Concile de Constance

» : ce rituel a été utilisé par la « Loge de l’Heureuse-Alliance de la ville d’Uzerche », entre 1778 et 1788 461 . Tous ces textes livrent les usages des Loges de l’époque utilisant le RF. Nous avons ajouté le manuscrit de la Loge St Jean de la Constance (Grenoble, 1768) 462 , le rituel « Rampon » (1780 463 ) et donc le Livre des marchés 464 (1780 env.), proche du précédent. Nous citerons enfin le Recueil précieux de la Maçonnerie adonhiramite, attribué à Louis Guillaumin de SaintVictor, dont la

siècle : elle exhorte les seigneurs à faire la paix, à cesser de faire la guerre. Elle réunit des conciles (grandes assemblées pacifistes) pour demander aux seigneurs d’arrêter les guerres au nom de la religion. Cela ne fonctionne pas du tout. L’église va donc essayer de développer des moyens en essayant d’imposer 2 idées notamment pour limiter ces guerres : La paix de Dieu : instaurée par un concile en 1095 se tenant à Clermont Ferrand. Ce texte de 1095 dispose qu’il est interdit de s’en prendre

religieuses. Pas de choses ou d'actions, si ordinaires soient-elles, dont on ne cherche constamment à établir le rapport avec la foi. »45 Les hommes ordinaires n’étaient pas intéressés par les problèmes et les questions de foi consultés aux conciles de Constance et Bâle. Leur piété était sincère, même si parfois un peu naïve ou attachée aux superstitions. Néanmoins, la religiosité chrétienne au XVe siècle était confrontée à certains problèmes car la forme de foi convetionnelle n’était pas acceptée

pécheurs prêtent aux pécheurs pour qu’ils puissent recevoir en retour un montant égal. Mais aime tes ennemis, et fais le bien, et prête, sans ne désespérer personne…9 » Ce n’est qu’en 1515 que la religion catholique autorise l’intérêt par le biais du Concil de Latran V10. Par ailleurs, durant cette période, des réformateurs comme Calvin autorisent l’intérêt, sans toutefois permettre l’usure. Calvin s’oppose au prêt aboutissant à un appauvrissement du débiteur, mais il demeure favorable à l’enrichissement

religieux qui se font de plus en plus virulents pour déboucher sur l’affrontement physique des guerres de religion. Si les idées protestantes avaient déjà commencé à se diffuser auparavant, la Contre-Réforme se met progressivement en place et le Concile de Trente répond avec fermeté aux thèses protestantes concernant la prédestination et la grâce.54 Mais ces débats ont lieu avec pour acteur principal la personne royale dont les décisions et la politique sont essentielles. Ainsi, les questions

ossements : Voici, je ferai pénétrer en vous l’esprit et vous vivrez !) La bourgeoisie n’avait alors manifestement d’autre choix que d’élire Bonaparte. Despotisme ou anarchie. Elle se prononça naturellement pour le despotisme. Lorsque au concile de Constance [35], les puritains se plaignirent de la vie dissolue des papes et se lamentèrent sur la nécessité d’une réforme des mœurs, le cardinal Pierre d’Ailly leur cria d’une voix de tonnerre : « Seul, le diable en personne peut sauver l’Église catholique

Gallicane ». La position exprimée par Pierre Pithou se retrouve également en 1682 dans la déclaration du clergé de France lorsqu’on affirme : ⇨ Que les deux pouvoirs sont indépendants. ⇨ On affirme que l’autorité du pape est soumise à celle du concile. ⇨ On affirme que le pape n’a compétence que dans le domaine de la foi ⇨ Le pape a une supériorité spirituelle Cette déclaration est connue sous le nom de « déclaration des quatre articles ». Elle fonde les principes du Gallicanisme qui

même pas parler d'instruction ; parlons d'apprentissage. Et je suis sûr que le rappel, même rude, à la vocation universelle de juger, de gouverner et d'inventer, est toujours le meilleur tonique pour un caractère. Cela lui donnera cette précieuse constance qui vient de ce qu'on ne croit jamais avoir mal choisi, et de ce qu'on juge digne de soi de pouvoir beaucoup dans n'importe quel métier. La vie sauvage de la guerre a révélé à beaucoup d'hommes qu'ils étaient prêts à toute action ; tel sans-filiste

je veux être Pape, répondit-il sans hésiter"21. Quinze ans plus tard il entendit des voix lui annoncer qu'il serait Pape. Il écrivit à Pie IX pour lui ordonner d'abdiquer en sa faveur. A la mort de celui-ci, il fit acte de candidature auprès du Concile. Bref, il développa un délire paranoïaque dont le thème majeur était déjà présent à sa pensée dès son enfance. A l'instar de Fulmen Cotton, Arsène témoigne donc très précocement d'une fascination pour une figure paternelle bien apte à suggérer dans

et Polonais suppose ce qui précisément ne va pas de soi. Jamais Bakounine, en 1847 comme dans les années qui suivent, ne pose la question des conditions de possibilité d’une alliance des peuples contre les empires, et sous-estime avec une belle constance le poids des antagonismes nationaux. L’alliance des peuples contre les despotes est assurément nécessaire (au sens où elle est un impératif), est-elle pour autant possible, et à quelles conditions l’est-elle ? Bakounine évite soigneusement cette