Concile d'Éphèse

grandes lignes de ce mouvement. Et ces à partir de 989 avec le concile de Charroux et celui de Narbonne en 990 que le départ est donné. Dès lors les grands principes et actions de la Paix de Dieu sont trouvés. À partir de la on peut suivre la progression de la diffusion de la paix de Dieu en France : Charroux en 989- 990, Limoges en 991, Puy en Velay en 994, Poitier en 1011, Bourges en 1031, Beauvais en 1023… C’est avec le Concile de Limoge en 994 et celui de Poitier en l’an 1000 et 1014 que

dès la fin du Xème siècle c’est à dire à un des moments où le pouvoir royal est très bas (Hugues Capet). Une série de conciles vont établir deux institutions qui visent à restreindre les effets des guerres ou à en limiter la durée. 1 : La paix de Dieu Elle résulte d’un mouvement qui a débuté avec le concile de Charroux en 989 et le pape Urbain II la déclare universelle au concile de Clermont en 1096. La paix de Dieu a pour but de soustraire à la guerre certaines catégories de personnes et de biens

C’est Urbain II (Odon de Lagny) qui initiera le concile de Clermont. Urbain II est d’abord chanoine à Reims puis il se fait moine de Cluny où il devint prieur. Il succéda à Grégoire VII et Victor III. Il lui Incomba donc de poursuivre le mouvement réformateur initié par ses présélecteur, notamment Grégoire VII. Le concile de Clermont avait pour but initiale de régler certain problème de discipline ecclésiastique à la suie du concile de Plaisance qui avait déjà avancé le sujet. Le fléau de l’époque

le concile de trente apparait au 16ème siècle comme l'instrument de la lutte contre les diverses doctrines protestantes. Le concile de trente est un concile qu'on qualifie d'oecuménique, c'est-à-dire universel, inspirant l'idée d'un mouvement destinée a promouvoir la mise en place d'actions communes entre les divers christianismes malgré l'importance des différences doctrinales. Les conciles oecuméniques représentent le rassemblement de tous les évêques de l'Église à l'initiative du Pape. Le Pape

fructueuses avec les autres périodes. Une évidence n'a pas été assez explorée encore par les historiens, l'universalité de l'aspiration à la réforme commune à l'ensemble de l'Europe. La réforme in capite et in membris pour l'Eglise (concept né au concile de Vienne, 1311) mais aussi la réforme de la justice, c'est à dire de l'administration, de la noblesse… dont l'urgence est exprimée sous une forme morale (les danses macabres) mais aussi sous une forme pratique : réformer, c'est re-former, donner

mediation lors d'un plaib ordalie (jugement de Dieu) quand les gens ne s'entendent pas et que l'ont ne sait pas qui a raison donc on demande le jugement de dieu avec un duel, ou des epreuves physiques (marché dans la braise...) assemblé de paix de Dieu (concile de charroux 989, aucune atteinte aux inermes), grandes assemblée et ont fait preter un sserment dans lequel les grands s'engagent a ne pas attaquer tel ou tel personne. On instaure une paix publique treve de Dieu 3. La réforme grégorienne 3.1 Un

La Légitimité du Concile de Constance ou Le triomphe du Conciliarisme Table des matières Introduction  2 Partie I : Des Idées 4 A propos de la question de l'infaillibilité et du pouvoir du pape: 4 Quelle compétence pour le concile ? 6 Partie II : Des Faits 11 Le recourt au concile général aux travers des différentes crises des XIIIe et XIVe siècle. 11 Premières tentatives 11 Boniface VIII 11 Les

Sigismond[->0] s'assura ensuite du succès du futur concile[->1]. Devant la résistance de Jean XXIII[->2] et de ses partisans italiens, il modifia le mode de scrutin. Le vote par nation remplaça le vote par tête, ne laissant à l'Italie[->3] qu'une seule voix. Comprenant son échec, Jean XXIII[->4] s'enfuit le 20[->5] mars[->6] 1415[->7]. Les Pères conciliaires adoptèrent le 6 avril[->8] le décret Hæc sancta, affirmant la supériorité du concile sur le pape. Jean XXIII[->9] fut arrêté et déposé. Grégoire

cause du rôle qu'y a joué Grégoire VII (1073-1085). Initiée par Léon IX d’Eguisheim (1049-1054), cette réforme dépasse largement l'oeuvre de Grégoire VII. C'est entre 1054 et 1139 (deuxième concile du Latran) que les modifications sont les plus importantes, mais elles se prolongent jusqu'en 1215, (IVè concile du Latran, point d'orgue de la réforme). C'est donc un siècle et demi de bouleversements que vont vivre l’Eglise et la société féodale. 2.2. La réforme Face à certains de ces problèmes, un

Commentaire d’histoire juridique du sixième canon du premier concile de Constantinople Introduction Les conciles sont des réunions regroupant les membres de la hiérarchie ecclésiastique, c’est-à-dire, généralement, les évêques et les archevêques. Au titre de conciles, on distingue deux types, les généraux et les oecuméniques qui rassemblent l’ensemble des évêques de la chrétienté. Ces conciles prennent des décisions regroupées sous la forme de canons visant à organiser la société chrétienne