Conceptions Modernes Et Classiques Des Libertés Publiques

doivent défendre la cité en tant qu’hoplites, cavaliers et rameurs (thètes). Ils participent aux institutions : Ecclesia, Héliée et magistratures (archontes, stratèges). Les métèques, les femmes, les enfants et les esclaves sont considérés, dans cette conception aristotélicienne, comme des non-citoyens. 2. La définition aristotélicienne est théorique et sert une réflexion philosophique. Elle ne tient pas compte de la dimension cultuelle de la citoyenneté athénienne. Les enfants, les femmes, les métèques

une même civilisation qui les oppose aux barbares mais ils vivent au sein d’une multitude de cités indépendantes et souvent rivales. L’unité politique c’est faite tardivement et incomplètement, la cité grecque a contribué à la formation du droit publique, elle a permis l’institutionnalisation de régimes politiques de type républicain. Section 1 -- Cité et droit de citoyenneté C’est dans la cité grecque qu’a été véritablement inventé la politique définie comme l’art de gouverner le groupe sociale

sur les constituants US et français de la fin du 18e siècle. Par la suite, cette théorie va être reprise pour juger le degré de liberté d'un pays et la nature de son régime : régime parlementaire : collaboration et séparation souple des pouvoirs régime présidentiel : séparation stricte des pouvoirs régime autoritaire : absence de séparation des pouvoirs => Conception idéologique particulière : la SP est perçue comme une arme contre le pouvoir omnipotent, comme le monarchie absolue du siècle des

se réalise d'abord les clercs, puis les élites, notables, artisans, ouvriers et paysans. C’est dans ce contexte historique, social, culturel, vont apparaître 3 discours fondateurs et précurseurs des discours contemporains et des problématiques modernes de la lecture : le discours de l'église, le discours d'état, le discours de l'école. Ces discours jalonnent et accompagnent la lente mutation culturelle de l’alphabétisation. 3. Trois discours fondateurs A. le discours de l'église Lire

démocratique, et la notion corrélative de citoyenneté, dans une forme sociale reposant sur l’esclavage de sorte que seuls les hommes, et non les femmes, « libres », c’est-à-dire non-esclaves, pouvaient être citoyens. En revanche l’idéal démocratique moderne fut conçu en s’opposant à l’idée que le pouvoir vient de Dieu –ce que dit la monarchie de droit divin- mais aussi à l’idée qu’il se fonde sur le lignage –ce que croit la noblesse- La source d’où vient le pouvoir politique dans le peuple s’oppose

comme gouvernement de tous B. La démocratie libérale C. La démocratie sociale 1. La question du suffrage universel 2. La question des libertés II) Les conditions de la démocratie A. La liberté d'expression et le pluralisme 1. L'opposition et l'alternance 2. La question de la protection de la démocratie 3. Liberté d'expression et pluralisme B. La liberté du choix politique C. La décision majoritaire et le respect de la minorité III) Les théories démocratiques de la souveraineté A

d'origine italienne, née à Biarritz le 24 mai 1935 et décédée à Paris le 5 mars 1990. Connue pour sa pratique du body art ou dît art corporel, elle laisse derrière elle des blessures que son œuvre garde toujours ouvertes. C'est après une formation classique aux Beaux-Arts de Paris de 1961 à 1966, qu'elle conservera un intérêt au thème corporel. Toute la problématique de son oeuvre est là; elle entraînera le corps jusqu'à ses limites : la souffrance. Gina Pane distingue elle-même trois périodes dans

complétés d'une importante préface. Sommaire [masquer] 1 Préface : La brèche entre le passé et le futur 2 I. La tradition et l’âge moderne 3 II. Le concept d’histoire : antique et moderne 3.1 II.1 Histoire et nature 3.2 II.2 Histoire et immortalité terrestre 3.3 II.3 Histoire et politique 4 III. Qu’est-ce que l’autorité ? 5 IV. Qu’est-ce que la liberté ? 6 V. La crise de l’éducation 7 VI. La crise de la culture : sa portée sociale et politique 8 VII. Vérité et politique 9 VIII. La conquête

seulement 17 articles, de poser les revendications d’un peuple révolutionnaire qui cherche à rompre avec l’absolutisme royale de l’Ancien Régime, qui ne garantissait ni les libertés individuelles des hommes, ni d’ailleurs leurs libertés politiques. On peut considérer que cette déclaration est à la base des constitutions démocratiques modernes et de notre régime politique actuel. En effet elle se retrouvera dans le préambule de la première constitution formelle de 1791, et encore aujourd’hui elle fait partie

n'est pas normal qu'on néglige à ce point la Constitution, l'étude des droits du sujet. Les critiques sont si fortes, que Louis XV (1710-1774) va créer une chaire de droit public au collège de France. Auparavant, il existait dans le royaume deux conceptions antithétiques du droit public. La première était que l'entourage royal proche prônait une stratégie de l'évitement, le maintien dans l'ignorance des citoyens pour éviter la révolte. Il faut conserver le « mystère » de l'Etat. Alors que les philosophes