereur romain va recevoir des attributions : le pouvoir de faire la loi, de publier des édits impériaux, il a le monopole de la monnaie d'or et est considéré comme un chef religieux. L'administration impériale va jouer un rôle important dans le fonctionnement de l'empire et dès cette époque on remarque

les relations entre l’Etat et les citoyens, ou encore entre les différentes administrations, mais si l’on est privatiste le droit correspond à l’ensemble des règles qui gouvernent les relations entre les personnes. Notre conception du droit diffère en fonction de notre conception. Le droit est une source de réflexion lorsque l’on est professeur on est dans la théorie du droit mais si on est un praticien on a une vision utilitariste du droit, c’est un outil pour résoudre des conflits, de problèmes

l’infinité des possibles juridiques. * de s’interroger sur les rapports entre droit et pouvoir. Est-ce le pouvoir qui fait le droit ? Ou est-ce le droit qui fonde le pouvoir ? Peut-on concevoir un droit sans pouvoir ? Peut-il exister un pouvoir sans droit ? Par quelles procédures le pouvoir rend-il le droit vénérable et aimable, bref, incontestable ? * de comprendre que l’on ne saurait limiter le domaine du pouvoir au seul champ étatique. D’autres formes d’influences ou de dominations existent ou ont

..................................... 48 B. L'emprise de la religion sur le droit ................................................ 51 II. La confusion entre droit public et droit privé ...................................... 52 A. La conception patrimoniale du pouvoir à l’époque franque ................ 52 B. L’emprise croissante du privé sur le public ...................................... 54 Chapitre 3 XIIe-XVe siècles : La révolution européenne des droits savants .... 55 Section 1 : Le réveil de

réservée aux plus érudits. Mais peut-on pour autant parler de « démocratisation » de l'histoire ? Le problème de diffusion des écrits au Moyen-Âge y fait évidemment obstacle, mais nous voyons ici qu'un nouveau problème est soulevé : celui de la conception de l'histoire au Moyen-Âge. Comment était-elle considérée, qu'elle était son influence, quels but poursuivaient les historiographes à cette époque ? Il s'agira en effet de tenter de démêler le faisceau touffu des circonstances, pour comprendre quelles

subit comme une sorte de punition, l’ « invasion » des Barbares. « Invasion » = pénétration des barbares. Cette thèse vient de l’évêque Saint Augustin : « La cité de Dieu ». Ici, il pose la question essentielle du pouvoir. ( Le gouvernement de la cité des Hommes doit exercer son pouvoir non pas dans leur intérêt propre, mais pour assurer l’ordre, la paix, la sécurité, la justice. « Que sont des Royaume sans justice sinon de vastes brigandages ? » La prise de Rome par les peuples Germaniques :

C’est une période qui s’étend du 5ème au 10ème siècle. Une date symbolique est retenue pour désigner le début de cette période, 476, qui est la chute de l’Empire Romain d’Occident. Cette période est marquée par un certain nombre de dynasties (mérovingiens, carolingiens, avènement des rois capétiens). - Le Moyen Age central, qui s’étend du 11ème au milieu du 14ème siècle (dans les alentours de 1350). Le Moyen Age Central ou Moyen Age classique est marqué par prodigieux essor de la culture

sont des crimes. On désigne donc ce droit par ce type d’infraction particulier. Ce droit criminel à l’origine s’oriente vers le possible agresseur et des preuves de sa culpabilité. Les moyens pour y parvenir sont en adéquation avec cet objectif premier c’est la raison pour laquelle que la violence utilisé par l’autorité peut égaler voire supplenter celle utiliser par le délinquant2) A partir de la révolutionA la révolution le droit criminel se mue en droit pénal, c’est la conséquence d’une réflexion

monarchie absolue en France Première partie : Les institutions de l’antiquité L’antiquité grecque Premier chapitre : Institutions de la Grèce classique 1. Aperçu historique : De la royauté à l’aristocratie
2. La crise du VIIe s: la tyrannie, la colonisation
3. La Démocratie : les institutions : L’assemblée populaire (ecclésia) 4. Les théories politiques : Platon, Aristote Rome Premier chapitre: La royauté et la République (754 av J.C.- 27 av. J.C.) 1. La Royauté : les institutions et

tient son pouvoir des Dieux, c’est un intermédiaire entre les Hommes et Dieux, il interprète les signes envoyés par les Dieux. Le Roi est le chef de la religion, il établit le calendrier : ≠ entre jours faste (≈chance) et néfastes. Le Roi fertilise les terres. Donc le droit est fortement marqué par cet élément religieux. * L’élément militaire : Le Roi tient son pouvoir de son armée